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mardi, 05 décembre 2017

[Reportage] « La Rébellion cachée » devant 200 personnes à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

 
    
rébellion cachée toulouse

Daniel Rabourdin, réalisateur de La Rébellion cachée, devant son public de Toulouse

200 personnes ont assisté à la projection de « La Rébellion cachée », à l’église du Christ-Roi de Toulouse, samedi 2 décembre. Un film émouvant sur le sacrifice des Vendéens, martyrisés sous la Terreur par la Révolution Française. 

« Un documentaire d’une qualité rare », c’est ainsi que notre journaliste présent sur place a qualifié le film de Daniel Rabourdin. « La Rébellion cachée » a attiré près de 200 personnes, samedi 2 décembre à Toulouse, soit le double de ce qui était attendu. Une projection qui a été suivie d’un débat entre l’assistance et le réalisateur sur ce docudrame qui se place parmi les fer de lance du cinéma alternatif.

Vous avez sans doute déjà entendu parler de Cheyenne Carron, la réalisatrice sans cesse méprisée par le CNC. Le milieu alternatif de l’audiovisuel a peut-être trouvé son équivalent dans le genre documentaire. Pendant 1h15, le film retrace toute l’histoire de la contre-révolution, agrémenté de témoignages d’historiens reconnus sur ce sujet comme Stéphane Courtois ou Reynald Sécher. Ce dernier, qui a sincèrement aidé à la réalisation de ce film est d’ailleurs visible dans quelques scènes, en tant que figurant -aux futurs spectateurs de tenter de le retrouver.

La Rébellion cachée méprisée par le CNC

Si Daniel Rabourdin a dû sillonner 84 salles privées ou associatives pour présenter son film dans toutes la France, c’est qu’aucune aide du CNC (Centre National du Cinéma) ne lui a été accordée. « Le CNC décide des films que peuvent voir les Français, c’est de la censure », nous explique le cinéaste. Pourtant pas de perversité, de violence ou autre mention qui justifierai un pareil traitement. « Est-ce que c’est à cause du sujet du film ? Je ne vois que ça comme raison » confie t-il.

Après la polémique ayant entraîné les propos de Patrick Buisson, parlant de la Révolution Française comme « inspiration du terrorisme », Daniel Rabourdin confirme, à travers son récit, l’existence d’une pensée génocidaire et terroriste dans les hautes sphères de la République en 1793. « Ils se sont appelés, eux-même le régime de la Terreur »« La République doit s’excuser, comme Poutine s’est excusé sur les massacres des communistes, comme les Etats-Unis pour les amérindiens… » conclue t-il.

 

Source : infos-toulouse

Suède: Un site publie les crimes des migrants: 82% des violeurs en groupes sont des migrants. Le site est dénoncé à la police.

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

suède
 

Base de données géante sur les crimes des migrants - Le site est signalé à la police

Le site gangrapesweden.com a été signalé à la police pour violation de la loi sur les données personnelles (PUL) car il a publié les détails des infractions de 83'000 de personnes, tels que les jugements à l'encontre des violeurs selon la radio publique Ekot.

Le site est censé être un registre des crimes des migrants.

C'est vendredi que Nordfront et le site Gangrape Sweden ont lancé "la plus grande base de données sur les crimes des migrants".

Au total, les fiches de 83.656 individus ayant violé la loi entre 2014-2015 ont été publiées sur le site. Des informations sur les Suédois et les migrants sont incluses sur le site. Par exemple, si vous cliquez sur «Viols en groupe», tous les délinquants condamnés seront listés avec leur nom complet, les sanctions, les décisions d'expulsion, etc.

On peut également rechercher tous les prisonniers d'après leur anniversaire.

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir. Le terme "Icke-svensk" signifie "non Suédois")

site suédois

Les informations publiées montrent que parmi toutes les personnes condamnées à une peine d'emprisonnement entre 2004 et 2014, 45,1% étaient des non-Suédois. Dans la catégorie des condamnations pour une durée de 9 et 10 ans de prison, ce sont respectivement 70,0 et 68,8% de «non-Suédois».

Parmi les cas de viols en groupe, 118 des auteurs, soit 82%, sont des migrants, tandis que 26 sont suédois.

L'enquête affirme également que le coût direct des crimes des immigrés dépasse largement les 20 milliards de couronnes suédoises par an.

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Migrants. « L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

nantes
 Les interlocuteurs du Président de l'Université de Nantes ...
 

05/12/2017 – 07h10 Nantes (Breizh-info.com) –  40 chambres d’étudiants réservées aux migrants (mineurs isolés), exonération des frais d’inscription, accompagnement social et sanitaire. Voici les clauses de la capitulation de la direction de l’Université de Nantes face à l’occupation menée, dans la faculté, par l’extrême gauche depuis plusieurs jours.

Avec de surcroit, l’annonce du président, Olivier Laboux, de ne pas souhaiter l’intervention des forces de l’ordre suite à la demande d’expulsion déposée devant le Tribunal administratif et jugée ce lundi 4 décembre.

Depuis le 22 novembre 2017, dix salles de cours ont été « réquisitionnées » par l’extrême gauche pour y faire dormir plus d’une dizaine de migrants. Mais également pour en faire un espace « social », entre concerts, jeux, alcoolisation, et rêveries militantes …

L’annonce qu’une quarantaine de chambres gérées par le Crous seront affectées en priorité aux migrants étudiants à partir du 1er février 2018 a du mal à passer chez certains étudiants français qui eux, doivent se loger à des prix beaucoup plus élevés dans Nantes.

« L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement » peste William, en deuxième année d’histoire. « L’université va prendre en charge une bonne partie du coût de ces gens. Il faut savoir : ils sont mineurs ou pas ? Il ne me semblait pas qu’à 16 ans, on rentre en faculté, à moins d’être tous des surdoués …»

Ce dernier nous confie être dégouté : « Je ne comprends pas comment on peut rester aussi passif. Chaque jour qui passe, c’est une concession faite aux nouveaux arrivants, et une capitulation face à une extrême gauche violente, la même qu’on retrouve à casser en manif contre l’aéroport ou contre les violences policières. Et nous, avons nous encore le droit de vivre et d’être aidé dans notre propre pays ? ».

Du côté de l’Université de Nantes, nous avons tenté de joindre M. Laboux et son cabinet, sans succès pour le moment.

Le Crous versera en sus une aide alimentaire aux migrants qui bénéficieront des 40 chambres universitaires. L’université de Nantes s’engage aussi à accompagner gratuitement les migrants (pouvant justifier d’un diplôme donnant accès à l’enseignement supérieur) souhaitant effectuer une formation diplômante. Elle veut aussi faciliter l’apprentissage du français, « via le service universitaire des langues qui les accueillera et les orientera ». Un accompagnement social et sanitaire leur sera garanti. « Nous souhaitons répondre à ces situations humaines extrêmement douloureuses. Scolariser, former, c’est insérer durablement dans une société », justifie Olivier Laboux à 20 minutes.

Voilà qui viendra compléter la capitulation et les annonces de relogement, par Johanna Rolland, maire de Nantes, face aux pressions réussies (bien organisées et très médiatisées, sans aucune contestation) de l’extrême gauche nantaise, pourtant ultra minoritaire.

Les journalistes subventionnés ne savent plus quoi faire par ailleurs pour justifier, y compris l’injustifiable, c’est à dire l’immigration illégale :

Ainsi, le journal La Croixprenant l’exemple des migrants à Nantes, évoque le cas de Moussa, qui aurait immigré du Mali – un pays pas en guerre – en raison simplement … d’un différent familial et d’une volonté d’aller à l’école.

« Issus majoritairement d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire, Mali, Congo…), ces adolescents ont bien souvent quitté leur pays pour fuir un milieu familial pauvre, parfois violent, et assouvir leur plus grand rêve : étudier. Comme en témoigne Moussa (1), venu du Mali, qui dort lui aussi à l’université. « Mon père a deux femmes et l’une d’elles ne m’aime pas. C’était difficile à la maison, et moi, j’ai toujours voulu aller à l’école. »

Engagé dans un recours contre sa non-reconnaissance de minorité, il s’apprête à partir à Saint-Nazaire, où plusieurs hébergeurs vont l’accueillir à tour de rôle. « Si j’ai pris le bateau pour traverser la Méditerranée, avec des femmes et des enfants qui pleuraient à côté de moi, c’est pour enfin aller à l’école », confirme à ses côtés Ibé, épuisé par son parcours d’exil.»

«Avec ce type d’argument, c’est le monde entier qui pourrait venir chez nous ...», remarque Marie, une étudiante manifestement désabusée.

Photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

Source : breizh-info.com

Si le raciste est Noir et déteste les Blancs c’est « politiquement correct »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

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Par Gianpaolo Rossi 

Nédonchel (62) : arrivée de 100 migrants dans un village de 160 habitants ?

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

 
 

Les services de l’État ont pris contact avec la municipalité pour envisager l’ouverture d’un centre d’accueil et d’examen des situations (CAES) des migrants dans l’ancien EHPAD. Une visite des locaux a été organisée la semaine dernière, en présence du secrétaire général de la préfecture et du président de La Vie Active, association qui gère déjà le centre de Troisvaux. Le projet semble en bonne voie, ce qui est loin de faire l’unanimité.

Six élus d’opposition, majoritaires au sein du conseil (onze élus), ont distribué des tracts appelant à se rassembler ce samedi matin devant la mairie. Ils en ont fait de même dans plusieurs villages voisins, et ont fait circuler des pétitions, « qui ont obtenu plus de 300 signatures », expliquent-ils. Leur colère se concentre sur la méthode et sur les raisons de ce choix. « Le conseil municipal est contre. Le village aussi. On ne nous a pas laissés nous exprimer, on est pris en otage. Il y a 240 habitants à Nédonchel, et 160 si on enlève les 80 résidants du nouvel EHPAD. Envoyer 100 migrants ici, ça fait beaucoup. Surtout que pour eux, il n’y a pas de services, pas de commerces, pas de transports… » La peur de l’insécurité est ouvertement affichée. Tout comme l’incompréhension face au choix d’installer ce CAES dans des locaux voisins de l’école.

Jean-Pierre Blanckaert, en minorité dans son conseil, répond au feu des critiques. « Je comprends le message des gens. En tant qu’individu, j’ai de la compassion pour les migrants. En tant qu’élu, c’est une catastrophe pour Nédonchel. En tant que représentant de l’État, je n’ai pas le choix. » Le maire rappelle que « (s)on premier souci, c’est le calme et la sécurité du village». Sur ce site de l’ancien EHPAD, la commune souhaite créer une salle des fêtes. (…)