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dimanche, 02 décembre 2018

Castaner démission.

Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2018

jeudi, 11 octobre 2018

Macron, une incompétence impossible à remanier

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 10 octobre 2018

 

 
 
 

 

Depuis la démission rocambolesque de « Gégé » Collomb le 3 octobre dernier, les spéculations vont bon train pour savoir qui aura la lourde tâche de lui succéder. Et pour une fois, le Gouvernement a eu une bonne idée en imaginant un remaniement plus large afin d’expurger les nombreux (pas tous sinon il n’y aurait plus grand monde) poids morts et autres ministres au parfum de scandale. C’était sans compter que les rangs de LREM ne sont pas constitués de lumières capables de donner le change bien longtemps. Le remaniement se fait attendre et confirme que l’amateurisme est un trait à tous ces professionnels du blabla.  

Il y a urgence ! Le remaniement prend du temps, beaucoup trop de temps ! Les chaînes d’ « information » en continu sont sur les rotules, les journalistes perdent leurs nerfs et mêmes les Macrodôlatres commencent à s’impatienter. L’inquiétude se lit sur les visages même si le mot d’ordre depuis une semaine est « il n’y a pas de crise ». Pas de crise alors, mais toujours pas de remaniement et encore moins de vrai ministre de l’Intérieur. A croire que Collomb n’était qu’un pantin juste bon à raconter quelques salades et à serrer des mains (sauf celle de Benalla, un homme qu’il ne connaissait pas selon la formule consacrée)…

Un collomb part et laisse un grand vide

Remplacer Collomb ne devrait pas être si compliqué. Les pantins se trouvent à tous les coins de rue. On en trouve même plus que du travail en changeant de trottoir. Il suffirait à Edouard Philippe de se placer dans un couloir de l’Assemblée nationale pour choisir à la volée un député de son camps. Oui, mais voilà, on nous dit que le choix prend « plus de deux heures », car il faut vérifier le passé de l’heureux élu. Il ne faudrait pas que le nouveau ministre se fasse pincer pour des délicatesses avec le fisc par exemple.

C’est ainsi qu’on comprend la difficulté de Macron et de Philippe. Où trouver un ministre qui n’a d’yeux que pour le président, qui soit assez crédible dans son nouveau rôle et qui ne fasse pas rapidement la Une du Canard Enchaîné ? Cela fait une semaine que le Gouvernement pédale dans la semoule et cela va continuer jusqu’à vendredi au moins puisque l’Elysée a indiqué ce matin que le remaniement attendrait le retour de Jupiter de son voyage en Arménie. Il faut croire que sans Macron, tout devient impossible.

En attendant de savoir qui arrivera et qui sera débarqué, le Gouvernement est à l’arrêt. Les ministres ont les yeux rivés sur leur téléphone et espèrent qu’ils seront confirmés dans leurs fonctions. Une ministre comme Françoise Nyssen y croit-elle toujours ? Malgré ses frasques, ses démêlés avec la justice, son absence de travail et ses nominations scandaleuses, la ministre de la Culture est toujours là. Alors elle croise les doigts et se dit que sur un malentendu, elle pourrait bien rester en poste.

Que le remaniement se passe vendredi ou plus tard, cela importe peu. Les mêmes politiques auront les mêmes effets. On ne combat pas l’impopularité en mettant un nul connu par un nul encore inconnu. Ce fâcheux épisode illustre juste la carence en matière grise du côté du pouvoir. La stratégie de Macron de s’entourer de médiocres ne paye plus et devient même contre-productive. La politique c’est penser à long terme, mais pour cela encore faudrait-il que Macron pense tout court.

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 29 août 2018

Hulot démissionne enfin !

Publié par Guy Jovelin le 29 août 2018

Rédigé par notre équipe le 28 août 2018. 

Les masques tombent. A tous les niveaux, la Macronie s’étiole. Aujourd’hui, la chute a lieu sur un plan strictement politique avec la démission « surprise » de Nicolas Hulot. Le ministre de la Transition écologique et solidaire en a eu assez de « se mentir » et a donc profité d’une interview matinale pour annoncer son départ. Un saut dont n’ont pas été prévenus le président et le Premier ministre afin qu’ils ne réussissent, une fois encore, à retenir un ministre fantoche et « sans pouvoir ». Le mauvais vent a fini par faire lâcher Hulot et dénude un peu plus une Macronie en pleine déliquescence.

Et maintenant la fuite. Après un bilan sous forme d’échec et des affaires qui se mêlent en pagaille, le Gouvernement doit veiller sur ses propres rangs pour éviter la débandade. Il fallait montrer que l’équipe de bras cassés était au travail, mais Nicolas Hulot a enfin compris qu’il était un ministre de papier, rien d’autre. Utilisé comme produit marketing depuis un an, il ne parvenait pas à imposer la moindre décision d’envergure à un gouvernement qui ne pense qu’au fric malgré les discours sur les pâquerettes. Hulot a enfin pris une décision et c’est celle de sa démission.

Un ministre sans pouvoir ni espoir

Surnommé le Don Quichotte de l’écologie dans nos colonnes, Nicolas Hulot a peut-être eu la bonne idée de nous lire afin de prendre conscience de sa situation. A la tête d’un puissant ministère, Hulot n’aura été qu’un étendard brandi par la Macronie pour montrer qu’elle s’intéresse à la planète et à l’environnement. En un mot : un alibi. Il aura fallu treize mois à Hulot pour s’en rendre compte. L’homme était tellement démonétisé qu’il en était réduit à apostropher Brigitte Bardot au cœur de l’été. Les propos de l’ancienne actrice avaient fait mal car ils avaient tapé en plein dans le mille.

Hulot ressemblait à une cible et c’est la rencontre d’hier avec les chasseurs qui l’aura finalement décidé à quitter le gouvernement. Il avait prévenu qu’il ne voulait pas voir de lobbyistes à la réunion entre le Gouvernement et les chasseurs. Comme toujours, les souhaits du ministre ont servi de papier hygiénique à Macron et le lobbyiste Thierry Coste était de la partie. Enervé, Hulot a demandé à Macron après la réunion ce que faisait ce lobbyiste à une telle réunion et le président de la République s’est une nouvelle fois moqué de lui en lui affirmant le plus sérieusement du monde : « Je ne sais pas comment ce monsieur est rentré ». C’est bien connu, l’Elysée est un moulin ouvert à tous les vents. Autre théorie, Thierry Coste était là pour « venir chercher » le président et ainsi donner aux Français ce qu’ils veulent.

Non, les lobbyistes ont leur rond de serviette à la table élyséenne et Hulot a finalement compris ce que tout le monde savait déjà. Inutile, méprisé, Hulot s’en est finalement allé sans même prévenir Macron et Philippe. Crise gouvernementale assurée. Rien qu’entendre Marlène Schiappa prise de court valait une si longue attente. « Vous plaisantez ? » demande-t-elle à son interviewer du jour. Non, Hulot en a eu assez de « se mentir » et a démissionné sans crier gare. Une tardive, mais sage décision qui met un peu plus le Gouvernement face à ses mensonges et silences.

Qui pour récupérer la patate chaude ? Gageons que les candidatures seront nombreuses, mais les solutions idéales plus que rares. Prendre un godillot reconnu comme tel constituerait un message désastreux et prendre un individu capable n’irait pas dans le sens souhaité par le Gouvernement. L’impasse est terrible, mais elle est inhérente à la Macronie.

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 09 février 2018

Bientôt la démission pour Nicolas Hulot ?

Publié par Guy Jovelin le 09 février 2018

Rédigé par notre équipe le 08 février 2018

 

Reçu à sa demande sur le plateau de Jean-Jacques Bourdin, le ministre de la Transition énergétique est dans la tourmente. Pour une fois, ce ne sont pas les couleuvres que lui font avaler ses chefs qui sont au cœur de l’actualité. Les rumeurs vont bon train sur des écarts sexuels dont se serait rendu coupable à plusieurs reprises le ministre. Hulot dément catégoriquement toutes les accusations et bénéficie du soutien total de ses collègues. Soulagement dans les rangs de la majorité ! On va pouvoir continuer à faire de l’écologie purement médiatique.

L’orage gronde au-dessus des hommes politiques. Ceux qui sont censés être des modèles de vertus, dignes de gouverner la France sont pris les deux pieds dans des affaires sexuelles scabreuses. Entre Denis Baupin dont les agissements présumés n’ont pas attendus l’affaire Weinstein pour éclater dans la presse en passant par les accords immoraux du ministre Darmanin, plus aucune bête politique n’est à l’abri. La dernière victime en la matière n’est pas un professionnel de la politique, mais il est peut-être le plus connu des ministres : Nicolas Hulot.

Scandale sexuel ou diffamation ?

L’animateur de télévision qui a fait fortune en vendant des gels douche est au cœur d’une tourmente qui le voit accusé de harcèlement sexuel sur plusieurs femmes. Un article long de deux pages du nouveau magazine Ebdo dépeint le ministre comme un prédateur sexuel avec des témoignages à la clé. Un bon moyen pour un nouveau média de se faire de la pub ? Peut-être… En tout cas, Nicolas Hulot prend les devants et rappelle que certains faits qui lui ont été reprochés ont été classés sont suite il y a dix ans.

Dans l’interview accordée à Jean-Jacques Bourdin ce matin, Hulot s’est montré combattif et héritier d’un soutien inconditionnel de la part du Premier ministre et du Président de la République. Et pour cause ! Ces deux gusses ont besoin d’un Hulot ministre pour faire croire à tous les crédules qu’un exécutif qui s’intéresse vraiment à la cause écologiste est aux commandes. L’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes est un blanc seing pour se faire passer pour un amoureux des fleurs, mais avec un Hulot en tête d’affiche, l’artifice passe bien mieux.

Ainsi, que les rumeurs soient fondées ou non, qu’un accord secret ait été conclu entre Hulot et l’une de ses possibles présumées victimes, il sera soutenu à bout de bras pour éviter toute démission bien dommageable pour l’image du Gouvernement. Imaginez si un harceleur sexuel avait pris place entre Darmanin et Edouard Philippe ? Nul doute que Hulot sera choyé par tout le Gouvernement. Il est trop précieux pour se perdre sur une mine du type « Balance ton porc ». La presse peut circuler quitte à trouver un second couteau sur lequel se faire les dents un peu plus longuement.

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 19 juillet 2017

Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, démissionne

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017

C’est fait : le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, a annoncé sa démission ce mercredi matin.

Le général avait déjà exprimé son mécontentement devant la commission Défense suite aux restrictions budgétaires qui vont affecter l’armée. Il avait alors menacé de présenter sa démission. Il avait ensuite été tancé par Emmanuel Macron s’estimant seul chef à bord.

Dans un communiqué, le général de Villiers explique qu’il considère « ne plus être en mesure d’assurer la pérennité du modèle d’armée auquel (il) croit pour garantir la protection de la France et des Français, aujourd’hui et demain, et soutenir les ambitions de notre pays » et avoir « pris ses responsabilités » en présentant sa démission au président.

 

Source : medias-presse.info