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vendredi, 09 février 2018

Être de gauche ? En pratique, c’est impossible !

Publié par Guy Jovelin le 09 février 2018

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Source : ndf

Bientôt la démission pour Nicolas Hulot ?

Publié par Guy Jovelin le 09 février 2018

Rédigé par notre équipe le 08 février 2018

 

Reçu à sa demande sur le plateau de Jean-Jacques Bourdin, le ministre de la Transition énergétique est dans la tourmente. Pour une fois, ce ne sont pas les couleuvres que lui font avaler ses chefs qui sont au cœur de l’actualité. Les rumeurs vont bon train sur des écarts sexuels dont se serait rendu coupable à plusieurs reprises le ministre. Hulot dément catégoriquement toutes les accusations et bénéficie du soutien total de ses collègues. Soulagement dans les rangs de la majorité ! On va pouvoir continuer à faire de l’écologie purement médiatique.

L’orage gronde au-dessus des hommes politiques. Ceux qui sont censés être des modèles de vertus, dignes de gouverner la France sont pris les deux pieds dans des affaires sexuelles scabreuses. Entre Denis Baupin dont les agissements présumés n’ont pas attendus l’affaire Weinstein pour éclater dans la presse en passant par les accords immoraux du ministre Darmanin, plus aucune bête politique n’est à l’abri. La dernière victime en la matière n’est pas un professionnel de la politique, mais il est peut-être le plus connu des ministres : Nicolas Hulot.

Scandale sexuel ou diffamation ?

L’animateur de télévision qui a fait fortune en vendant des gels douche est au cœur d’une tourmente qui le voit accusé de harcèlement sexuel sur plusieurs femmes. Un article long de deux pages du nouveau magazine Ebdo dépeint le ministre comme un prédateur sexuel avec des témoignages à la clé. Un bon moyen pour un nouveau média de se faire de la pub ? Peut-être… En tout cas, Nicolas Hulot prend les devants et rappelle que certains faits qui lui ont été reprochés ont été classés sont suite il y a dix ans.

Dans l’interview accordée à Jean-Jacques Bourdin ce matin, Hulot s’est montré combattif et héritier d’un soutien inconditionnel de la part du Premier ministre et du Président de la République. Et pour cause ! Ces deux gusses ont besoin d’un Hulot ministre pour faire croire à tous les crédules qu’un exécutif qui s’intéresse vraiment à la cause écologiste est aux commandes. L’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes est un blanc seing pour se faire passer pour un amoureux des fleurs, mais avec un Hulot en tête d’affiche, l’artifice passe bien mieux.

Ainsi, que les rumeurs soient fondées ou non, qu’un accord secret ait été conclu entre Hulot et l’une de ses possibles présumées victimes, il sera soutenu à bout de bras pour éviter toute démission bien dommageable pour l’image du Gouvernement. Imaginez si un harceleur sexuel avait pris place entre Darmanin et Edouard Philippe ? Nul doute que Hulot sera choyé par tout le Gouvernement. Il est trop précieux pour se perdre sur une mine du type « Balance ton porc ». La presse peut circuler quitte à trouver un second couteau sur lequel se faire les dents un peu plus longuement.

 

Source : 24heuresactu

Chibanis : « 1.100 euros de retraite de base, beaucoup en France s’en contenteraient, et au Maroc, c’est Byzance »

Publié par Guy Jovelin le 09 février 2018

Auteur : Pierrot

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Excellent texte de Pauline Mille pour reinformation.tv, qui revient sur la forfaiture de ces contractuels marocains embauchés par la SNCF, ainsi que leur instrumentalisation par les immigrationnistes.

La Cour d’appel de Paris vient de confirmer l’indemnisation de 848 Chibanis, ces travailleurs marocains engagés par la SNCF comme contractuels voilà quarante ans. Les juges ont ainsi condamné le statut de la SNCF et à travers lui la nationalité française.

Ceux qu’on appelle les Chibanis (littéralement les chenus) sont des marocains blanchis sous le harnois de la SNCF comme jadis le père du Cid dans les travaux guerriers. Ils ont été engagés dans les années soixante-dix et quatre-vingt comme contractuels, le statut de la SNCF étant réservé alors aux employés de nationalité française, avant qu’il ne s’ouvre récemment aux ressortissants de l’union européenne. Ils se plaignent d’avoir subi tout au long de leur carrière des salaires, formations et promotions inférieurs à ceux dont bénéficiaient les « cadres permanents » et « agents de statut », et de retraites moindres. En 2015, le conseil des prudhommes de Paris leur a donné raison, fixant leur indemnisation à environ 170 millions d’euros, soit deux cent mille euros par plaignant en moyenne. Mais la SNCF avait fait appel, et la cour d’appel a rendu son jugement. 

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Guerre d'Algérie: la France reconnaît le droit à une pension aux victimes civiles algériennes

Publié par Guy Jovelin le 09 février 2018

  

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Le 17 mars 1962, une délégation algérienne arrive au Parc Hôtel à Evian-les-Bains dans le cadre des pourparlers qui ont abouti aux accords d'Evian. STF/AFP

Le Conseil constitutionnel français a étendu jeudi le droit à des pensions aux victimes d'actes de violence pendant la guerre d'Algérie à l'ensemble des personnes qui résidaient alors dans le pays, quelle que soit leur nationalité.

Abdelkader K. réside aujourd'hui à Bordeaux. Mais à l'âge de 8 ans, en 1958, il est blessé par balle à l'abdomen lors d'un attentat à Mascara, au sud-ouest d'Alger. L'Algérie est à l'époque un département français, il est donc lui-même citoyen français. Abdelkader K. a, depuis, perdu cette nationalité, ce qui l'empêche de bénéficier de la pension aux victimes de la guerre d'Algérie réservée exclusivement aux détenteurs de la carte d'identité française.

En novembre dernier, cet Algérien a saisi le Conseil constitutionnel en déposant une question prioritaire de constitutionnalité. Il conteste l'article 13 de la loi du 31 juillet 1963 qui a créé un régime d'indemnisation des personnes de nationalité française, victimes de dommages physiques subis en Algérie entre le 31 octobre 1954 et le 29 septembre 1962, dates du début du conflit et de la formation du premier gouvernement de l'Algérie indépendante.

Plus de 55 ans après le traumatisme de la guerre d'Algérie, le Conseil constitutionnel français a décidé, ce jeudi, que les civils algériens ayant subi des dommages physiques du fait de violences liées au conflit pouvaient désormais prétendre, eux aussi, à des pensions versées par la France. Les sages ont censuré les mots «de nationalité française» qui réservaient jusqu'alors ces avantages aux seules victimes qui avaient la nationalité française après l'indépendance de l'Algérie, invoquant le principe «d'égalité devant la loi» garanti par la Constitution. Abdelkader K. peut donc maintenant lui aussi prétendre à cette pension.

À l'origine, le législateur avait justifié la création de ce droit pour les victimes françaises par «la carence du gouvernement algérien» à assurer le paiement des rentes à ces victimes prévues dans les accords d'Evian du 18 mars 1962 mettant fin au conflit.

Le statut de victime

Les sages ont considéré que la différence de traitement entre victimes françaises et étrangères n'était pas plus acceptable en ce qui concerne les ayants droit des victimes décédées. «C'est une décision très forte mais parfaitement logique», a réagi auprès de l'AFP l'avocate du requérant, Me Jennifer Cambla.

«On avait du mal à comprendre cette différence de traitement dans la mesure où tous les Algériens étaient Français durant la guerre d'Algérie.

Me Jennifer Cambla, avocate du requérant.

«On avait du mal à comprendre cette différence de traitement dans la mesure où tous les Algériens étaient Français durant la guerre d'Algérie. Ce n'était donc pas juste de penser que seuls les Français pouvaient bénéficier de ce droit à pension», a-t-elle expliqué en évoquant la fin d'un long combat judiciaire.

En mars 2016, l'avocate avait déjà obtenu une première victoire. Jusque-là, une disposition de la même loi exigeait d'avoir été Français à la date de sa promulgation pour pouvoir prétendre à une pension. Une disposition que le Conseil constitutionnel avait alors censurée. «Mon client, Chérif Y., blessé par balle durant la guerre d'Algérie mais qui n'a obtenu la nationalité française qu'après la loi, a pu, grâce à cette décision, obtenir une pension de 150 euros par mois», a-t-elle rappelé.

Pour l'avocate, «les personnes concernées, dont il est difficile d'évaluer le nombre, attendent avant tout la reconnaissance par la France de leur statut de victime, car les pensions ne représentent pas beaucoup d'argent». Les victimes ou leurs ayants droit peuvent faire valoir leur droit à un rattrapage sur les cinq années précédant la décision du Conseil constitutionnel, précise-t-elle.

L'Algérie a proclamé son indépendance le 5 juillet 1962, après 132 années de présence française et un conflit qui a fait quelque 400.000 morts selon des estimations d'historiens français, 1,5 million de morts selon les autorités algériennes.

 

Source : lefigaro

Italie : élan de solidarité pour Luca Traini

Publia par Guy Jovelin le 09 février 2018

contre-info.com/author/pierrot

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Samedi, après l’annonce de l’arrestation d’un Nigérian inculpé d’avoir tué et découpé une jeune italienne de 18 ans, Luca Traini a tiré sur une dizaine d’Africains à Macerata, avant de s’arrêter pour attendre la police, enveloppé d’un drapeau italien.

L’avocat du patriote de 28 ans, a déclaré mercredi recevoir un flot de messages de solidarité pour son client. « Ces messages continuent d’arriver, de tous bords politiques. Il s’agit de gens ordinaires la plupart du temps, des gens de gauche, de droite aussi bien sûr », a déclaré Me Giancarlo Giulianelli.

« La plupart du temps, les gens disent qu’ils veulent donner de l’argent », a-t-il ajouté. « Mais mon client, même s’il remercie tout le monde pour les messages, ne veut pas de soutien financier et demande que cet argent évoqué pour sa défense soit envoyé à des familles italiennes en difficulté ».

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