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mercredi, 12 juillet 2017

En Savoie, des habitants envisagent la mise en place de milices citoyennes pour chasser les voyous

Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2017

par   12 juillet 2017

Une vingtaine d’habitants d’Entrelacs/Albens, en Savoie, ont envahi lundi la salle du conseil municipal. La raison ? Ces habitants voulaient faire entendre à leurs élus municipaux leur colère face à la délinquance qui grandit dans la localité.

Pour preuve de cette montée de la délinquance, la fermeture de la supérette du centre-ville, la semaine dernière, à la suite d’agressions dont a été victime son gérant.

Selon le journal Le Dauphiné, une bande d’une vingtaine de jeunes sème le désordre.

Face à cette situation, les habitants ont menacé de constituer des milices citoyennes si les voyous continuent à bénéficier de l’impunité. Devant la colère populaire qui s’exprimait, les élus ont promis l’embauche d’un second policier municipal, la pose de caméras de surveillance et un soutien accru de la gendarmerie.

A suivre.

 

Source  : medias-presse.info

mardi, 11 juillet 2017

France 2017 : un pompier et son épouse tabassés, leurs agresseurs mineurs relâchés

Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2017

10 juillet 2017 par Pierrot

Les faits ont eu lieu à Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, dans la nuit de samedi à dimanche.

Un pompier et son épouse ont été violemment agressés dans le centre-ville de Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, dans la nuit de samedi à dimanche, rapporte Le Parisien.

Le couple, qui circulait non loin de la mairie, a été pris à partie par plusieurs mineurs, à la suite d’un léger accrochage avec un scooter, vers 1 heure du matin.

Les jeunes voyous, qui ont appelé des renforts, ont alors frappé le soldat du feu, qui n’était pas en service, et son épouse qui, souffrant d’ecchymoses et choqués, ont été transportés à l’hôpital. Les mineurs ont, eux, été identifiés, entendus et remis à leurs parents.

Source : contre-info via valeursactuelles

Indre : mutation d’office pour l’instituteur qui voulait étudier la Bible en classe

Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2017

L’hebdomadaire catholique « La Vie » revient sur une affaire qui a fait grand bruit et ne s’est pas éteinte avec la fin de l’année scolaire : à Malicornay (Indre), un instituteur d’école publique a été suspendu puis sanctionné par l’Éducation nationale parce qu’il avait fait étudier des extraits de la Bible dans le cadre de ses cours de CM1-CM2. Le départ du maître suscite l’incompréhension et le désarroi des parents, qui se battent pour le faire revenir.

 (église de Malicornay)

Depuis plusieurs mois, l’ambiance est électrique sur le territoire du « Regroupement pédagogique intercommunal » (RPI) de Malicornay. Début février, le maître d’école, très apprécié des parents et des élèves, a dû quitter sa classe brutalement en raison d’un manquement à la laïcité, dénoncé par une lettre anonyme adressée à l’inspecteur de l’Éducation nationale (IEN) de La Châtre, la sous-préfecture dont dépend Malicornay. Après quatre mois de suspension, l’enseignant (qui souhaite garder l’anonymat) a été muté d’office dans une école à l’autre bout du département par les instances locales de l’Éducation nationale pour « faute professionnelle ». En cause ? Son « étude du christianisme par les textes » prévue sur 10 séances et qui présentait une partie du livre de l’Exode et des Évangiles. Impuissance, injustice, sidération… La mobilisation d’une bonne vingtaine de familles (sur 27 élèves) – sans compter les parents des anciens élèves et plusieurs élus locaux – a pris les couleurs d’un véritable combat contre les abus d’une administration opaque et néanmoins puissante.

Reprenons les faits. Le 30 janvier 2017, l’IEN de La Châtre, Jean-Éric Rouyer, reçoit une lettre anonyme venant de « parents et de grands-parents d’élèves d’enfants (sic) scolarisés à l’école de Malicornay ». Nous avons pu la consulter. La lettre dactylographiée, déposée directement dans la boîte aux lettres de l’Inspection, fait trois pages. Elle est titrée : « Cas de prosélithysme (sic) religieux (ces deux derniers mots sont écrits en gras) à l’école de Malicornay ». « Ne voulant pas mettre nos enfants dans une position très inconfortable en allant nous adresser à leur maître, nous préférons solliciter votre aide pour indiquer son grand égarement à ce professeur vis-à-vis des principes de l’école laïque et républicaine», explique-t-on. Le ou les auteurs détaillent ensuite précisément le contenu des cours menés par l’enseignant « entre le lundi 16 janvier et le vendredi 27 janvier » en dressant une liste des épisodes les plus connus de la vie de Jésus (une petite vingtaine), assortis ici ou là de commentaires outrés. Par exemple : « la lapidation de la femme adultère (avec explication de la lapidation comme mort très dure !!!) ». Ils relèvent aussi que l’enseignant a fait visiter l’église du village aux enfants et qu’il a – moins choquant pour les auteurs, semble-t-il – « l’habitude d’emmener les enfants faire chorale à l’église » en raison de l’acoustique du lieu.

Le directeur académique des services de l’Éducation nationale de l’Indre (plus connu sous l’acronyme « Dasen »), Pierre-François Gachet, est immédiatement alerté. Un inspecteur est dépêché par le directeur académique à Malicornay le lendemain même. Trois jours plus tard, l’enseignant est convoqué devant M. Gachet. « Après deux heures de remontrances musclées», selon le témoignage de l’enseignant, on lui signifie sa suspension « à titre conservatoire », le temps de l’enquête administrative. Pourquoi une telle suspension ? Le directeur évoque une mesure de protection pour l’enseignant et les élèves. L’instituteur serait en effet menacé par des parents en colère. Un motif totalement fallacieux, selon lui : il ne s’est jamais senti menacé.[…]

La Vie

lundi, 10 juillet 2017

Colère après l’agression de deux hommes aux Puces de Saint-Ouen

Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2017

Gwenael Bourdon|09 juillet 2017, 21h18|

Saint-Ouen, dimanche 9 juillet. Un commerçant et un habitué des Puces ont été blessés à l’arme blanche, rue Lecuyer. L’agression a eu lieu devant la boutique (fermée) ornée d’un gros graffiti. LP/Gwenael BOURDON
 
Deux hommes ont été blessés à l’arme blanche ce dimanche dans le quartier des Puces. Ces agressions soulèvent l’émoi chez les commerçants.

Des linges tachés de sang sont roulés en boule sur le trottoir. «Regardez, c’est là que ça s’est passé !», lance Antonio, un vieux commerçant de la rue Lecuyer. Ce dimanche, vers 12 h 30, c’est dans cette rue du quartier des Puces, à Saint-Ouen, que deux hommes ont été agressés à l’arme blanche, une machette ou un sabre selon les témoins. Il s’agit d’un jeune homme âgé de 23 ans, habitué des lieux, qui a été blessé d’un coup de lame à la nuque, et d’un commerçant âgé, qui souffre d’une profonde entaille au bras. Les victimes sont désormais hors de danger. Deux agresseurs étaient recherchés par la police.

 

L’enquête, confiée au commissariat local, débute à peine. Les deux victimes n’avaient pas encore déposé plainte ce dimanche soir. Mais sur place, témoins directs et indirects, commerçants et proches des victimes accusent tous les pickpockets sévissant dans ce secteur, bordant le périphérique parisien. «Ils sont parfaitement identifiés, on sait même où ils se postent pour observer les passants, et où ils se partagent leur butin», assure un commerçant, qui refuse de donner son nom, par peur des représailles.

 

La municipalité accusée

Une première altercation aurait eu lieu la veille entre le jeune homme, fils d’un vendeur de vêtements du quartier, et le groupe de voleurs à l’arrachée. Ces derniers seraient revenus à la charge dimanche, d’abord sans arme, puis munis d’une machette. «J’ai entendu les cris, je suis sorti et j’ai vu le jeune homme se débattre de loin», décrit un restaurateur. La seconde victime, le gérant d’une petite boutique de la rue Lecuyer, a été blessée en tentant de s’interposer. Les agresseurs ont ensuite pris la fuite.

Cette agression soulève l’émoi et la colère dans ce secteur des Puces, plus populaire que celui des antiquaires, où les biffins disputent l’espace aux étals autorisés. «Les vendeurs à la sauvette, ça a toujours existé ici, explique une ancienne du quartier. Mais ce qui est nouveau, c’est cette violence.» Fin mai, déjà, un homme est mort dans une bagarre, rue des Entrepôts, non loin d’ici.Parmi les commerçants, la colère gronde : «On est complètement livrés à nous-mêmes ici, estime un restaurateur. Quand la police vient, elle interpelle quelques vendeurs à la sauvette, mais elle ne fait rien contre les pickpockets.» L’une de ses voisines renchérit : «On n’ose rien dire, parce qu’on est insultés et menacés en permanence.» Certains accusent la municipalité : «On ne voit jamais la police municipale.» Antonio, lui, se dit prêt «à venir travailler armé».

Bientôt des opérations de police conjointes entre Paris et 93

Les Puces, 4 millions de visiteurs par an, à la lisière entre Paris et Saint-Ouen. Comment assurer la sécurité de ce quartier touristique et en proie à la délinquance ? Mis en cause par les commerçants, le maire (UDI) de Saint-Ouen, William Delannoy, estime qu’il ne peut faire davantage : «Nous avons déjà recours à des vigiles privés, qui coûtent 20 000 € à la ville. Mais je ne peux pas mobiliser la police municipale, qui a déjà d’autres missions.» L’édile en appelle donc à l’Etat : «Pourquoi ne voit-on pas sur ce site touristique la police et l’armée comme dans d’autres lieux à Paris ?»

Du côté de la préfecture, on rappelle qu’une brigade spécialisée, rattachée au commissariat de Saint-Ouen, existe bel et bien. Mais on annonce surtout que le préfet de Seine-Saint-Denis et le préfet de police de Paris s’apprêtent à lancer des opérations conjointes sur ce secteur, «peut-être dès le mois de juillet», après un travail préparatoire de plusieurs mois. Des réunions de concertation doivent permettre d’associer tous les acteurs concernés, parmi lesquels les représentants des commerçants des Puces.

 

Source : leparisien

Députés tabassés – Cela se passe comme cela au Venezuela…

Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2017

Venezuela – Le parlement envahi par des hommes armés de bâtons et de barres de fer qui rossent les députés de l’opposition.

Les images montrent une véritable prise d’assaut du parlement. Les assaillants semblent être des partisans du président Maduro, mais celui-ci nie toute implication dans ces tentatives de lynchage de parlementaires.