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mercredi, 20 juin 2018

Attentat à Seyne-sur-Mer : l’Etat s’en fout

Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 18 juin 2018

Un dimanche comme les autres à La-Seyne-sur-Mer. La ville proche de Toulon s’éveille quand elle est frappée par un attentat dans un supermarché de l’enseigne Leclerc. Bilan : deux blessés et une terroriste maîtrisée par plusieurs personnes présentes au moment de l’attaque. La France devrait s’arrêter sur ce nouvel attentat pour en tirer les conséquences, mais non. A croire que le terrorisme n’intéresse plus la caste médiatico-politique que lorsque les morts se comptent par dizaines… 

C’est un fait, le terrorisme ne vise plus uniquement les sites connus et très fréquentés. Tout est désormais sur la liste des terroristes et quiconque n’est pas en burka est susceptible de tomber sous les balles et les coups de couteau. Les habitants de La-Seyne-sur-Mer ont quant à eux dû éviter les coups de cutter lancés par une fanatique islamiste. Et comme à Trèbes, c’est un supermarché qui a été la cible d’une femme dont le nom n’a pas été donné dans les médias. Pas de nom, c’est qu’il ne sonne certainement pas assez français. Il faut continuer à balancer des « pas d’amalgame » à tout va donc le plus simple est de ne présenter qu’une partie des faits.

Circulez, y a rien à voir !

Et les faits sont encore une fois peu reluisants. L’islamiste née en 1994 est connue pour des faits de droit commun. On n’en saura pas plus sinon qu’elle a été mêlée à des affaires de violence. Autant gagner du temps et poser la question qui fâche tant les gauchistes : pourquoi un tel profil est encore libre de ses mouvements ? Pour ne pas être radicalisée en prison diront les défenseurs des libertés (des coupables)…

Il faut croire qu’ils n’ont pas retenu leur leçon à Charlie Hebdo ni les trop nombreuses autres qui ont suivi. Le pire est que l’Etat est lui-même démissionnaire. Après les « tous unis » non dénués d’arrières pensés politiques lancés par Hollande, Macron compose le « je m’en fous ». Si Trèbes a marqué les esprits en raison de la bravoure d’Arnaud Beltrame, les attentats qui ont suivi sont passés dans l’actualité comme passe un fait divers pas assez sanguinolent pour que la machine se mette en route et en boucle.

Un attentat au couteau en plein cœur de Paris ? Ce n’est pas assez pour que Macron sorte du fort de Brégançon. Tout se gère depuis son lieu de villégiature nous a-t-on dit. Si tout se gère à distance, pourquoi multiplier les voyages ? La réponse à l’attentat d’hier est encore pire puisque maintenant on ose s’interroger sur le caractère terroriste de cette double tentative de meurtre. L’homme qui a été poignardé à deux reprises, la caissière qui s’est interposée en risquant sa vie ont été les victimes d’une femme « malheureuse dans la vie ». Si tous les malheureux et les déprimés commentaient des attentats, la France serait bien dépeuplée en quelques jours…

Une expertise médico-légale plus tard, la jeune femme est déclarée responsable de ses actes au grand soulagement de la raison. Responsable mais coupable ? Peut-être pas à la vitesse où vont les choses. Poignarder des êtres humains qualifiés de « mécréants » en criant « Allah Akbar » n’est pas forcément un signe d’acte terroriste… Pas assez de sang, pas assez de victimes, pas assez d’armes donc pas besoin de tirer les conclusions d’une nouvelle attaque contre notre pays. Ce nouveau degré atteint dans l’échelle du déni est des plus préoccupants. Pauvre France !

 

 

Source : 24heuresactu

La publicité Benetton avec les migrants de l’Aquarius

Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2018

aquarius,benetton,publicitéLa firme Benetton depuis des décennies nous avait habitué aux campagnes publicitaires engagées à gauche toute…

La dernière affiche publicitaire provocatrice fait polémique : elle photographie des migrants de SOS Méditerranée, l’ONG de l’Aquarius. D’un côté il y a donc ceux qui déclarent qu’ils n’achèteront plus aucun tee-shirt « United Color » parce que trop immigrationniste ; de l’autre il y a ceux qui accusent Benetton d’utiliser le drame de l’immigration pour gagner de l’argent.

La photographie a été prise par Kenny Karpov, volontaire pour SOS Méditerranée :  l’on voit un membre de l’ONG lancer des gilets de sauvetage aux migrants en route pour l’Europe sur un rafiot.

Le secrétaire national de la Ligue, Toni Da Re, sans parler de boycottage, a été cependant clair :

« Nous n’achèterons jamais plus un seul tee-shirt Benetton. Les choses sont ainsi, Toscani (le célèbre concepteur de la publicité, ndlr) est notre indicateur le plus juste : plus il sera furieux, plus nous serons certains d’être sur la bonne voie. »

Un autre homme politique a fait remarquer l’hypocrisie du groupe Benetton :

« Je voudrais savoir si les employés de Benetton à l’étranger, dans les pays où il a délocalisé, sont payés comme les Italiens et pourquoi il a favorisé des grandes productions en-dehors de nos frontières. Je dis à Benetton et à Toscani que s’ils veulent faire de la politique ils doivent uniquement être candidats et mettre leur visage. Trop facile autrement : parce que tu as quatre sous, tu t’achètes une page de journal. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Emmanuel Macron et Philippe de Villiers, les deux compères

Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2018

Ecrit parLéo Kersauzie

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Quelle époque de confusion générale ! La gauche n’est plus la gauche, s’accommodant fort bien avec les principes du capitalisme et les puissances financières mondialistes.  La droite n’est plus la droite, recherchant avant tout le conformisme mou. Et les souverainistes ne sont plus souverainistes, préférant fréquenter les cénacles du pouvoir sous contrôle des banksters.

L’amitié affichée entre Philippe de Villiers, classé souverainiste, et Emmanuel Macron, créature de Jacques Attali et de ses compères de la haute finance mondialiste, en est une nouvelle illustration.

Les deux hommes avaient déjà montré publiquement leur franche camaraderie en mai dernier, lors de la finale de la Coupe de France. Ils viennent de se retrouver publiquement le 13 juin au cours d’une réunion organisée avec des entrepreneurs et des élus de Vendée.

Philippe de Villiers, fondateur du parc du Puy du Fou, n’a pas manqué d’y chanter les louanges du président de la République. Philippe de Villiers a affirmé qu’il était «incontestable» qu’Emmanuel Macron «incarne la verticalité de la fonction» – ce qu’il juge essentiel dans un pays qui est «une monarchie républicaine».

Autant de compliments qui en ferait presque oublier que les deux hommes viennent de bords politiques très différents, ce qu’a tout de même rappelé Philippe de Villiers : «Il n’est pas aligné sur mes idées et je ne suis pas aligné sur les siennes.»

De son côté, Emmanuel Macron commentait la présence de Philippe de Villiers : «Je suis très content qu’il soit là», avant de préciser «C’est quelqu’un – je le connais depuis 2016 – […] avec qui on a eu des discussions hautes en couleur, mais qui porte des convictions. Certaines qui sont irréconciliables et d’autres qui permettent une confrontation utile».

Quant au porte-parole de l’Elysée, Bruno Roger-Petit, il a déclaré au micro de BFMTV que les deux hommes partageaient «une certaine volonté de réaffirmer l’autorité présidentielle telle qu’elle ne s’incarnait plus dans le pays».

 

Source : medias-presse.info