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mardi, 30 janvier 2018

Affaire ''la France paie le salaire des fonctionnaires Ivoiriens'' : De nouvelles révélations

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2018  

 
Affaire ''la France paie le salaire des fonctionnaires Ivoiriens'' : De nouvelles révélations
 

Plusieurs quotidiens ivoiriens ont relayé dans leurs différentes publications, hier jeudi 25 janvier 2018, l'information d'un confrère selon laquelle la France aurait accordé un appui de 100 millions d'euros, soit 65 milliards de Fcfa, à la Côte d'Ivoire.

Une aide qui aurait permis, en partie, de faire face au paiement des salaires des fonctionnaires avant les fêtes de fin d'année 2017. Une note confidentielle dont L'inter a reçu copie, le jeudi 25 janvier 2018, vient faire des précisions sur cette affaire. Ce document explique que les divers chocs enregistrés en Côte d'Ivoire en début d’année 2017, notamment la forte baisse des cours du cacao qui ont entraîné une baisse des recettes, ont nécessité des ajustements budgétaires qui ont conduit à l’adoption par le gouvernement ivoirien, en mai 2017, d’un projet de loi de finances rectificative. « Les ajustements opérés ont porté, entre autres, sur une réduction globale d’environ 10% des dépenses (hors salaires, service de la dette et autres activités et opérations spécifiques) », précise la note.

Aussi, pour contribuer à la poursuite des efforts déjà entamés dans la mise en œuvre des actions inscrites dans le Plan national de développement (Pnd 2016-2020) et dont les impacts sur la croissance économique sont notables, la Côte d'Ivoire, toujours selon le document en notre possession, a-t-elle eu recours à des concours extérieurs additionnels auprès de partenaires au développement, notamment la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (Fmi), la Banque africaine de développement (Bad) et la France à travers l’Agence française de développement (Afd).

« C’est dans ce cadre qu'intervient l’appui de 100 millions d’euros de la France, dont les négociations avaient débuté bien avant le mois de décembre », précise le document, qui souligne que les ressources intérieures de l’État permettent de payer les salaires des fonctionnaires, qui s’élèvent à 1 512 milliards de Fcfa par an, et que, d'ailleurs, la Direction générale des Douanes, à elle seule, a pu mobiliser 1 723,73 milliards de Fcfa. « En outre, le décaissement dont la Côte d’Ivoire a bénéficié dans le cadre de cet appui budgétaire en décembre est intervenu après les virements des salaires dudit mois », précise la note confidentielle.

I.B.

 

Source : linfodrome

De l’art-thérapie pour les migrants

Publié par Guy Jovelin le 30 janvizer 2018 

Élise Quillé est art-thérapeute auprès de jeunes migrants mineurs et utilise le théâtre, la peinture, le dessin comme prétexte à parler de soi autrement qu’avec des mots.

Ils viennent du Mali, du Tchad, d’Albanie, Syrie, Guinée, Bangladesh… La quinzaine de jeunes migrants mineurs présents ce lundi à 15 h 30 dans la grande salle du Pôle Activités de Jour sont impatients de participer à l’atelier hebdomadaire de théâtre d’Élise Quillé. « Pour commencer, on se met en cercle. On imagine qu’on est un bûcheron avec une hache, on coupe du bois en poussant un cri. »

« Ces jeunes migrants ont tous des histoires difficiles »

Les ados agitent les bras et crient en riant. S’ensuivent des petits jeux de déambulation où il faut marcher comme un funambule, comme une star, en étant fâché, en dansant… « Des prétextes pour parler de soi autrement qu’en mots, leur permettre d’extérioriser des émotions enfouies. Car ces jeunes ont tous des histoires difficiles, explique Élise. Remontent parfois des moments de leur parcours. Comme le naufrage en bateau. Ils le rejouent. »

Élise Quillé est art-thérapeute au PAJ depuis 2 ans et demi, date de la création de la structure du Service d’accueil des mineurs isolés étrangers (SAMIE) pour faire face à l’arrivée massive de jeunes ados migrants. Chaque jour, ils sont une cinquantaine à y être pris en charge. Scolarisés, en stage ou en attente, ils viennent faire du sport, du français, rencontrer un psychologue, un éducateur spécialisé, une assistante sociale, jouer au baby-foot. Ou faire du théâtre, peindre, dessiner avec Élise. Des moments toujours très attendus.

Au-delà du dessin

« Ça me détend et me met de bonne humeur, assure Zlatan*. En plus, ça crée un lien d’amitié fort entre nous. » Pour Keli*, Ivoirien, à Nancy depuis 1 mois, « c’est beaucoup de joie et cela me permet d’oublier des choses pas faciles… Ici, j’ai une famille. » Kaouzin*, du Mali, ajoute que le théâtre l’aide « à supporter sa tristesse. Le dessin aussi me fait du bien. »

Élise Quillé le sait. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a choisi d’être art-thérapeute il y a 4 ans : « Je travaillais comme éducatrice spécialisée dans un foyer à Toul et un enfant a piqué une crise après avoir dessiné. Je me suis dit waouh, il s’est passé quelque chose de fort, au-delà du dessin. Mais quoi ? J’ai eu envie de me former ».

Dans son petit bureau décoré de peintures, modelages, bricolages, ils sont nombreux à venir chaque jour griffonner avec des feutres et des crayons de couleur « pour se changer les idées, couper, penser à autre chose ». Moments importants aussi pour faire connaissance dans un cadre sécurisant, retrouver la confiance en l’adulte. « Car beaucoup ont été abusés par des passeurs », affirme Élise.

Il est 16 h 30 et l’atelier théâtre se termine. Sur l’estrade, les ados miment un lion endormi, prêt à rugir si on s’approche de lui. Tous jouent le jeu. Détendus. Heureux.

*Les prénoms ont été changés.

50 jeunes chaque jour

Psychologue, infirmier, enseignant, éducateur, assistance sociale, animateur sportif, art-thérapeute... 15 pros accompagnent chaque jour une cinquantaine de jeunes, seul ou en groupe, au Pôle Activités Jour créé en juillet 2015, une des structures du Service d’accueil des mineurs isolés étrangers (service du Réseau éducatif de Meurthe-et-Moselle).

Corinne BARET

 

Source : estrepublicain

Affaire Théo : une vidéo de son interpellation prouve qu’il a menti

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2018

Auteur : Pierrot

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La preuve en image des mensonges de cette racaille bas du front… Gardons bien en mémoire le traitement médiatique de cette affaire, ainsi que le déplacement de Hollande au chevet de cette sombre merde…

C’est la pièce centrale de ce dossier, la preuve de ce qui est réellement arrivé à Théo L. le 2 février 2017. Europe 1 dévoile les images enregistrées par les caméras de vidéosurveillance de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Elles ont été analysées par les enquêteurs de l’Inspection générale de la police (IGPN) puis versées dans la procédure judiciaire. Elles permettent de comprendre ce qu’il s’est vraiment passé.

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MGR GINOUX, ÉVÊQUE DE MONTAUBAN, N’A PAS LA LANGUE DANS SA POCHE

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2018

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Si certains journaux se sont étonnés que le nouvel archevêque de Paris soit catholique, ils risquent de tomber à bras raccourcis sur Mgr Ginoux, évêque de Montauban, qui vient de rappeler sèchement à l’ordre le Mouvement rural de jeunesse chrétienne. Un rappel à l’ordre qui risque de déplaire à bien des gens.

Le MRJC est l’ancienne Jeunesse agricole chrétienne, un de ces mouvements d’action catholique nés entre les deux guerres pour réimplanter le catholicisme au milieu des populations. Dans les années 60, ces mouvements (dont la JOC/Jeunesse ouvrière chrétienne) ont pris un fort virage progressiste, sans doute à l’origine de leur rapide désaffection. L’Action catholique, aujourd’hui, ce sont quelques personnes âgées surreprésentées dans les diocèses. Rien de plus.

Sur la page Internet du mouvement il faut beaucoup chercher pour trouver le mot « chrétien ». Son slogan ? « Jeunes et ruraux : engagé.e.s pour transformer la société ». Suit une soupe insipide et inintéressante.Tout cela ne mériterait pas qu’on s’y arrête si ce mouvement n’avait posté, quelques jours avant la Marche pour la vie, un message dénonçant l’engagement des marcheurs et rappelant que l’avortement était un droit fondamental pour les femmes et pour les couples. Si le secrétaire général de l’association est libre de ses opinions, il semble en revanche compliqué de les exprimer au nom d’un mouvement catholique. Sous la pression de la Conférence des évêques de France, un nouveau communiqué a été publié, appelant à « ce qu’un espace de dialogue se rouvre au sein de l’Église sur l’IVG ».

Mgr Ginoux n’a pas sa langue dans sa poche. Dans un courrier à ce mouvement, il dénonce une position inacceptable pour les catholiques, en rappelant que la question n’est pas négociable. « Le respect de toute vie humaine de sa conception à sa fin naturelle n’est pas une option, un choix, une opinion parmi d’autres. Pour toute personne qui a le sens de la vie ce respect est inconditionnel », écrit-il. « L’IVG est un acte grave qui tue un enfant et blesse à jamais une femme. »

Effectivement, le propos a le mérite de la clarté. On aimerait que tous ses confrères tiennent le même langage, par exemple à l’égard de certaines associations bénéficiaires de quêtes de Carême qui promeuvent la « santé reproductive » dans les pays du tiers-monde… Mais l’évêque va plus loin : « En conséquence, je ne reconnais plus le MRJC comme un mouvement de l’Église catholique et, comme évêque, je ne lui donnerai aucune aide financière ou matérielle. Quant à lui laisser former des jeunes je ne m’y risquerai pas. »

Certains coups de règle sur les doigts sont réjouissants. Quand nos évêques, trop souvent, susurrent un discours tiède et inaudible, il faut se féliciter de l’énergie de certains d’entre eux. Mgr Ginoux en fait partie. Que son exemple soit suivi, et l’Église de France, débarrassée de ces vieilles structures inutiles, pourrait bien se recentrer sur l’essentiel : la conversion et l’évangélisation. Merci, Monseigneur !

 

Source : bvoltaire

Une immigrationniste allemande se réveille face à la réalité

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2018

 Lu sur RITV :

Images-2"Rebecca Sommer a fondé en 2012 l’association d’aide aux réfugiés Arbeitsgruppe Flucht + Menschen-Rechte (AG F+M). A la fin de l’été 2015, cette artiste, photographe et journaliste auteur de documentaires applaudissait la décision d’Angela Merkel d’ouvrir en grand les frontières de l’Allemagne aux « réfugiés » bloqués en Hongrie, malgré l’effet de pompe aspirante que cela devait créer. « A ce moment-là, je voulais aider chaque personne et je croyais vraiment que tous ces gens fuyaient un enfer et se trouvaient dans la détresse la plus absolue », a expliqué l’activiste allemande dans une interview publiée par l’hebdomadaire conservateur polonais  Do Rzeczy  le 15 janvier dernier à qui elle à parlé de son réveil face à la réalité. [...] 

La prise de conscience de cette représentante typique des activistes droits-de-l’hommistes bien ancrés à gauche date de la Saint-Sylvestre 2015 à Cologne. Elle a bien dû reconnaître à ce moment-là, ainsi qu’elle l’avoue sans détour au site anti-islamisation polonais euroislam.pl, que les comportements des agresseurs nord-africains et moyen-orientaux de Cologne s’inscrivaient tout à fait dans la culture musulmane des nouveaux arrivants qu’elle avait elle-même rencontrés jusqu’ici : « C’est le moment où je me suis dit : “Rebecca, tu dois maintenant mettre le holà, ne serait-ce qu’en tant que militante pour les droits des femmes.” »

Auparavant, se justifie Rebecca Sommer, « Je croyais que [leur] vision moyenâgeuse allait changer avec le temps […] mais après avoir vu ces situations se répéter et avoir observé ce qui se passait autour de moi, bénévole, j’ai dû reconnaître que pour ce qui est des réfugiés musulmans, ils ont grandi avec des valeurs totalement différentes, ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’enfance et sont endoctrinés par l’islam et n’ont absolument pas l’intention d’adopter nos valeurs. Pire encore, ils nous regardent, nous les infidèles, avec dédain et arrogance. »

Dans son interview pour le site euroislam.pl, l’activiste pro-réfugiés précise que le mépris pour les modes de vie occidentaux et pour les femmes ne concerne pas que les musulmans pratiquants, mais la majorité de ceux qui ont grandi au sein de la culture musulmane. Elle parle aussi de sa grande déception quand elle s’est aperçue comment un groupe de « réfugiés » qu’elle avait personnellement aidés et qu’elle croyait être ses amis pratiquaient avec elle la taqqiya. « Je me suis brutalement aperçue que ces gens que j’avais aidés, qui mangeaient, buvaient, dansaient et riaient avec moi, qui ne priaient pas, qui n’allaient pas à la mosquée, qui ne respectaient pas le ramadan, qui se moquaient de la religion et des personnes profondément religieuses, ne m’appelaient pas autrement que « la stupide putain allemande » quand ils mangeaient ma nourriture et se reposaient dans mon jardin. » Elle reconnaît toutefois qu’elle avait été prévenue par des Arabes et des Kurdes arrivés eux aussi récemment en Allemagne justement pour fuir l’oppression musulmane.

Rebecca Sommer affirme ne pas être un cas isolé, que de nombreux autres bénévoles ont aussi eu cette même prise de conscience tardive et qu’il y a beaucoup moins de bénévoles prêts à travailler avec les nouveaux arrivants aujourd’hui en Allemagne. Elle reconnaît aussi que, par leur nombre, ces immigrants musulmans sont une menace pour le mode de vie des Allemands, et que cela va empirer avec le regroupement familial. [...]"

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige