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lundi, 30 juillet 2018

Le burkini, une histoire belge pas comme les autres…

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2018

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La chronique

de Philippe Randa

À Gand, le tribunal de première instance a rendu deux jugements pour le moins surprenants : aucune piscine publique n’aura en effet le droit d’empêcher les dames de se baigner en burkini… alors que le port du short pour les hommes (et pour les femmes, parité oblige !) reste, lui, prohibé pour des raisons d’hygiène ou de sécurité !

Le motif fourni par l’administration flamande vaut son pesant de frites car elle aurait « des preuves scientifiques qu’il n’y avait pas de problèmes dans ces domaines », rapporte le site LesObservateurs.ch.

Des preuves scientifiques d’hygiène ? On veut bien croire qu’une femme musulmane n’a pas plus de raison que toute autre croyante de négliger son hygiène (et de respecter celle des autres), mais que vient donc faire la science là-dedans ? Et quelles pourraient bien être les preuves scientifiques (sic !) permettant de conclure que les porteurs de short seraient moins propres que les autres ?

Néanmoins, tous les Belges n’entendent pas se soumettre à cette décision judiciaire loufoque : l’échevin d’Anvers N-VA (Nouvelle Alliance flamande, premier parti à la chambre des représentants) Fons Duchateau, est entré en résistance, affirmant que « l’interdiction du burkini ne doit pas être fondée sur l’hygiène et la sécurité », mais « parce que nous n’en voulons pas en fonction de nos normes et valeurs sociétales. »

De son côté, la secrétaire d’État à l’Égalité des Chances Zuhal Demir (également N-VA), considère que ce vêtement représente « une provocation volontaire » contre l’égalité.

L’administration flamande apportera-t-elle des preuves scientifiques du contraire ? Plus sûrement, comme aurait pu chanter Jacques Brel :

Faut vous dire, Monsieur,

Que chez ces fonctionnaires-là

On ne prouve pas, Monsieur

On ne prouve pas, on juge…

Lisez EuroLibertés cliquez ici

 

Source : synthesenationale

Affaire Benalla ? Non ! Affaire Macron et affaire "Ve République"

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2018

 

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Jean-François Touzé

Membre du Bureau politique du Parti de la France

Contrairement à ce qu’il est de bon ton d'affirmer, l'affaire Macron/Benalla sur les péripéties quotidiennes de laquelle il n'est pas utile de revenir ici, ne constitue pas, factuellement et par elle-même, une affaire de première importance. Elle est, en revanche et à coup sûr, sinon une affaire d'État (pour cela il faudrait qu'il y en ait un), une affaire de régime. Une de plus.

Au-delà de l’étrange personnalité du principal protagoniste, de sa proximité avec Emmanuel Macron et de la protection qui en découlait, cette affaire resterait subalterne si elle ne confirmait pas ce que nous savions de la Cinquième République, ce que nous pressentions de celui qui en est aujourd'hui le Président, et ce que nous ne cessons d'affirmer de la piteuse condition de la classe politique française.

Conçue dans l'imposture et le mensonge, entrée en pratique dans la trahison et l'illusion, pérennisée dans l'aveuglement, la lâcheté, la procrastination et les scandales, cette Cinquième République a, depuis soixante ans, opéré une triple confiscation. Confiscation de la souveraineté populaire par une caste tentaculaire. Confiscation de L’État par une oligarchie consanguine. Confiscation de nos libertés par des institutions bancales mais totalitaires.

Élu par défaut sur la base de promesses de renouveau n'engageant que ceux qui voulaient les entendre, Emmanuel Macron qui prétendait à la fois incarner l’autorité gaullienne de la fonction et la proximité « moderne » avec les Français ne pouvait que s’épuiser rapidement dans cette recherche de l'impossible, à la manière d’un caméléon parcourant en tous sens un tissu écossais. Instabilité personnelle et fragilité sont depuis le début de ce quinquennat la marque d'une présidence hasardeuse, brouillonne et incertaine. Une grille de lecture qui met en lumière la faiblesse clinique et la puérilité politique d’un Président immature et paranoïaque que le besoin d’être rassuré conduit à jeter les bases d'une police parallèle et à resserrer toujours au plus près son réseau de fidèles dont faisait partie Alexandre Benalla, Rastignacaille ébroïcienne issue de la « diversité », éblouie par les lumières du Palais et enivrée de sa trop rapide ascension assurée par la grâce du Prince, apparemment friand de petites frappes.

Spectacle pathétique, enfin, que celui donné une fois de plus par la classe politique, majorité comme opposition, dans l’agitation et l’emballement de la chaleur estivale. De commission d’enquête pittoresque à l’Assemblée nationale, en dépôts de deux motions de censure folkloriques, en passant par la respectueuse frilosité des questions posées à la hiérarchie élyséenne et ministérielle contrairement à celles, bien plus inquisitrices, posées aux responsables policiers, la nomenklatura, par sa prudence et sa servilité d'une part, son agitation artificielle et stérile de l'autre, consolide ainsi l’opinion de nos compatriotes sur sa déconnexion d’avec la réalité des factions partisanes.

Il faut en finir avec cette Ve République, ses pratiques, ses méthodes, ses mystifications. Et d'abord en refusant de composer avec elle.

Pour le Parti de la France dont l'honneur est la constance de son combat, la fierté, son refus du Système et la force, sa cohérence politique, seule la fin de ce régime dépravé permettra à la France de se relever, dans ses forces reconstituées, ses libertés retrouvées et son identité reconquise.

Objectif : l’État national.

Source cliquez ici

Suède : Un journaliste de gauche veut importer davantage de migrants pour « combattre les feux de forêt ».

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2018

lesobservateurs

Pour contrer les incendies de forêt ravageant la Suède et les services de secours sous pression, Andreas Magnusson a la solution - Augmenter l'immigration.

Dans son dernier article, Andreas Magnusson, professeur de lycée et chroniqueur pour le Magazine Paragraph, a abordé la question des incendies de forêt causés par l'été chaud.

Il affirme que comme la Suède est un grand pays, avec peu d'habitants, il y a de grandes forêts inhabitées.

Sa théorie? Qu'il y a plus de forêts que les Suédois ne peuvent en gérer. Le militant de gauche fait référence aux commentaires de l'ex-Premier ministre Fredrik Reinfeldt après avoir survolé la Suède: «il y a plus de place que vous ne pouvez l'imaginer» et cette migration croissante est la solution aux feux de forêt.

Sa conviction est que les migrants vivront dans les bois car davantage de routes dans les forêts feraient fonction «d'extincteurs d'incendie naturels». En outre, les incendies sont découverts plus rapidement s'il y a beaucoup de monde dans les zones rurales. Magnusson déclare: «Pour que cela soit possible, des gens d'autres pays doivent venir."

Il poursuit: «Pour que cela soit possible, nous devrions peut-être offrir l'asile à davantage de personnes et augmenter l'immigration de main-d'œuvre. Il sera très important que nous investissions correctement dans les zones rurales et que nous travaillions activement pour une meilleure intégration de tous les nouveaux citoyens. La Suède pourrait devenir un véritable pays de croissance où les incendies de forêt seraient inhabituels."

Comme des études l'ont montré, très peu de réfugiés s'installent dans le Norrland, 70% d'entre eux choisissant de vivre dans des zones métropolitaines. On ignore si Andreas suggère qu'ils forcent les migrants à vivre dans les forêts.

Voice of Europe / Nyheteridag.se / Dagenssamhalle.se 

Gigantesque manifestation à Moscou pour le 1030è anniversaire du baptême de la Russie en présence de Poutine

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2018

Ecrit par Emilie Defresne

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Poutine-baptême-russie-300x151.jpgLe patriarche de Moscou et Vladimir Poutine, ont fêté le 28 juillet à Moscou les célébrations du 1030e anniversaire du baptême de la Russie avec le concourt d’une foule immense. Une liturgie solennelle célébrant le 1030e anniversaire de la conversion au christianisme de la Rus’ de Kiev – qui est historiquement à l’origine de la Russie – s’est tenue sur la place des Cathédrales au Kremlin de Moscou le vendredi 28 juillet au matin. La cérémonie religieuse était présidée par le patriarche Kirill de Moscou et de toute la Russie.

Le président Vladimir Poutine, a ensuite rejoint le patriarche près du monument du prince Vladimir, à Moscou, où le chef de l’Etat a prononcé un discours.

Baptême du prince Vladimir en Crimée (958-1015)

En 987, Basile II, l’empereur byzantin, fait appel au prince Vladimir de Kiev pour contrer une offensive des Bulgares et une sédition en Asie mineure. Le grand-prince de Kiev accepte mais demande en retour d’épouser la sœur de l’empereur, Anne Porphyrogénète. A l’été 988, l’armée de Vladimir a raison de la sédition, mais le basileus a la mauvaise idée de revenir sur sa promesse. Après que le prince Vladimir lui eut déclaré la guerre et se soit emparé de  Cherson, capitale de la Crimée ou Chersonèse, l’empereur se ravise de nouveau et accepte enfin le mariage à condition que le prince de la Rus, -à l’origine de la Russie- se convertisse. Vladimir se fait baptiser et demande aux habitants de Kiev, déjà en grande partie convertis, de recevoir à leur tour le baptême dans les eaux du Dniepr. La mère de Vladimir-le-Grand était déjà catholique, même si son fils était resté païen comme son père. C’est en l’honneur du baptême de la Russie en 988 que Vladimir Poutine a inauguré en 2016 une monumentale statue du prince Vladimir au cœur de la capitale russe.

D’un païen brutal qu’il était avant son baptême le roi aurait diamétralement changé de vie suite à sa conversion.   Il a été canonisé à une date incertaine. Sa petite-fille Anne de Russie allait se marier avec le roi capétien, Henri 1er de France.

 

Source : medias-presse.info