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dimanche, 12 novembre 2017

Carl LANG sur Twitter

 

“Pour célébrer le 11 novembre, le journal de France 2 met évidemment en valeur un fusillé de 1917 pour refus d'obéissance. Ce doit être probablement trop insupportable pour cette rédaction de service public d'honorer un combattant mort pour la France face à l'ennemi.”
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La Marseillaise par Alexandre Simonnot

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2017


Pauvre FRANCE

 

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Fin de partie (politique) pour Garrido ?

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2017

Rédigé par notre équipe le 11 novembre 2017. 

C’est avec effroi que la rédaction de 24 heures actu a appris le prochain retrait de la vie politique de Raquel Garrido. La nouvelle égérie de la France insoumise va donc quitter ses fonctions politiques après avoir crevé l’écran depuis plusieurs mois. Logement social parisien, cotisations sociales non réglées, mélange des genres, Garrido a tout fait pour prendre un peu de lumière médiatique. Une lumière qu’elle ne quittera pas, car si elle délaisse la politique, c’est pour mieux jouer les divas sur les plateaux télé.  

Le vent du renouvellement n’aura finalement pas soufflé bien longtemps chez les Insoumis. Ce vent à la mode n’apporte, en effet, pas que de bonnes choses comme l’a expérimenté le vieux briscard Mélenchon. Pour éviter de prêter le flanc aux attaques sur un quasi-culte de la personnalité au sein de la France insoumise (FI), Mélenchon avait eu l’idée de faire monter quelques uns de ses fans. Raquel Garrido, devait être la pièce-maîtresse en tant que femme issue de la diversité (elle est franco-chilienne). Mais Mélenchon a certainement trop espéré que personne n’irait regarder derrière la façade.

L’étoile filante des Insoumis

Et en quelques semaines, Garrido a réussi à cocher toutes les cases de ce qui dégoûte les Français. Madame est de gauche et court de plateaux télé en stations de radio pour prêcher la solidarité avec les plus démunis. Mais comme on le sait, charité bien ordonnée commence par soi-même. Avec son compagnon Alexis Corbière, elle vit dans un HLM de la mairie de Paris pour un prix dérisoire. Les vrais pauvres attendront que le couple ne trouve plus le logement à son goût ou que ce scandale soit enfin révélé… Les deux amoureux sont sur le départ, direction Bagnolet. Mais le mal est fait. Leur discours étriqué est devenu carrément inaudible d’autant plus que Garrido a d’autres dossiers peu reluisants qui commencent à faire parler d’eux.

Ainsi, on a ainsi découvert que madame ne payait pas ses cotisations sociales. Pourquoi verser des dizaines de milliers d’euros à l’Etat quand les « défenseurs » des pauvres peuvent en jouir directement ? Prise la main dans le sac, elle est en train de régler sa situation. Tout cela prend les accents d’une descente aux enfers. Heureusement que notre chère insoumise s’est trouvée un passe-temps sympa et certainement très rémunérateur : chroniqueuse télé. On la voit désormais chaque dimanche dans l’émission de Thierry Ardisson à s’esclaffer à la moindre demi vanne écrite par une armée de dialoguistes. Elle joue à merveille la caution d’une gauche inconséquente dans un show dirigé par un homme à la trajectoire bien différente…

Critiquée à juste titre pour interroger des hommes politiques avec la casquette de C8 alors qu’elle est clairement engagée dans le combat politique (les journalistes n’ont pas l’indécence d’être porte-parole officiels de leurs bienfaiteurs), Garrido va finalement prendre le chemin unique des médias. Fini le porte-parolat pas crédible et les justifications sur son rapport à l’argent. Elle touchera son gros salaire avec peut-être l’idée qu’elle est un exemple pour tous ceux qu’elle prétend représenter. Et comment ne pas le penser à sa place ? Partie de rien, elle fait désormais partie du si réputé paysage audiovisuel français et n’a pas de problème pour boucler ses fins de mois. Dans une société aussi décadente que la notre, cela s’appelle le succès. Un exemple à suivre pour celles et ceux qui n’ont pas peur du ridicule.

 

Source : 24heuresactu

 

11 novembre, De Gaulle et ses guignols

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2017

 Patrick Parment

qNQE606I.jpgA chaque 11 novembre on nous sort la même soupe : le pèlerinage à Colombey-les-deux-Eglises qui est aux gaullistes ce que La Mecque est aux musulmans. Il y a un mythe gaulliste lié à une légende fabriquée de toute pièce et qui ne reflète que peu la réalité. L’homme du 18 juin n’y est pas pour grand-chose dans la victoire des Alliés sur les Allemands en 1944. En revanche, De Gaulle avait bien compris que les Américains étaient des envahisseurs autrement plus dangereux que les Allemands. Dans le grand cirque guerrier de 39-45, le rôle de la Résistance est marginal. Ce qui l’est moins, c’est l’attitude des communistes qui ont poussé les Allemands à prendre des otages suite à l’assassinat aveugle et gratuit de soldats allemands.  Ce qui l’est moins toujours, c’est l’attitude des communistes durant la grande braderie de l’Epuration où ils s’en donnèrent à cœur joie pour régler leurs petites affaires. Et sur cette période douloureuse de notre histoire, on n’a que le silence du camarade De Gaulle, intronisé, il est vrai, par Joseph Staline en 1941 qui lui sauva la mise à Londres auprès de Churchill.

Puis il y a le De Gaulle du coup d’Etat du 13 mai 1958 et surtout le De Gaulle qui va brader l’Algérie aux tueurs du FLN. Depuis cette date, tous les gouvernements se sont couchés devant les autorités algériennes pour le plus grand bonheur du patronat français.

La seule chose que l’on retiendra de De Gaulle est qu’il a agi et régné comme un monarque grâce à une constitution frisant le fascisme. Le reste, c’est de la posture, sans plus.

Alors De Gaulle….

Mais commémorer le 11 novembre 1918 est un devoir, car Il faut rendre hommage à nos poilus qui étaient pour la plupart de braves paysans que l’on a arraché à leur terre et à leur famille.

 

Source : synthesenationale