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mercredi, 17 janvier 2018

L’ Université populaire de Dresde (All.) propose un cours avec essayage de burqa

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2018

Par  le 16/01/2018 fdesouche 

À peine présenté, le programme de cours pour le semestre d’été de l’Université populaire (VHS) suscite un certain émoi. En cause, un cours subventionné par la ville et intitulé « Codes vestimentaires en islam« . Les participants pourront, à titre d’essai, se glisser dans une burqa.

« Des couvre-chefs colorés donnent envie de connaître celles qui les portent », peut-on lire dans la présentation du cours. On peut même « faire un essai pratique » : « comment se sent-on sous une burqa ? » On dirait que l’Université populaire invite à un cours de cuisine ou de bricolage.

Cette manifestation […] est prévue pour le 11 juin à 19 heures […] L’entrée est libre. […]

En réponse à nos questions, Regina Moltke, 49 ans, porte-parole de la VHS, établit un rapprochement avec les manifs de Pegida. « Nous autres à la VHS, nous nous considérons comme un lieu d’intégrationLe cours ne repose pas sur des jugements de valeur, il sert aux habitants à se former une opinion. »

(Traduction Fdesouche)

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Thuram invite tous les idiots à cracher sur Delacroix

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2018

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Lilian Thuram devient un super guide au musée Delacroix. Objectif : démontrer «l’atteinte de l’autre, différent» dans la peinture de cet artiste.

Lilian Thuram devient-il un intégriste du décodage des tableaux de Delacroix?

Quelle surprise de l’entendre sur Arte Journal ce jour, 16 janvier 2018.  On assiste à une critique-purge de la peinture et des thèmes abordés et imaginés par Delacroix. Pourquoi ne pas demander carrément la fermeture de ce musée et jeter Delacroix aux orties? Pourquoi ne pas demander la fermeture de certaines salles du Louvre?

Delacroix, c’est une époque et les choses sont à replacer dans le contexte de l’époque des peintres orientalistes.

Ils exprimaient aussi leurs fantasmes. Mais en quoi ces fantasmes étaient-ils dangereux?. La démarche de Delacroix n’était pas de dévaloriser les humains présents dans ses tableaux.

Que cherche Thuram? Nous démontrer que nous ne sommes pas capables de discerner ce que lui peut discerner?

Après cette visite, on se demande vraiment ce que vont retenir les personnes présentes de la peinture de Delacroix.

Moi ce que je discerne, c’est le goût de la sensualité de l’invitation au voyage, au plaisir, dans ces tableaux orientalistes de Delacroix. Et vous?

https://www.arte.tv/fr/videos/080589-000-A/lilian-thuram-...

Note de Lou Mantely

Baudelaire appréciait grandement, lui,  cette invitation sensuelle au voyage en Delacroix, l’un de ses peintres favoris, à telle enseigne qu’il fit de cette formule un somptueux poème.

http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/charle...

Mais Thuram n’est pas Baudelaire, tout le monde l’avait compris.

 

 Source RR via lesobservateurs

Génération «J’ai le droit» : «Dès la 6e, les élèves se lèvent en plein cours, tutoient»

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2018

Par  le 16/01/2018 

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Barbara Lefebvre est enseignante, auteur de « Génération : J’ai le droit ». Dans son livre, elle témoigne de son expérience et parle d’une génération individualiste, de crise de l’autorité…

[…] La génération « J’ai le droit », c’est quoi ?

Barbara Lefebvre. C’est à la fois une génération d’élèves et une génération de parents qui considèrent que leurs droits individuels prévalent sur l’intérêt général. On glorifie les identités particulières au détriment du bien commun. Cet individualisme fait le jeu de deux courants : d’une part, le modèle ultralibéral, avec le culte de l’argent ; d’autre part, le communautarisme, selon lequel on serait déterminé par une identité de naissance à préserver absolument.

En tant que prof depuis vingt ans, avez-vous observé les comportements de cette génération « J’ai le droit » ?

Oui. Dès la 6e, les élèves se lèvent en plein cours, tutoient et interrompent l’enseignant… C’est la preuve que quelque chose n’est pas cadré. Je vois dans cette génération deux rejets, deux crises : une crise de l’autorité et une crise de la culture. […]

 

Le Parisien via fdesouche

Mont-de-Marsan (40) : sept surveillants de prisons agressés par un détenu « radicalisé »

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2018

Par  le 16/01/2018 

Plusieurs surveillants pénitentiaires ont été agressés par un détenu radicalisé, connu pour être « difficilement gérable », lundi après-midi, au centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan.

Alors qu’une journée de mobilisation était organisée devant les prisons françaises, suite aux événements de de Vendin-le-Vieil, sept surveillants ont été agressés lundi en fin d’après-midi par un détenu radicalisé, au centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan, indiquent deux délégués syndicaux.

Six ont dû être hospitalisés pour des blessures au plexus, un nez et un doigt cassés, un coup de poing reçu au visage et des douleurs au tibia. La septième gardienne est quant à elle très choquée. Les sept agents ont pu bénéficier d’une prise en charge psychologique et ont pu regagner leur domicile.

 

Sud-Ouest via fdesouche

Avignon : Il ne déplace pas sa voiture avant de payer son essence, Mostafa et Mohamed le frappent, le prennent en chasse et cassent sa voiture en présence de sa femme enceinte et de son bébé de 13 mois

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2018

Par  le 16/01/2018

Mostafa Dyany, 32 ans, et Mohamed El Kabir, 26 ans, ne sont pas vraiment patients lorsqu’il s’agit d’aller mettre du carburant dans leur véhicule. Ils étaient présentés hier dans le cadre d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel d’Avignon.

Samedi, ils se trouvent derrière un jeune couple qui lui aussi est venu faire le plein de son véhicule. Dyany et El Kabir reprochent au conducteur de ne pas déplacer son véhicule avant d’aller payer. La situation s’envenime des deux côtés. L’homme ne déplace pas son véhicule au motif que sa femme est en train de changer son enfant de 13 mois. Le père de famille et El Kabir s’invectivent, en viennent aux mains.

L’altercation semble prendre fin, chacun remontant dans sa voiture mais le père de famille prend en photo la plaque minéralogique du Kangoo d’El Kabir. Ce qui n’est pas du goût de ce dernier. Les prévenus décident donc de prendre en chasse la voiture de la petite famille. Et l’a vite rattrapée compte tenu des embouteillages qu’il y a ce jour-là du côté de Bonpas. El Kebir descend alors de son véhicule une barre de fer à la main et vient exploser la lunette arrière de la voiture de celui avec qui il vient d’avoir l’altercation à la station-service. Des éclats de verre brisé sont projetés sur le bébé et la jeune femme enceinte de sept mois.

Ils prennent ensuite la fuite en slalomant entre les véhicules embouteillés. Ils refusent d’obtempérer aux forces de l’ordre. Leur course s’arrête finalement dans un accident contre un autre véhicule.

(…)

Le Dauphiné via fdesouche