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lundi, 08 janvier 2018

Le Premier ministre hongrois qualifie les réfugiés d’envahisseurs musulmans

Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2018

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Le Premier ministre hongrois qualifie les réfugiés d’envahisseurs musulmans. Le dirigeant hongrois, Viktor Orban, a réaffirmé que la Hongrie n’envisageait pas d’accueillir à l’avenir de nouveaux réfugiés, car cela engendre nécessairement des sociétés parallèles. Viktor Orban a appelé le chef du SPD (Parti social-démocrate d'Allemagne), Martin Schulz, à montrer plus de respect pour son pays, tout en faisant allusion à sa présidence au sein du Parlement européen : « Ce qui était bon et gentil à Bruxelles - où il n'avait pas de répercussions manifestes - constitue une toute autre histoire que d'être le chef d'un parti en Allemagne et de communiquer avec d'autres pays.
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Nous trouvons que nous méritons plus de respect ». Schulz avait appelé le président de la CSU (Union chrétienne-sociale bavaroise), Horst Seehofer, à poser des limites au dirigeant hongrois qui assistait vendredi dernier en tant qu'hôte d'honneur à la conférence d'hiver de la CSU, au monastère Seeon, en Bavière. À en croire le chef du SPD, Orban suivrait une «logique dangereuse», en premier lieu dans la politique migratoire.
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Orban a également tenu à souligner que la Hongrie ne compte pas accueillir de nouveaux réfugiés à l'avenir. « Nous croyons qu'un grand nombre de musulmans conduit inévitablement à des sociétés parallèles. Nous ne souhaitons rien de tel. Et nous ne souhaitons pas y être forcés », a-t-il relevé. Et de conclure : « Nous ne considérons pas ces gens-là comme des réfugiés musulmans, mais comme des envahisseurs musulmans ». À son avis, le "multiculturalisme" n'est qu'une illusion.
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 8.1.2018

Après avoir signalé Tex au CSA, Marlène Schiappa “défend le droit de se moquer de tout”

Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2018

Par  le 08/01/2018 

De l’inconstance en politique. Un mois après avoir signalé au CSA une blague « indigne » et « irrespectueuse » sur les violences contre les femmes de l’humoriste Tex, finalement évincé de France 2, Marlène Schiappa « défend le droit de se moquer de tout » dans une interview au Parisien, parue ce dimanche. « Aujourd’hui, je suis toujours Charlie. Et surtout pour une République laïque, une et indivisible », affirme la secrétaire d’État chargée de l’Égalité femmes-hommes, trois ans après les attaques contre Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher.

« Il faut faire très attention à ce que l’on met derrière les mots. On ne peut pas être Charlie que quand ça nous arrange. Etre Charlie pour moi, c’est ne pas transiger sur la liberté d’expression, ajoute-elle. C’est défendre le droit de se moquer de tout et de tout le monde, y compris des représentations religieuses. C’est pouvoir écrire, chanter, dessiner sans craindre de heurter telle ou telle croyance. Ça ne veut pas dire que l’on doit rire ou adhérer à toutes les caricatures.

D’ailleurs, « l’obscurantisme peut s’incarner dans l’islamisme mais concerne aussi d’autres intégrismes religieux comme les anti-IVG », souligne Marlène Shiappa (…)

 

Valeurs Actuelles via fdesouche

Attentats : commémorer et tout recommencer

Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 07 janvier 2018 

Les mouchoirs sont de sortie ! La France entre dans un long cycle de commémoration des attentats de janvier 2015. Charlie Hebdo, Hyper Cacher, ces deux lieux où la haine salafiste s’est exprimée seront sous l’œil des caméras et des journalistes déjà habitués à ces instants censés rendre hommage à des victimes innocentes et à créer les conditions d’une union nationale si rémunératrice sur le plan électoral. Et les commémorations de ce genre ne vont faire que croître, car à part déposer des gerbes sur le froid bitume de nos villes, les politiciens ne s’empressent pas de donner une réponse satisfaisante au terrorisme et à ses causes.

Les noms vont s’égrener un par un. Les élus vont se rendre d’un lieu à l’autre. Des fleurs seront déposées. Des minutes de silence seront respectées. Tout cela suivi de près par les caméras. Les journalistes diront avec une voix de circonstance que le moment est grave, solennel. Pas de discours cette année. Seule la présence jupitérienne suffit à comprendre l’importance du moment. Pas de mots présidentiels, mais une logorrhée immonde de journalistes qui croient faire de l’information en rappelant le déroulé des massacres de janvier 2015 minute par minute.

Jusqu’à la dernière larme… et après

Les journalistes feront de longues tirades sur la liberté d’expression sans même comprendre que la lutte contre les fake news constitue la principale menace contre elle. Des sondages et interviews de rue viseront à qualifier le degré de « Je suis Charlie » qui reste au sein d’une population française qui voit de mieux en mieux les desseins macabres de nos élites.

La nature de la menace sera une nouvelle fois évaluée. On prendra des chiffres bidonnés sur le nombre de détenus radicalisés, de fichés S pour terrorisme et de djihadistes revenus le plus simplement du monde d’Irak et de Syrie. Ces loups pas très solitaires constituent une menace, mais le gouvernement veille, mais le risque 0 n’existe pas, mais Macron a créé une task force, mais la déradicalisation est toujours possible, mais… si on traitait une bonne fois pour toutes le terrorisme ?

A écouter nos politiques la France est en guerre. Dans ce cas, pourquoi aucune mesure à la hauteur de la situation n’est-elle prise ? Il n’y a jamais eu autant d’haineux de la France et le phénomène ne fait que s’amplifier grâce à un communautarisme de plus en plus assumé par nos chères élites. Tout est fait pour alimenter la haine et l’interdiction de se défendre est toujours aussi primordiale. Le simple fait de décrire la réalité vaut des attaques en règle de la part d’associations dont l’objectif semble bien éloigné de leurs acronymes.

 Les massacres vont continuer et seuls le travail de services (submergés) et l’incompétence des terroristes permettront de ne pas atteindre un nombre invraisemblable de morts. La question n’est plus de savoir combien de victimes seront nécessaires afin que de vraies mesures soient prises. Nombreuses ou très nombreuses, le résultat sera le même. Des bougies seront déposées à côté de bouquets de fleurs, des larmes seront versées, des discours seront prononcés et tout sera répété jusqu’au prochain attentat. Pauvre France. Tu était si belle !

 

Source : 24heuresactu