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dimanche, 09 juillet 2017

Qui est Agnès Buzyn, le VRP des vaccins ?

Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2017

8 juillet 2017 par admin4

Portrait d’Agnès Buzyn, le ministre de la santé qui veut vacciner toujours plus, et de force, les bébés.

 

Source : contre-info

samedi, 08 juillet 2017

Quand la télévision française célébrait Charles Martel

 Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2017

 

Vidéo 1 : Histoire de France en Bandes dessinées :


Vidéo 2  : Il était une fois … l’homme (2 extraits/2 épisodes) : cliquer sur l'image pour voir la vidéo

Un pays qui se détruit

Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2017

POSTÉ LE 03 JUILLET , 2017

les4verites

La presse est parfois intéressante. C’est ainsi que le « Figaro » du 14 juin donne un aperçu de l’invasion migratoire de l’Europe. 1 200 Africains ont débarqué en Calabre le 12 juin, 1 600 le lendemain.

Depuis le début de l’année, 62 000 migrants sont arrivés en Italie. 12 500 ont été recueillis par des bateaux envoyés au large de la Libye, et cela seulement en 2 jours. Au total, 200 000 autres sont prévus cette année. C’est là cependant une simple fraction des foules qui attendent en Libye de s’embarquer pour l’Europe ou se noyer, exploitées de façon criminelle par des esclavagistes turcs et arabes, assurés d’une impunité totale.

Mais ce n’est pas la principale source de l’invasion de l’Europe, dont les nations principales, France, Allemagne, Grande-Bretagne, Belgique, Scandinavie, etc., délivrent chaque année des millions de visas à des millions de migrants qui, une fois en Europe, pour beaucoup d’entre eux, ne reviennent pas dans leur pays.

D’autres portes existent : celle de Turquie, via les Balkans, à demi fermée, mais toujours entrouverte ; celle de l’Espagne qui laisse passer vers la France Africains et Sud-Américains ; et tous ceux qui, à la belle saison, passent les frontières à pied, venant on ne sait d’où.

Le « Figaro » du 21 juin décrit ce que sont les campements de migrants à Paris, plus précisément à la Porte de la Chapelle, où il en arrive en moyenne 70 nouveaux par jour. Ce sont en majorité des Érythréens, des Somaliens, des Soudanais et des Éthiopiens, soutenus par des associations de gauche.

À Calais, les campements sauvages se sont évidemment reformés. Un chauffeur routier a été tué du fait des migrants le 20 juin.

Bref, en tenant compte de ces arrivées massives, ainsi que du droit du sol, on estime les populations migrantes en Europe de l’Ouest en augmentation de quelque 2 millions par an, ce qui, ajouté au 45-50 millions, à 80 % musulmans, qui s’y trouvent déjà, fera dans une douzaine d’années environ 80 millions d’immigrés arabo-africains, occupant l’Europe de l’Ouest, la grande majorité d’entre eux étant assistés. Je dis bien en Europe de l’Ouest, car, bien sûr, ces immigrés ne vont pas se fixer en Estonie ou en Roumanie, là où ça ne paie pas.

Le problème est parfaitement connu, mais, en France, en particulier, rien n’est fait pour le résoudre. La longue interview donnée le 22 juin à la presse par Macron est très révélatrice de sa politique sur ce problème vital. Elle se résume aux vœux qu’il a formulés pour que la situation s’améliore. Le mot « immigration » n’a jamais été prononcé. Il n’a jamais été dit un seul mot sur le droit du sol. Lors du conseil européen du 22 juin, Macron a même déclaré qu’il accueillerait à bras ouverts tous les migrants !

Le système « démocratie démagogie » qui fait vivre des milliers de politiciens s’oppose à toute mesure d’autorité. Pas de vague. Le droit d’asile est sacré. Ainsi, l’anarchie et l’insécurité progressent partout. Le terreau du terrorisme que l’on dit vouloir combattre, ne fait, en réalité, que s’enrichir. Les attentats pourraient se multiplier. D’ores et déjà, il n’est pas de jour où une église catholique ne soit pas vandalisée. Il y a peu dans l’Aude, à Rennes-le-Château, une jeune femme parlant arabe, brandissant un coran, a cassé à coups de hache le bénitier de l’église, un bénitier historique du XIIe siècle. C’était, a-t-elle dit, par solidarité avec son mari, l’un des 690 « Français » qui combattent en Syrie dans l’armée de l’État islamique, des « Français » presque tous d’origine maghrébine !

Autre révélation : le « Figaro » du 15 juin nous apprend qu’Emmanuel Macron ignorait tout de l’état des finances laissé par son prédécesseur, François Hollande, alors qu’il était, lui, Macron, ministre de l’Économie dudit Hollande. « La situation financière est désastreuse, écrit le journal… La France n’a pas connu un budget à l’équilibre depuis 40 ans. Cette année encore, le déficit cumulé de l’État, de la Sécurité sociale et des collectivités locales atteindrait 70 milliards d’euros. On relève notamment que les dépenses pour la fonction publique ont plus augmenté au cours de l’année 2016 qu’au cours des 4 premières années du quinquennat Hollande. Cet impardonnable laxisme a conduit à l’accumulation d’une dette de 2 150 milliards d’euros… »

Plus grave : on apprend que l’addition des promesses électorales de Macron avoisine les 32 milliards d’euros. Or, elles ne sont pas financées. Alors que faire ? Le Premier ministre, Édouard Philippe, juppéiste, macroniste, et barbu comme le calife de Bagdad, répond en substance : « Je suis navré, mais les choses étant ce qu’elles sont, je vais être obligé de prendre toute une série de mesures qui alourdiront les prélèvements obligatoires. Soyez assurés que je le regrette. »

Et voilà ! Toujours les mêmes discours, la même ficelle, la même tromperie, d’une équipe qui a obtenu moins de 50 % des suffrages en raison de l’abstention record des électeurs. À dire vrai, le nouveau président n’a pas été élu par une véritable adhésion, mais par une sorte de résignation, par une utopie collective qui se dissipera avant longtemps, à moins qu’il ramène rapidement le niveau du chômage à 5 % comme en Allemagne, qu’il rembourse la dette et qu’il rétablisse la sécurité par l’expulsion des millions d’immigrés musulmans.

On peut attendre longtemps. Voyons les choses avec bon sens. La menace qui pèse sur l’Occident et sa civilisation gréco-romaine et chrétienne ne peut disparaître qu’à certaines conditions aussi rudes que spectaculaires : la recolonisation des sanctuaires islamiques (Syrie, Irak, Libye…) par une coalition regroupant l’Europe, l’Amérique et la Russie, avec l’approbation de la Chine.
Sans doute certains n’en seraient pas heureux, mais, devant une telle coalition, que pourraient-ils faire ?

S’agissant de la France, il lui faudrait enfin un pouvoir fort, à l’abri de cette démagogie qui la ruine depuis si longtemps.

C’est-à-dire qu’il conviendrait que le parlement soit mis au repos, que les syndicats politisés, qui ne sont que les bras armés des partis, soient interdits. Alors, le renvoi d’où ils viennent de millions d’immigrés serait possible. Telle est la théorie, mais que l’on ne s’inquiète pas : la théorie restera théorique. Le « politiquement correct », la démagogie, l’incurie et le mensonge permanent continueront à alimenter la décadence.

Après une probable guerre de religion et peut-être une troisième guerre mondiale, la plus belle civilisation qu’ait connue l’humanité pourrait disparaître, laissant la place à la barbarie dont on constate chaque jour la progression et les crimes.

Pour terminer, je ferai part d’un autre étonnement, plus pittoresque, celui-là. Notre grand timonier bien-aimé a nommé ministre des Armées une femme du nom de Sylvie Goulard qui déclarait qu’elle « ne se sentait pas Française ». Ayant dû démissionner un mois après sa nomination, à son vif regret, cette dame a été remplacée par une autre dame ancrée à l’aile gauche du PS, dont le mari est le patron de l’agence des participations de l’État dans les entreprises publiques, telles que Safran et Thalès. On peut bien, entre époux, se rendre quelques services ! Cette dame, Florence, est secondée par une troisième dame, une plantureuse grand-mère, une bayrouiste, secrétaire d’État aux Armées.

« C’est la grand-mère aux Armées ». Je crois savoir que les militaires n’apprécient pas ces fantaisies paritaires, alors que la France pourrait bien, un jour prochain, avoir besoin des armées pour tenter d’éviter le pire.

 

Source : les4verites

Tous bacheliers et chômeurs

Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2017

Rédigé par notre équipe le 07 juillet 2017.

 

 
 
 
Le baccalauréat 2017 a rendu son verdict. Avant les épreuves de rattrapage, 78,6 % des candidats ont obtenu « le précieux sésame ». Un diplôme qui ne fait même plus rêver, car obtenu de tous ou presque. Le baccalauréat se meurt à petit feu et illustre la monstrueuse montée de l’égalitarisme et de l’ignorance. La réforme annoncée par le nouveau ministre de l’Education nationale et par le Premier ministre suffira-t-elle à sortir de cette misère intellectuelle ? Les raisons d’en douter existent. 

Un point de moins en moyenne par rapport à 2016. Le baccalauréat cru 2017 aura laissé plus de lycéens sur la touche (avant les épreuves de rattrapage). Une petite baisse qui n’annonce aucunement un avenir nouveau pour cette épreuve créée en 1809 par Napoléon et qui a depuis survécu à tous les régimes et les générations les plus contestataires. Au fil du temps, le baccalauréat est devenu le couronnement d’une scolarité, mais les trois dernières décennies se sont chargées de dévoyer un petit bijou de méritocratie bien française.

Longtemps réservé à une élite, le baccalauréat est devenu la norme à partir des années 1960. Les lycéens en quête de ce diplôme reconnu ont déferlé et le mouvement n’a fait que s’amplifier depuis. Le mal n’est pas le nombre croissant de candidats, mais la lâcheté des politiques (et des profs aux ordres) qui ont déclaré que le baccalauréat était un droit et non plus la conséquence d’un travail et d’une réussite scolaire. Principal coupable : Jean-Pierre Chevènement. En 1985, il est ministre de l’Education nationale et s’empare de l’idéologie égalitariste en affirmant qu’ « il faut à l’horizon de l’an 2000, amener 80 % d’une génération au niveau du baccalauréat ». L’objectif est fixé et désormais plus rien ne pourra faire dévier le train fou de sa trajectoire.

Politique du chiffre vs connaissance

Il faut à tout prix atteindre les 80 % (avant de les dépasser) et la solution de facilité s’impose : faire baisser le niveau d’exigence. Dans les années 1980, l’Education nationale a déjà renoncé à sa mission d’instruction. Il faut préserver les apparences et quoi de mieux que de faire des lycéens des diplômés ? L’impression de diplômes (même à échelle industrielle) n’est pas coûteuse et flatter les ego des parents et d’adolescents l’est encore moins. Les milliards investis à perte dans un système qui ne produit que de la médiocrité ne sont pas encore évoqués et lorsque l’évidence crève les yeux on continue quand même. Ainsi, en 2016, les résultats finaux du baccalauréat sont accablants : 88,6 % des candidats ont obtenu un diplôme au rabais.

Programmes de plus en plus minces, connaissances exigées de plus en plus faibles. Tout est fait pour que l’immense majorité ne se sente pas exclue. Il faut préserver nos ados encore fragiles psychologiquement et tant pis si un bac donné signifie pour 60 % des étudiants en licence un échec assuré. L’université a elle aussi perdu de sa superbe, mais le rythme de décrochage est un poil moins rapide. Résultat, les lycéens qui n’avaient pas le niveau pour obtenir un diplôme digne de ce nom se vautrent à l’université. La fabrique à diplômés tourne à plein régime avant que le système ne se grippe un an ou deux plus tard. La solution ne serait-elle pas de baisser encore le niveau à l’université ? Le chemin emprunté va dans cette direction, mais in fine l’échec est au bout de la route avec des cohortes nouvelles de chômeurs. Mal instruites, pas conscientes de leurs limites pourtant criantes, les nouvelles générations geignent d’un monde où tout n’est pas aussi facile qu’au lycée. Et le problème est de taille, car tous les jeunes chômeurs ne peuvent pas devenir des chauffeurs Uber. La logique macronienne atteint vite ses limites.

D’ailleurs, Macron et son gouvernement viennent de s’emparer du baccalauréat. Le nouveau ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, n’a pas caché son peu de goût pour le fonctionnement actuel du système. Des élèves qui arrivent en terminal avec de graves problèmes pour lire, compter et comprendre un texte simple, la pilule ne passe pas dans cet esprit pas trop soixant-huitardisé. Le Baccalauréat sera refondu autour d’un contrôle continu plus important et seulement quatre matières qui feront l’objet d’un examen de fin d’année. La bonne solution ? Pas vraiment, car là encore, la méritocratie passe en second plan. Un contrôle continu n’a pas la même valeur dans un établissement réputé et dans une ZEP où les profs donnent des bonnes notes malgré des copies truffées de fautes. Le baccalauréat aura une valeur locale et non plus nationale. Un diplôme une fois encore dénaturé et qui ne pourra retrouver sa valeur d’antan. Le ministre de l’Education national qui osera mettre fin à la course vers toujours plus de médiocrité n’est pas né. Bonne chance aux nouvelles générations !

 

Source :24heuresactu

PMA-GPA : les « progressistes » avancent leurs pions

Publié par Guy Jovelin 2017

Rédigé par notre équipe le 08 juillet 2017.

 

« Le mariage pour tous n’est en aucun cas un premier pas vers la GPA et la PMA ». Ce mensonge proféré à de multiples reprises alors que la France clamait haut et fort son refus de voir légaliser le mariage entre homosexuels a déjà volé en éclat. Le débat sur la GPA qui ne devait jamais être ouvert, selon les propos des traîtres au pouvoir en 2013, est aujourd’hui l’une des « avancées » à laquelle va s’atteler la nouvelle équipe gouvernementale. On n’arrête pas le progrès !  

Le passage en force du « mariage pour tous » aura été l’œuvre (bien hideuse) du quinquennat Hollande. Un tour de force qui a entrebâillé la porte menant à la gestation pour autrui, une pratique contestable surtout lorsqu’elle vise à fabriquer un enfant destiné à un couple gay et donc ne pouvant pas, par nature, procréer ensemble. L’été 2017 restera dans l’histoire comme le moment où cette porte a été ouverte en grand pour laisser passer les légions macroniennes qui ne voient l’être humain que comme une marchandise achetable et échangeable.

Deux décisions pour préparer le terrain

Le premier étage de la fusée a été mis en orbite le 26 juin 2017 avec l’avis du Comité consultatif national d’éthique. Un Comité dont tout le monde se fout et qui est « consultatif » comme précisé dans son intitulé, mais qui est devenu important depuis que François Hollande s’est caché derrière pour justifier sa réticence à approuver la GPA et la PMA alors qu’il faisait face à une marée de Français dégoûtés par son inconséquence sur le mariage homosexuel. Un mariage qui a mis le ver dans le fruit car la question de la filiation se posait explicitement malgré tous les ronds de jambe socialistes.

Le fameux Comité consultatif national d’éthique est revenu sur sa position de 2013 et a émis il y a quelques jours un avis favorable afin que toutes les femmes (en couple, lesbiennes, célibataires) puissent avoir recours à la procréation médicalement assistée. Le premier pas est donc franchi même s’il est bien rappelé que la GPA n’obtient pas d’avis favorable. Pendant la campagne présidentielle, le funambule Macron s’était déclaré contre l’autorisation de la PMA à toutes les femmes parce qu’elle « pose une question sur la dignité du corps de la femme » tout en assurant que l’avis du Comité aurait une influence forte sur la future norme.

Voici donc Macron lancé dans la PMA et la France carrément favorable à la GPA depuis la décision du 5 juillet 2017 de la Cour de cassation qui s’est prononcée en faveur de l’adoption du « parent d’intention » d’un enfant né à l’étranger issu de la GPA. La boucle est bouclée, la nature et l’éthique sont écartées telles de vulgaires traînées décadentes. La Cour de cassation, plus haute juridiction française, estime désormais qu’un couple homosexuel qui se rend à l’étranger où la GPA est autorisée, peut revenir tranquillement en France une fois l’enfant né et que le parent pas officiellement (et physiquement par ailleurs) géniteur a le droit d’adopter l’enfant. Ainsi, la Cour de cassation légitimise le recours de la GPA alors qu’elle est interdite en France. Grandeurs et décadences de la justice française !

Les associations LGBT crient au scandale car elles exigent que les deux parents soient reconnus comme les géniteurs (miracle de la nature et de la volonté) et éviter ainsi qu’un des deux membres du couple ne soit obligé de passer par l’adoption. Qu’ils se rassurent, ils auront bientôt ce qu’ils veulent. Sous prétexte de ces deux décisions iniques, le gouvernement se chargera de bricoler une loi qui répondra à toutes les exigences des défenseurs du « progressisme ». L’entrée dans cette nouvelle ère déplorable a un goût bien âcre que même le rire n’arrive plus à faire passer.

 

Source :24heuresactu