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lundi, 01 octobre 2018

IVG, PMA, GPA, euthanasie : le Parti de la France sera de tous les combats

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2018

 

 

Le 11 septembre dernier, dans l’émission Le Quotidien de Yann Barthès sur TMC, le professeur Bertrand de Rochambeau, Président de l’association nationale des gynécologues et obstétriciens de France (SYNGOF), lançait un pavé dans la mare en déclarant que la pratique de l’interruption volontaire de grossesse s'apparentait à un homicide (« Nous ne sommes pas là pour retirer des vies »), et en évoquant sa clause de conscience.

Tollé dans le camp de la bien-pensance mortifère où la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et la Secrétaire d’État à l’égalité femmes/hommes, l’ineffable Marlène Schiappa concertèrent de hauts cris en dénonçant « des propos intolérables ».

La réaction législative du marigot progressiste ne s'est pas non plus fait attendre. Moins de trois semaines plus tard, un groupe de sénateurs emmené par l’ancienne secrétaire d’État socialiste de François Hollande en charge de la famille, de l'enfance et du droit des femmes (seul un gouvernement socialiste pouvait inventer un tel maroquin « à la Prévert »), Laurence Rossignol, sénatrice de l'Oise et ancienne militante gauchiste de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), vient, en effet, d'annoncer son intention de déposer une proposition de loi visant à supprimer cette clause de conscience spécifique à l'IVG afin « d'adresser un message fort aux adversaires de l’avortement et à la société : le corps des femmes leur appartient et à elles seules ». Une mesure qui figurait déjà dans les recommandations du Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes publiées dans un rapport en 2017.

Rappelons que la loi Veil autorisant l'inacceptable, stipulait toutefois que L’IVG « devait rester l'exception et l'ultime recours pour des situations sans issues ». Refuser aux médecins leur droit imprescriptible à faire appel à leur conscience, ferait franchir à la France un pas décisif de plus sur la voie du totalitarisme progressiste, de la déliquescence morale et de la régression spirituelle.

Le Parti de la France considère que la défense de la vie, de son commencement à sa fin, est un marqueur fondamental de notre civilisation.

Au moment ou le gouvernement veut imposer aux Français l'extension de la Procréation Médicale Assistée aux femmes seules et aux couples lesbiens (la procréation sans père), Le PdF sera dans les mois à venir de tous les combats et de toutes les mobilisations contre les atteintes au droit naturel qui, de la PMA « pour toutes » à la GPA, en passant par l'euthanasie, entraînent notre civilisation vers le chaos.

Jean-François Touzé - Délégué national aux études et argumentaire

Accident mortel à Villetaneuse (93) : les victimes ont été volées avant l’arrivée des secours

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2018

Par  le 30/09/2018

 

Des témoins qui prennent des photos des victimes, au lieu d’appeler les secours, des sacs dérobés… « C’est complètement abject », se désole une source proche de l’affaire. L’enquête ouverte ce week-end suite à l’accident mortel dans une violente collision, laisse présager d’autres poursuites.

La collision s’est produite à Villetaneuse. Le motard aurait heurté la Golf alors qu’elle effectuait un demi-tour. La jeune femme, âgée de 27 ans, s’est retrouvée éjectée, ses vêtements déchirés. Son compagnon s’est retrouvé à un autre endroit, gisant au sol mais toujours vivant, a rapporté le conducteur de la voiture aux forces de l’ordre.

Les policiers sont intervenus les premiers, mais ont rapporté une intervention rendue compliquée un groupe plutôt hostile – dont au moins un des membres était alcoolisé – massé autour des victimes. Les fonctionnaires sont repartis sans arrêter personne, ni faire de constatations.

Le chauffeur de la voiture a signalé avoir été menacé et découvert le vol d’un casque et d’une meuleuse qui se trouvaient dans son véhicule. Ce ne sont pas les seuls objets volés sur les lieux. Les sacs du motard et de sa compagne ont disparu. Des témoins ont été décrits en train de prendre des photos et des selfies avec les victimes au sol, dont les vêtements étaient déchirés.

L’intervention des sapeurs-pompiers n’a pas permis de maintenir le motard en vie. Il a succombé à ses blessures vers 4 h 30. Sa compagne, blessée aux jambes, était toujours hospitalisée ce dimanche et n’a pas été interrogée.

(…) Le Parisien via fdesouche

La haine de soi nous tuera ! (I)

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2018

 

Quand une foule de phénomènes apparemment disparates se produisent avec cependant des similitudes dans la forme, il est tentant d’en rechercher l’identité profonde. Quel rapport y-a-il entre les antiracistes, les antispécistes, les antifascistes, les féministes et plus généralement les militants du « genre », les écolos ? D’abord, ils ont exactement les mêmes méthodes. Dans le but de renverser un ordre social, légitime ou non, mais installé, et qu’ils contestent en vue de modifier les lois ou simplement les habitudes sur lesquelles il s’appuie, ils ont recours à des manifestations plus ou moins violentes, qui visent à exercer une pression physique ou psychologique sur les éléments de la société qu’ils contestent ou qui leur résistent. Cela commence par un discours revendicatif nourri par le concept d’égalité des droits et des exemples, historiques notamment, de souffrances subies par les victimes de l’état de fait. Un premier dérapage a lieu qui consiste à déformer la réalité historique ou les faits divers pour servir leur cause. Un second, beaucoup plus grave fait glisser le combat pour des idées vers la lutte contre les personnes, les adversaires qui sont désignés, poursuivis, si possible humiliés. Un premier renversement a lieu dans les médias qui en produit un second dans le droit. Les politiques se couchent et modifient la loi. Mais celle-ci ne se contente pas de faire avancer les revendications, de faire progresser l’égalité souhaitée, elle devient aussi répressive à l’encontre des opposants, des « conservateurs ». La chasse aux sorcières est ouverte. L’inégalité change de côté. La justice se veut vengeance. On ne se contente pas de réparer les souffrances. On veut maintenant que le groupe désigné comme coupable collectif souffre à son tour. On se contente de le dire, avant de le faire. C’est en somme le schéma d’une révolution, sauf qu’ici, c’est une révolution qui détruit sans rien instaurer puisque la cible des différentes attaques convergentes est la société globale qui ne pourra survivre à son renversement par des groupes dont aucun n’est réellement porteur d’avenir. En fait, le moteur du mouvement est la haine de la société elle-même, de la nation au sein de laquelle on vit, de la civilisation dont on hérite. Le nihilisme qui caractérise le phénomène est la haine de soi.

L’antiracisme voulait légitimement l’égalité entre les hommes malgré leurs leurs différences génétiques, symbolisées le plus souvent grossièrement par la pigmentation de la peau. Le concept a ensuite débordé de ses frontières en englobant d’autres différences d’une toute autre nature, comme celles entre les religions. La critique d’une religion, la méfiance à son égard, n’ont rien à voir avec le racisme. On ne peut reprocher à un homme d’être né. On peut parfaitement ne pas aimer ses idées parce qu’on les trouve absurdes ou dangereuses. L’antiracisme a aussi subrepticement changé d’objectif, en privilégiant non plus la victime, mais le coupable. C’est ainsi que l’esclavage des noirs est devenu le seul crime des blancs européens, et qu’ont été oubliés, celui des noirs par les Arabes à Zanzibar, celui des chrétiens à Alger, ou la justification de l’esclavage des non-musulmans dans les textes fondateurs de l’islam. Mais l’antiracisme ne s’est pas contenté d’être le modèle, le vecteur de toutes les haines de soi, il a aussi tendu à faire du présumé bourreau une victime légitime. Il a fallu qu’un rappeur noir appelle à pendre les blancs et à tuer leurs bébés dans les crèches pour que l’on s’émeuve de la dérive : une victime supposée à tous les droits… Les insultes, les pressions, les violences subies par les européens dans certains quartiers sont sans doute devenues une forme de racisme plus fréquent que celui que prétendait combattre l’antiracisme. Le régime de l’apartheid en Afrique du Sud, dans un pays construit par les colons hollandais, puis anglais, a été aboli par eux. Cela légitime-t-il l’assassinat des fermiers blancs pour leur voler des terres que leur savoir-faire a rendu prospères, et cela dans l’indifférence du monde entier ? Le désastre économique du Zimbabwe voisin, ex-Rhodésie-du-sud, où les blancs ont été spoliés par un régime dictatorial qui a ruiné le pays, est pourtant probant.

 

Dans cette marche infernale vers l’absurdité, l’antispécisme est particulièrement révélateur. D’abord, il repose sur un élargissement du concept, lui-aussi. De même que la « race blanche » devait cesser de se privilégier dans l’espèce humaine, de même l’espèce humaine doit cesser de se prévaloir du droit de tuer dans le monde animal. Les bouchers sont stigmatisés. On manifeste devant leurs commerces. On se livre à des déprédations sur leurs boutiques. On n’hésite pas à les traiter de meurtriers, d’esclavagistes. Mais, fait remarquable, les boucheries « hallal » dont la viande est issue d’égorgements sont ignorées. La raison de cette discrimination est simple : les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Lorsque je m’attaque à ma culture et à ses traditions culinaires, je ne dois pas paraître m’en prendre à une autre culture. Mais ce raisonnement implicite dévoile aussi la pathologie : cela n’a de sens que si l’on se veut ennemi de soi-même. (à suivre)

 

Source : ndf

Doigt d’honneur aux Français

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2018

Le Président de la République, Emmanuel Macron, au quartier d’Orléans à Saint-Martin.

Ils pensent la même chose vis-à-vis des Français, mais l’approche est différente.

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Le type torse-nu, avec son pantalon baissé, faisant un doit d’honneur, et Macron qui aime parler du respect de « la fonction présidentielle »…

 

Source : contre-info

BUREAU POLITIQUE DU PARTI DE LA FRANCE: SE METTRE EN ORDRE DE BATAILLE POUR 2019

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2018

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Réuni à Paris le samedi 29 septembre autour de son Président Carl Lang, le Bureau Politique du Parti de la France a acté plusieurs décisions structurelles et organisationnelles touchant à sa communication (site internet, réseaux sociaux, diffusion accrue du magazine en ligne et de la lettre hebdomadaire Connexion, rapports avec la presse), à son implantation (nomination de nouveaux chargés de mission départementaux, formation des cadres), et à son animation (réunions en région, éditions de tracts, d'affiches et d'autocollants, hommage à Jean-Pierre Stirbois, ancien secrétaire général du Front National à l'occasion du trentième anniversaire de sa mort, organisation d'un grand banquet national à Paris mi-mars pour fêter les dix ans du PDF, préparation du prochain congrès statutaire qui se tiendra à l'automne 2019…). 


Bureau politique du Parti de la France: Se mettre en ordre de bataille pour 2019
Après un long exposé de Carl Lang sur l’actualité et la situation politique, le Bureau Politique a abordé la question stratégique des élections européennes. La position du Parti de la France donnera lieu dans les semaines qui viennent à une communication de Carl Lang.