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mercredi, 21 novembre 2018

Castres (81) : vaste opération des gendarmes dans un camp de gens du voyage, plusieurs interpellations

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Par  le 20/11/2018

 
C’est une opération de grande envergure qu’ont menée les gendarmes ce mardi matin à Castres. Pas moins de 143 militaires issus du groupement de gendarmerie départementale d’Albi, des compagnies et des pelotons de surveillance et d’intervention de Castres, Albi et Gaillac, de la brigade cynophile et de l’antenne du GIGN de Toulouse, appuyé par un hélicoptère, ont investi l’aire des gens du voyage de la Vivarié vers 6 heures.

Un déploiement de force qui visait à l’interpellation d’individus recherchés dans le cadre d’une enquête diligentée par la brigade de recherches de Castres pour des faits de violences volontaires avec arme à feu envers des personnes dépositaires de l’autorité publique commis il y a un mois.

[…] C’est finalement dans des habitations de Castres que les individus âgés de 23 et 41 ans ont été arrêtés ce matin. Les quatre individus ont été placés en garde à vue, deux à la brigade de gendarmerie de Castres et les deux autres au commissariat. Des perquisitions, menées par les gendarmes et les policiers, ont eu lieu sur le camp et aux domiciles des mis en cause.

Si les affaires sont différentes, elles ont un point commun : les individus n’avaient pas hésité à s’en prendre violemment aux forces de l’ordre. Ce qui explique l’opération d’envergure de ce mardi matin.

La Dépêche via fdesouche

jeudi, 07 juin 2018

Narbonne : « Vous avez vu ce qui s’est passé à Trèbes, vous allez voir, on est des fous nous »

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2018 

Par  le 06/06/2018

Cela avait commencé par une banale interpellation pour un excès de vitesse, mais les faits ont ensuite dégénéré

Le 1er juin dernier, Ben (*) est arrêté par une patrouille de police après un léger excès de vitesse. L’homme n’a pas son permis et donne en plus une fausse identité. Placé en garde à vue, le contrevenant s’énerve et perd le contrôle. Insultes et menaces de mort se succèdent mais surtout le mise en cause fait des références explicite aux attentats de Trèbes : « Je vais vous brûler, je vais vous kalach, vous avez vu ce qui s’est passé à Trèbes, vous allez voir, on est des fous nous ».

Le prévenu âgé de 29 ans comparaissait devant le tribunal correctionnel de Narbonne lundi 4 juin pour cinq infractions. Mais l’une d’elles attire l’attention du tribunal, celle d’apologie du terrorisme. Ben s’excuse pour ses paroles mais explique ne pas avoir été lui-même : « Ils m’ont emmené en garde à vue, je n’avais pas mangé, ni bu (NDLR : il faisait le ramadan) j’étais fatigué, on m’a interdit d’aller aux toilettes, je me suis pissé dessus, alors oui je n’arrivais plus à me contrôler ».

Elle requiert une peine de deux ans ferme et une interdiction des droits civiques et familiaux. En défense, Me Romain Bellet ne met pas en doute les quatre premières infractions (conduite sans permis, fausse identité, outrage à agent et menaces de mort) mais conteste celle d’apologie du terrorisme : « L’apologie est qualifiée de telle en présence d’un élément public, or les paroles ont été énoncées au sein du commissariat, l’infraction n’est pas caractérisée ».

 

mardi, 30 janvier 2018

Affaire Théo : une vidéo de son interpellation prouve qu’il a menti

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2018

Auteur : Pierrot

affaire théo,interpellation,mensonge,


La preuve en image des mensonges de cette racaille bas du front… Gardons bien en mémoire le traitement médiatique de cette affaire, ainsi que le déplacement de Hollande au chevet de cette sombre merde…

C’est la pièce centrale de ce dossier, la preuve de ce qui est réellement arrivé à Théo L. le 2 février 2017. Europe 1 dévoile les images enregistrées par les caméras de vidéosurveillance de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Elles ont été analysées par les enquêteurs de l’Inspection générale de la police (IGPN) puis versées dans la procédure judiciaire. Elles permettent de comprendre ce qu’il s’est vraiment passé.

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vendredi, 09 septembre 2016

Opération antiterroriste dans l'Essonne: un attentat "imminent" déjoué, 3 interpellations

Opération antiterroriste dans l'Essonne: un attentat
Un fourgon de police (illustration)
 
Orange avec AFP, publié le jeudi 08 septembre 2016 à 22h18

Selon les premiers éléments révélés ce soir par Bernard Cazeneuve, les forces de l'ordre semblent bien avoir gagné une "course contre la montre" dans l'enquête ayant suivi la découverte d'une voisine bourrée de bonbonnes de gaz dans une rue jouxtant Notre-Dame de Paris.

Ce jeudi 8 septembre, à Boussy Saint Antoine (Essonne), trois jeunes femmes âgées de 39, 23 et 19 ans ont été arrêtées, dont la fille du propriétaire de la voiture suspecte. Cette dernière, la plus jeune des trois, était fichée S et radicalisée. Lors de l'interpellation, elle a tenté de poignarder le policier et a été grièvement blessée.

Les interpellations ont eu lieu devant un appartement. Les trois femmes avaient été localisées en fin d'après-midi. Le RAID avait été appelé mais les 3 filles sont sorties avant l'arrivée des équipes spécialisées. Les agents de la DGSI sont alors intervenus.

CAZENEUVE CONFIRME

D'autres attaques "violentes" et "imminentes" étaient à prévoir selon Bernard Cazeneuve, qui a salué la "très belle performance" des services d'enquête. Selon i-Télé, les trois jeunes femmes s'apprêtaient à commettre un attentat. Selon la même source, des signaux alarmants avaient été lancés, notamment à la gare de Lyon où des policiers ont été déployés.


D'autres cibles avaient été désignées. C'est en début de soirée que les suspectes ont pu être arrêtées. L'opération a été menée par la DGSI. Le pronostic vital du policier blessé dans l'opération n'est pas engagé..
 
Source : actu.orange

lundi, 05 octobre 2015

Toulouse : un policier blessé lors de l'interpellation de voleurs de voitures

Publié par Guy Jovelin le 5 octobre 2015

Un policier a été blessé dimanche soir à Toulouse lors de l'interpellation deux voleurs avec effraction. Ses jours ne sont pas en danger. Son collègue a tiré dans les pneus pour stopper le véhicule

© France 3

© France 3

Un policier a été blessé dimanche soir lors de l'interpellation de cambrioleurs dans le quartier de Borderouge à Toulouse, a-t-on appris de plusieurs sources policières.

Le policier de la Brigade Anti-Criminalité (BAC) intervenait avec ses collègues rue Amable Benoit de Saint-Ange sur une tentative de vols par effraction. Les deux auteurs présumés, arrivés à bord d'un véhicule volé, un Volkwagen Tiguan, venaient d'en dérober un second, une Fiat 500.

Selon nos informations, c'est avec ce deuxième véhicule que l'un des voleurs a percuté la voiture de la BAC. Un policier a alors tenté de l'extraire du véhicule mais il a repris la route, traînant le policier sur plusieurs mètres. L'un de ses collègues a tiré (une seule fois) dans le pneu avant gauche pour immobiliser le véhicule en fuite.

Un homme de 27 ans a été interpellé et placé en garde à vue. Le policier a été blessé au dos, au genou et à la cheville gauche. Il a été transporté par les pompiers au CHU de Purpan et a bénéficié d'un arrêt de travail initial de 3 jours. 

Le syndicat Unité SGP Police souligne "le sang froid et le professionnalisme des intervenants et souhaite un prompt rétablissement au policier blessé. Cette tentative d’homicide sur un fonctionnaire de police indigne une nouvelle fois l’ensemble des policiers lesquels oeuvrent jour et nuit pour mettre hors d’état de nuire des individus qui n’ont aucun respect pour la vie humaine ni l’intégrité physique des personnes". Le syndicat demande "la plus grande sévérité à l’encontre des auteurs".
Pour le syndicat Alliance, "cette nouvelle affaire démontre, une fois de plus, la difficulté d'exercer le métier de policier à Toulouse où les forces de l'ordre doivent constamment faire face à des individus déterminés pour qui la vie des policiers ne compte pas"