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vendredi, 14 juillet 2017

Fête Nationale française

 Publié par Guy Jovelin le 14 juillet 2017

 15 août : Assomption de Notre-Dame & Fête Nationale française

"Si l'esprit de l'homme, comme dit l'apôtre, ne peut s'élever jusqu'à comprendre la gloire immense que Dieu prépare dans le ciel à ses serviteurs qui l'ont aimé sur la terre, quelle gloire n'a-t-il pas dû accorder à sa très sainte Mère, qui l'a aimé plus que les saints et les anges ; et qui l'a aimé de toutes ses forces ! de telle sorte que Marie est l'unique créature qui put dire à Dieu, en arrivant au ciel : << Seigneur, si je ne vous ai pas aimé sur la terre autant que Vous le méritez, du moins Vous ai-je aimé autant que je l'ai pu. >>

O Marie, notre vie, notre douceur et notre espérance, priez Jésus pour nous !"

Saint Alphonse de Liguori 

La fête de l'Assomption est aussi le jour choisi par le Roi Louis XIII pour consacrer le royaume de France à la Mère de Dieu. Extrait :

 
"Nous avons déclaré et déclarons que prenant la très sainte et très glorieuse Vierge pour protectrice spéciale de notre royaume, nous lui consacrons particulièrement notre personne, notre Etat, notre couronne et nos sujets, la suppliant de nous vouloir inspirer une sainte conduite et de défendre avec tant de soin ce royaume contre l'effort de tous ses ennemis, que, soit qu'il souffre du fléau de la guerre ou jouisse de la douceur de la paix que nous demandons à Dieu de tout notre cœur, il ne sorte point des voies de la grâce qui conduisent à celles de la gloire."

Ainsi, en tant que français nous fêtons cet évênement et reconnaissons ce jour comme LA FETE NATIONALE de tous les français et de tous ceux qui aiment la France !!!

Que St Louis, Ste jeanne, Ste Thérèse et Notre-Dame sauvent la France !

Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous !

 

Source : prieres-catholiques-traditionnelles

Irlande : un couvent catholique bientôt transformé en mosquée

Publié par Guy Jovelin le 14 juillet 2017

Irlande – Un homme d’affaire pakistanais du nom de Mohammed Aslam a l’intention d’acheter un couvent historique protégé à Co Roscommon et d’en faire une mosquée.

L’affaire suscite la polémique sur place. Le couvent de St Mary’s à Ballaghadereen a été construit en 1876 mais est inoccupé depuis 20 ans. La propriété doit être mise aux enchères sous peu, avec un prix de réserve de 50 000 €. Mais les acheteurs ne se bousculent pas.

L’ancien conseiller municipal Michael Scally a tiré la sonnette d’alarme en apprenant que ce lieu de culte catholique pourrait bientôt être transformé en mosquée. «J’aurais préféré que le diocèse local ou les religieuses ou la communauté catholique prennent l’initiative de l’acheter ou de le restaurer et de le transformer en maison de retraite ou un lieu de convalescence pour les religieux à la retraite», a-t-il déclaré aux médias.

Voici en tout cas une illustration supplémentaire de ce à quoi mène l’immigration de grand remplacement dans un climat de déchristianisation.

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 13 juillet 2017

C’était un 13 juillet 1789…

Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2017

13 juillet 2017 par admin4

Réunion maçonnique en l’église saint Antoine, où l’insurrection du lendemain contre la Bastille est décidée, ainsi que sa démolition.

Parmi les participants les plus actifs, figure Pierre-François Palloy, un entrepreneur qui tentait depuis plusieurs mois d’obtenir l’attribution de la démolition de la Bastille, décidée par Louis XVI.

 

 

 

 

 

 

Source : contre-info

mercredi, 12 juillet 2017

L’Italie ferme ses portes du Sud … et ouvre celles d’Hannibal

 

you-shall-not-pass-petit
 
Alors que nous pensions qu’enfin le gouvernement italien avait compris que le sauvetage industriel des bateaux de migrants était mortel pour l’Europe… il nous faut déchanter, il s’agissait d’un faux espoir.

En effet, il n’en est rien, l’invasion de l’Europe par les migrants arrivant en Italie va continuer. La nouvelle folie consiste juste à acheminer les bateaux de sauvetage des migrants vers les ports du Nord, de préférence vers Trieste, ainsi l’invasion migratoire n’aura plus à traverser toute l’Italie. Les envahisseurs africains seront plus proches de leurs destinations finales, c’est à-dire la Suisse, l’Allemagne, la Belgique... Renzi demande également à l’Espagne et à la France d’ouvrir leurs ports.

C’est une nouvelle qui devrait secouer les Européens, mais les autochtones sont dans un tel état de torpeur qu’ils ne réagiraient même pas si l’Etat islamique débarquait, tous drapeaux déployés. La Ligue du Nord, l’Autriche, la Slovénie sont très, très énervées par ce projet, vu la proximité de leurs frontières et ce que cela  signifie du point de vue sécuritaire, sanitaire, etc.

L’Autriche qui n’a accepté qu’une cinquantaine de migrants depuis 2 ans, elle a envoyé 750 soldats et des blindés aux frontières concernées. Nous devinons ce qui pend au nez de la Suisse, avec Simonetta aux commandes...
Les journalistes n’arrêtent pas de dire à la population que les demandes d’asile n’ont jamais été aussi basses depuis des années ! Qui peut croire à ces balivernes ? 
Est-ce que les migrants ne s’enregistrent même plus dans les centres ad hoc ? 
De toute manière, ils détruisent leurs papiers d’identité avant de s’enregistrer. Non enregistrés, ils sont juste doublement illégaux.

À l’heure actuelle, la seule question importante qui peut encore se poser est la suivante : est-ce que la civilisation européenne est capable de s’organiser pour stopper cette invasion puis la repousser ?
 Si la réponse est négative, nous, les Européens, allons tous couler à plus ou moins brève échéance.

Cenator

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Face à l'afflux de migrants, l'Italie menace de fermer ses ports  

Par Jean-Jacques Mevel, publié le 02/07/2017

Rome réclame l'aide urgente de ses voisins européens et les appelle à ouvrir leurs ports aux bateaux secourant les migrants. Les ministres de l'Intérieur français, allemand et italien se sont réunis dimanche soir à Paris pour discuter d'une «approche coordonnée».

L'Italie a vu déferler une vague de 10.000 migrants africains en 48 heures la semaine dernière et elle en a assez d'attendre un partage du fardeau. La France, l'Espagne et aussi l'Allemagne vont devoir calmer sa colère après un vrai coup de semonce: Rome pourrait interdire les côtes italiennes à une partie des irréguliers, obligeant les voisins méditerranéens à les accueillir directement pour la première fois.

La menace, formulée en coulisse mais pas confirmée par le gouvernement Gentiloni, suffit à déclencher un branle-bas diplomatique. Il débute dimanche à Paris, avec un rendez-vous d'urgence des trois ministres de l'Intérieur français, allemand et italien. Jeudi, les mêmes tenteront une fois encore de trouver avec leurs 25  collègues de l'UE une issue au dilemme qui hante la crise migratoire: comment aider les pays de première ligne, comme l'Italie et la Grèce, sans les soulager d'au moins une partie des irréguliers ? La discussion se prolongera sans doute au sommet du G20, vendredi à Hambourg.

Les Africains débarqués au sud de l'Italie sont avant tout des migrants «économiques». Ils sont voués à l'expulsion à terme, à la différence des bénéficiaires du droit d'asile comme les réfugiés de guerre syriens. Mais ni Marseille ni Barcelone ne seraient enthousiastes à les recevoir même provisoirement, comme le font aujourd'hui les ports de Sicile et de Calabre. D'autant que les chiffres explosent: l'Italie en a déjà accueilli plus de 80.000 cette année, un tiers de plus qu'au premier semestre 2016.

Marseille sollicitée?

La majorité des nouveaux arrivants sont recueillis en mer, non loin des côtes libyennes, par les bâtiments militaires et civils de deux opérations de sauvetage de l'UE, «Sophia» et «Triton». Le mandat est clair et Rome ne le conteste pas: ces migrants continueront d'être débarqués sur le sol italien. Le cas des bateaux affrétés par les ONG françaises, espagnoles ou allemandes est plus ambigu. De plus en plus nombreux, ils peuvent recueillir jusqu'à la moitié des irréguliers. Ils sont aussi plus difficiles à contrôler. La diplomatie italienne soutient que le pays de pavillon devrait être le pays de débarquement des migrants. Comprendre: la France, l'Espagne voire la République fédérale…

«On ne peut pas prendre toute la misère du monde, mais chacun doit prendre sa part. C'est bien de cela qu'il s'agit»

Emmanuel Macron, la semaine dernière à Berlin

Le sujet sera discuté cette semaine par Paolo Gentiloni et Jean-Claude Juncker, le patron de la Commission. À ses yeux, l'Italie et la Grèce «ne peuvent plus être laissées seules en première ligne». Bruxelles légitime l'inquiétude de l'Italie, mobilise de nouveaux financements et se prépare, le cas échéant, à modifier les règles de débarquement pour les ONG. La France et l'Espagne font la moue. Le président Macron, pourtant, fait une ouverture: «On ne peut pas prendre toute la misère du monde, mais chacun doit prendre sa part. C'est bien de cela qu'il s'agit», disait-il la semaine dernière à Berlin, empruntant une formule chère à Michel Rocard.

Pression politique

En cas d'échec, il y a peu de risques que l'Italie interdise finalement l'entrée des pavillons étrangers dans ses ports, veut croire Bruxelles. Rome force l'admiration pour la tâche accomplie depuis trois ans, avec l'accueil de 500.000  migrants et réfugiés. Un geste de mauvaise humeur pourrait tout gâcher, déchirer profondément l'UE et infliger un spectacle encore plus désolant en Méditerranée.

Dans la Botte pourtant, la pression politique n'est pas près de se relâcher, avec en vue des élections générales au plus tard au printemps 2018. Le Parti démocratique de Matteo Renzi, au pouvoir, se sent chaque jour plus vulnérable sur le dossier brûlant de l'immigration. Silvio Berlusconi et l'inclassable Beppe Grillo multiplient les attaques. Alors que les offensives électorales du populisme et de l'extrême droite viennent de se briser en Autriche, aux Pays-Bas et en France, l'Italie craint au contraire d'être deux fois perdante. Elle attend un geste politique de ses voisins. «Macron, au secours! Les populistes reviennent…», titrait il y a quelques jours La Stampa, le grand quotidien du Nord.

Source : lesobservateurs via  Le Figaro

La démocratie sans la Monarchie, c’est l’oligarchie

Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2017

Par Jean-Philippe Chauvin démocratie,monarchie,oligarchie

1262631406.jpgNous sommes en République, et non en Monarchie… Peut-être, après tout, M. Macron aurait-il été un bon ministre du roi, voire un « régent acceptable » selon la formule d’un collègue professeur qui sait ses classiques ! Mais la République, elle, par son principe électif même et son idéologie centralisatrice, et par ses véritables maîtres que sont les féodalités de l’Argent, empêche toute bonne politique sur le long terme et décrédibilise les meilleures intentions quand elle décourage les meilleures volontés.

Les élections qui ont bouleversé le « pays légal » avec la formation d’une « Chambre bleu Macron », démontrent à l’envi que, selon la formule tirée du « Guépard », « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Si les têtes sont nouvelles, l’esprit reste souvent le même, et la République se confirme à travers ce nouveau « pays légal » qui ne représente pas exactement le, ou plutôt « les pays réels ». Les nombreuses enquêtes sur les candidats de « La République en marche » confirment que ceux-ci appartiennent plus aux catégories aisées qu’aux classes populaires… Le problème n’est pas qu’il y ait des « privilégiés » au Palais-Bourbon (il peut même être heureux qu’il y en ait, de chef d’entreprise à haut fonctionnaire) mais qu’ils soient surreprésentés quand les catégories moins aisées en sont quasiment absentes ! Ainsi va la démocratie représentative qui n’est rien d’autre, en somme, qu’une forme d’oligarchie plus ou moins discrète, et cette démocratie-là, alibi du pouvoir des « puissances économiques d’abord », est critiquable, condamnable, parfois détestable à l’usage. 

Soyons clairs quand les démocrates revendiqués ne le sont pas, bien prompts plutôt à tricher sur le sens des mots pour imposer leur domination sur tous, et en vanter la légitimité, « la seule acceptable » (sic !), bien sûr… Redonnons leur sens aux mots et regardons leur pratique concrète : la démocratie, si l’on en croit l’étymologie grecque, c’est le pouvoir du peuple. Mais il faut aller plus loin : c’est le pouvoir du plus grand nombre au sein de ce peuple qui, lui-même, n’est souvent qu’une partie plus ou moins importante de la population de l’espace civique considéré.

Dans l’histoire, le mot et la chose apparaissent à Athènes, au cinquième siècle avant notre ère, et la démocratie se veut directe, les décisions les plus importantes et les plus politiques étant prises par la majorité des citoyens présents sur la colline de la Pnyx, à l’ecclesia. Cela finira mal, car l’opinion la plus nombreuse et la plus courante n’est pas forcément la raison ni l’intérêt commun. Athènes en fera l’amère et cruelle expérience, et perdra sa liberté par sa faute et son arrogance toutes démocratiques… 

Aujourd’hui, la démocratie directe s’applique peu dans notre pays, car la République lui préfère la démocratie représentative, ce que nous pourrions appeler la démocratie d’apparence, forme à peine déguisée d’une oligarchie qui prend les traits de parlementaires, de ministres et de présidents forcément provisoires, mais aussi ceux d’une sorte de « classe discutante » destinée à « tenir l’opinion ». C’est ce qu’illustre magnifiquement le film « Le Président », dans lequel Jean Gabin, président du Conseil d’une République qui ressemble surtout, il est vrai, autant à la Quatrième qu’à la Troisième, s’en prend aux députés, même de gauche, dont les intérêts personnels se trouvent d’abord dans le domaine économique et financier, et qu’il dénonce cette sorte de « démocratie de connivence ». (voir ce passage du film ) 

D’ailleurs, quand la République, désormais avec mauvaise grâce, se plie à l’exercice du référendum, elle n’en respecte pas forcément le résultat s’il ne lui convient pas, à elle ou à l’Union européenne, comme les électeurs français ont pu le constater avec colère et ressentiment après le vote de 2005… De plus, cette colère des électeurs, de plus en plus vive mais mêlée souvent de fatalisme, se traduit par une abstention électorale importante (cette « sécession du peuple » qui rappelle celle des plébéiens romains de l’Antiquité), qui atteint désormais plus de la moitié de l’électorat, les plus absents étant ceux des générations montantes et les classes populaires : désaveu d’une démocratie parlementaire dans laquelle une grande partie du « pays réel » ne se reconnaît plus et ne retrouve pas ses propres préoccupations et aspirations. Désaveu terrible, gros de tempêtes futures…  

La Couronne, (8.07)

 

Source : lafautearousseau