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mercredi, 05 juillet 2017

Quels sont les départements où la part de musulmans radicaux est la plus élevée ?

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2017

Quels sont les départements où la part de musulmans radicaux est la plus élevée ?Nous avons vu dans un précédent article la provenance département par département des « fichés S » (qui ne sont pas tous musulmans). Le rapport a été affiné avec le nombre de radicaux musulmans fichés et les attaques ou attentats réussis depuis 2012 (les départements concernés seront suivi d’un astérisque) pour les département en comptant plus de 200 : Alpes-Maritimes* (334), Bouches-du-Rhône* (473) , Gard (266), Haute-Garonne* (284), Loiret (202), Nord (502), Pas-de-Calais* (295), Bas-Rhin* (227), Rhône (397), Paris* (812) , Seine-et-Marne (304), Yvelines* (324), Essonne (234), Hauts-de-Seine* (654) , Seine-Saint-Denis* (894), Val-de-Marne* (581) et Val-d’Oise (275).

En pourcentage, voici le taux de radicalisation de chaque département en mars 2017 :

– Les départements avec un taux de radicalisation entre 29 et 56 radicaux pour 100.000 habitants : Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Aveyron, Gard, Gers, Oise, Paris, Savoie, Tarn, Vaucluse, Territoire de Belfort, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne.

– Les départements avec un taux compris entre 20 et 29 : Ariège, Aude, Bouches-du-Rhône, Charente, Drôme*, Eure-et-Loir,  Haute-Garonne, Loiret, Lot, Lot-et-Garonne, Hautes-Pyrénées, Bas-Rhin, Haute-Saône, Haute-Savoie, Seine-et-Marne,  Yvelines, Tarn-et-Garonne*, Val d’Oise.

– Les départements avec un taux compris entre 15 et 20 : Aisne, Ardèche, Aube, Calvados, Dordogne,  Indre, Jura, Landes, Loire, Haute-Loire, Marne, Haute-Marne, Mayenne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Nord, Orne, Pas-de-Calais, Puy-de-Dôme,  Pyrénées-Orientales, Haut-Rhin, Somme, Essonne, La Réunion.

– Les départements avec un taux compris entre 10 et 15 : Ain, Hautes-Alpes, Ardennes, Charente-Maritime, Cher, Corrèze, Côte d’Or*, Côtes d’Armor, Eure, Finistère,  Gironde, Hérault, Isère*,  Loir-et-Cher, Lozère, Moselle, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Sarthe, Var, Yonne.

– Les départements avec un taux compris entre 2 et 10 : Allier,  Cantal, Corse-du-Sud, Haute-Corse, Creuse, Doubs, Ille-et-Vilaine, Indre-et-Loire*, Loire-Atlantique*, Maine-et-Loire, Manche, Morbihan, Nièvre, Seine-Maritime*, Deux-Sèvres, Vendée, Vienne, Haute-Vienne, Vosges.

Notons que certains départements ruraux ayant un nombre de radicalisés médian sont pourtant dans le haut de ce classement dû à leur faible population, ce qui est le cas de l’Ariège, du Territoire de Belfort, à un degré moindre de l’Indre et de la Haute-Loire.

A l’inverse, des départements à forte population et avec un nombre certains d’islamistes sont en bas de ce classement, ces derniers étant « noyés dans la masse » : il s’agit notamment de la Gironde, de l’Hérault, du Var ou de la Seine-Maritime…

Hristo XIEP

 

source : medias-presse.info

Vague d’agressions sexuelles par des « réfugiés » lors d’un festival de musique en Suède

Publié par guy Jovelin le 05 juillet 2017

Suède – Le festival de Bråvalla n’aura pas lieu en 2018, ont annoncé les organisateurs ce lundi. La raison : les agressions sexuelles commises sur place par des immigrés, tant en 2016 qu’en 2017.

L’édition 2017 du festival de Bråvalla se tenait ce week-end et, comme l’an dernier, des viols et des agressions sexuelles l’ont émaillé, des actes qualifiés de « répugnants » par le Premier ministre.

« Certains hommes, car ce sont des hommes, ne peuvent manifestement pas se comporter correctement. C’est une honte. C’est pourquoi nous avons décidé de ne pas rééditer Bravalla en 2018 », ont fait savoir dans un communiqué les organisateurs du festival de Bravalla qui s’est déroulé du 28 juin au 1er juillet près de Norrköping (sud-est). Mais les organisateurs n’ont pas osé préciser que ces hommes dont il est question sont systématiquement des immigrés.

Lundi, la police locale avait enregistré quatre plaintes pour viol et 23 plaintes pour agression sexuelle.

En 2016, sur les deux festivals de Bravalla et Karlstad, c’étaient 15 plaintes pour viol et une quarantaine pour agression sexuelle qui avaient été déposées. Parmi les personnes arrêtées, il y avait deux « réfugiés » mineurs se trouvant en Suède sans leurs parents.

Le phénomène a commencé en réalité dès 2014 et n’a cessé de persister. La police suédoise a toujours essayé de cacher l’identité des agresseurs. Mais en 2015, la presse scandinave a révélé que nombre des auteurs de ces agressions sexuelles étaient de jeunes « réfugiés » afghans.

 

Source : medias-presse.info

Jean-Jacques Susini est décédé

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2017

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Jean-Jacques Susini, cofondateur de l'Organisation Armée Secrète avec Pierre Lagaillarde. est mort hier, le 3 juillet.

Né à Alger le 30 juillet 1933, Jean-Jacques Susini obtient son baccalauréat en 1948 après des études au collège Notre Dame d’Afrique. Il quitte l’Algérie à 18 ans pour mener ses études de médecine à Strasbourg, puis à Lyon où il est inscrit aux Jeunes du R.P.F.. Militant activement en faveur de l’Algérie Française, il retourne en Algérie à la fin de 1958 et y prend les responsabilités de la propagande et de l’action politique au sein du Front National Français. Elu président de l’Association Générale des Etudiants d’Algérie en 1959, il est l’un des principaux acteurs (avec Pierre Lagaillarde et Joseph Ortiz) de l’insurrection des « Barricades » de janvier 1960 à Alger.

En détention préventive pendant 9 mois à la maison d’arrêt de la Santé, il fait, en novembre 1960, une déclaration à son procès sous forme de manifeste révolutionnaire. Condamné à deux ans de prison avec sursis en dépit d’un réquisitoire sévère, bénéficiant d’une liberté provisoire, il s'enfuit et trouve asile en Espagne.

Il s’installe en Espagne et participe à la création de l’O.A.S. avec Pierre Lagaillarde au début de 1961.

Jean-Jacques Susini est reçu par le général Salan le 19 décembre 1960 à l’hôtel Princesa à Madrid. C’est la première fois que les deux hommes se rencontrent. Jean-Jacques Susini a 27 ans, Raoul Salan a 60 ans et il est conquis par l’agilité d’esprit et les analyses de son interlocuteur. Il dirigera l’Action psychologique et la propagande (A.P.P) de l'organisation.

S’étant mis à la disposition du général Salan à Madrid, il rejoint Alger en avion privé avec ce dernier et le capitaine Ferrandi, le dimanche 23 avril 1961.

Après l’échec du « Putsch d’Alger », il s’enfonce dans la clandestinité et prend à Alger les responsabilités de l’action psychologique et politique de l’O.A.S. sous les pseudonymes de Boumendjel, Jeannette, Janine ou R19.

Jean-Jacques Susini est très actif auprès du chef de l’O.A.S. Il prend fréquemment des initiatives personnelles et rédige en particulier la lettre du général Salan publiée par « Le Monde » en septembre 1961 et l’instruction O.A.S. n° 29 du 23 février 1962 ayant pour objectif de créer une situation insurrectionnelle en Algérie dès la signature du cessez-le-feu avec le F.L.N.(qui interviendra le 19 mars 1962)

Après l’arrestation de Raoul Salan en avril 1962, il devient responsable de l’O.A.S. pour Alger et Constantine.

Il engage et mène les négociations O.A.S.- F.L.N. en juin 1962 qui aboutissent aux accords « Susini-Mostefaï », lesquels ne seront pas appliqués en raison de l’effondrement du G.P.R.A. et de la prise de pouvoir par Ben Bella à l’été 1962.

Il quitte l’Algérie pour l’Italie à la fin de juillet 1962. Il est soupçonné d’y avoir préparé, en particulier, l’attentat dit « du Mont Faron » du 15 août 1964 contre le général De Gaulle à Toulon, attentat qui échoue au mémorial du Mont Faron dominant Toulon. Une bombe placée dans une jarre n'explosa pas et fut découverte quelques jours plus tard. D'après Jacques Delarue (L'OAS contre de Gaulle, Fayard, 1994), cet attentat avait été organisé par Jean-Jacques Susini et Gilles Buscia.

Condamné à mort par deux fois par la Cour de sûreté de l’Etat, il revient en France après l’amnistie de 1968. Amnistié sur décision du général de Gaulle en 1968, avec les autres dirigeants de l'O.A.S. encore incarcérés, il revient en France, mais, soupçonné d’avoir commandité un hold-up, il est à nouveau arrêté en mars 1970 et placé seize mois en détention provisoire avant d’être acquitté.

En octobre 1972, il est à nouveau arrêté et placé en détention provisoire pendant deux ans pour avoir organisé l’enlèvement et la disparition du colonel Raymond-Jean Gorel ex-trésorier de l’O.A.S (amnistié avant son jugement par une loi votée, suite à l'élection de François Mitterrand).

Il y termine ses études de médecine et obtient un D.E.A. de sciences économiques. Propriétaire et dirigeant d’une entreprise de sécurité, il se présente sous l’étiquette du Front National aux élections législatives à Marseille en 1997 et obtient 45% des suffrages au deuxième tour.

Jean-Jacques Susini est l’auteur d’une « Histoire de l’O.A.S. » dont seul le premier tome, couvrant la période de mai à juillet 1961, a été publié dans la collection « Taglaïts » aux Editions de La Table Ronde en 1963.

RIP

 

Source : synthesenationale

Il y a 55 ans, Oran, 5 juillet 1962 : l’armée française laisse le FLN massacrer 3.000 Français

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2017

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Manuel Gomez Riposte laïque cliquez là

J’accuse de Gaulle de complicité dans les enlèvements et les assassinats qui se sont produits à Oran, le 5 juillet 1962, en ordonnant à l’armée française de rester l’arme au pied, permettant ainsi au FLN et à l’ALN de massacrer, en toute impunité, 3000 Français innocents, y compris enfants et femmes.

Le colonel Fourcade a témoigné sous la foi du serment, déclarant avoir assisté en début de matinée, ce 5 juillet, à l’entretien téléphonique entre le général Katz, qui informait le chef de l’Etat que dans toute la ville se perpétrait un massacre au « faciès blanc » et de Gaulle lui a donné l’ordre criminel le plus formel : « Surtout ne bougez pas ! »

Le général Katz a décidé dans la matinée de survoler la ville en hélicoptère. Voici le témoignage du pilote : « Nous survolons la ville, partout des gens qui fuyaient et des cortèges de bras en l’air, escortés par des ATO (auxiliaires de l’Armée Nationale populaire) ou des civils en armes. Nous avons survolé le Petit Lac, là aussi une foule compacte bras en l’air, des gens qu’on faisait entrer dans l’eau et qu’on abattait froidement. J’ai hurlé : Mon général on abat des gens, je vois l’eau qui devient rouge de sang ».

Le général m’a répondu : « Retour à la base ».

Les Européens étaient escortés jusqu’au commissariat central, où ils étaient torturés et tués mais également vers le Petit Lac et la ville nouvelle. Ce massacre s’est poursuivi jusque vers 17 heures.

3.000 Européens massacrés sous les yeux du général Katz et sur ordre du chef de l’état français de l’époque De Gaulle.

Ce chiffre de plus de 3.000 morts et disparus a été enregistré par Mme Sallaberry, militaire de carrière en poste au bureau des exactions.

Lors d’un entretien dans le magazine « Le Point » en février 2002, Jean-Pierre Chevènement affirme : « A l’époque sous-lieutenant en Algérie, j’ai vécu un drame affreux en mars 1962. Plusieurs de mes moghaznis (supplétifs musulmans) ainsi que le chef du village de Saint-Denis-du-Sig, ont été tués dans des conditions atroces par un commando du FLN. J’ai retrouvé Miloud, mon aide de camp, égorgé.

J’ai appris que près de 20.000 personnes ont été torturées et égorgées dans le village Nègre (Quartier d’Otan).

Par la suite il rectifiera à environ 3.000 morts et 800 disparus.

Sous-lieutenant, Chevènement avait des soldats sous ses ordres, est-il intervenu ?

Ces morts, en France, on s’en est totalement moqué et les Français ne les ont guère pleurés.

Le général Katz, le bourreau d’Oran, publiera ses mémoires sous le titre “ Unedestinée unique ”. Unique il est vrai mais parce qu’elle s’est terminée dans le déshonneur et l’abject.

Ses « restes » contaminent la terre d’Espagne, à Rosas où ils ont été déposés.

J’accuse les officiers de l’armée française de complicité dans le massacre de 3.000 Français, le 5 juillet 1962 à Oran, pour avoir obéi à leur chef, le général Katz, et avoir ordonné aux soldats de ne pas intervenir, laissant ainsi toute liberté d’assassiner au FLN et à l’ALN.

Ce 5 juillet, un jeune appelé qui montait la garde, dans une guérite d’une caserne oranaise, vit venir à lui un groupe de Français affolés, hommes, femmes et enfants, tous terrorisés, qui le suppliaient d’ouvrir les grilles fermées. Il n’avait pas les clés. Il a appelé, supplié qu’on ouvre les grilles d’urgence… Mais déjà les tueurs avaient rejoint le groupe. Ces gens, hommes, femmes, enfants, ont été égorgés sous ses yeux,  alors qu’ils s’agrippaient aux grilles fermées à double tour. Il n’a pas pu utiliser son fusil non chargé pour leur porter secours. Cet homme a témoigné et fait ce récit horrible en pleurant… « Depuis je ne peux plus passer une nuit sans me réveiller en tremblant, avec les cris et les râles de ces pauvres gens dans les oreilles ».

Celui qui sera surnommé “ le boucher d’Oran ”, le général Katz, perdait ainsi le peu d’honneur qui pouvait lui rester. N’aurait-il pas mérité que soit engagé contre lui un procès pour “ crime contre l’humanité ” pour sa complicité dans ce crime d’Etat ? Et pour justifier son ignominieuse conduite, il déclara haut et fort que le nombre des disparus était exagéré et que l’OAS avait provoqué les incidents en tirant sur les Arabes… Or à ce moment-là l’OAS avait cessé d’exister. Les derniers partisans avaient quitté Oran avant fin juin pour se diriger vers Alicante, en Espagne.

On peut affirmer haut et fort que l’armée française s’est totalement déshonorée au cours de ces quelques jours. Son effectif s’élevait, pour la seule ville  d’Oran, à 18.000 hommes qui demeurèrent l’arme au pied face à ce massacre. 

Les centaines d’officiers présents obtempérèrent sans état d’âme aux ordres indignes de leur hiérarchie.

Malgré les appels au secours, les gendarmes mobiles refusèrent de se diriger vers les quartiers arabes où ils auraient pu libérer sans difficulté des centaines d’innocents retenus captifs.

Le nouveau préfet d’Oran lui-même, M. Saouiah, un membre influent du FLN, déclarait cependant : « Nous ne pouvons tolérer de pareils actes criminels à un moment où il est demandé une mobilisation générale de toutes les énergies saines ».

Il donna l’ordre de désarmement aux éléments incontrôlés, annonçant des mesures très sévères à cet effet.

Donc le préfet en personne, un chef de la rébellion, confirmait devant la presse internationale que les responsabilités se dirigeaient vers des « éléments incontrôlés » de la rébellion algérienne et non pas le fait d’irréductibles de l’OAS comme on tentait de le faire croire dans la version officielle émanant de l’armée française.

On ne connaîtra jamais le nombre exact des morts, des blessés et des disparus. La France ne le dira probablement pas… en admettant qu’elle le connaisse jamais.

Quant à l’Algérie nous pouvons attendre encore longtemps sa repentance !

 

Source : synthesenationale

mardi, 04 juillet 2017

Migrants: l'Autriche prête à déployer l'armée

Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2017

 

L'Autriche compte "très bientôt" rétablir les contrôles et déployer des soldats à sa frontière avec l'Italie si l'afflux de migrants ne ralentit pas, a annoncé le ministre autrichien de la Défense à un quotidien viennois lundi.

"Je m'attends à ce que les contrôles aux frontières et une mission d'assistance (de l'armée) soient très bientôt requis", a déclaré Hans Peter Doskozil au site internet du journal Krone. Ces mesures s'avèreront "indispensables si l'afflux (de migrants) vers l'Italie ne ralentit pas", a-t-il ajouté.

Selon le quotidien, 750 soldats "sont disponibles" et quatre véhicules blindés sont prêts à être envoyés dans la région frontalière ce week-end.

L'Autriche a rétabli les contrôles à sa frontière avec la Hongrie en 2015 et s'est dit prête à ériger des barrières à sa frontière avec l'Italie.

Plus tôt lundi, le Haut-commissariat aux réfugiés de l'ONU (HCR) a annoncé que 83.650 personnes étaient arrivées en Italie par la mer depuis le début de l'année, soit une hausse de presque 20% par rapport à la même période l'année dernière. La plupart sont parties des côtes libyennes, sur de frêles embarcations. Plus de 2.000 ont péri durant leur périple.

"Il n'est pas réaliste de penser que l'Italie ait la responsabilité de s'occuper du débarquement de tout le monde", a déclaré à la presse l'envoyé spécial du HCR pour la Méditerranée centrale, Vincent Cochetel.