Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 01 septembre 2017

Homofolie : résistance à l’est

Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2017

est,homofolie,résistanceUn sondage des jeunes entre 18 et 34 ans dans les pays de l’Europe de l’Est a montré la résistance farouche à la propagande homofolle. Quand on a résisté aux chars rouges des Soviétiques et au KGB, ce ne sont pas les chars roses de la gay-pride et la gaystapo qui vont faire peur.

Le pays le plus tolérant à l’est est comme il se doit l’athée République Tchèque et cette capitale du judaïsme européen qu’est Prague, avec 17 % d’hostilité.

Sous la barre des 25 %, on trouve la Grèce, patrie de Lesbos et Mykonos, avec 24 %.

On passe directement au-dessus des 40 % pour les pays suivants. Entre 40 et 50 %, nous avons la catholique Pologne avec 42 %, la tout aussi catholique Croatie avec 43 %, puis un autre pays catholique, la Hongrie, avec 49 %, à égalité avec l’orthodoxe Bulgarie.

Deux pays dépassent les 50 % : de manière étonnante, l’Estonie – pourtant infestée de libéralisme – avec 50 % et la catholique Lituanie avec 59 %.

Deux autres pays également au –dessus des 60 % : la protestante Lettonie avec 64 % et l’orthodoxe Serbie, 66 %.

Entrons maintenant dans le dur avec plus de 75 % de refus des saturnales inverties : le Belarus est à 75 %, la Roumanie et la Bosnie à 76 %.

A plus de 80 %, on trouve à un même 84 % les deux sœurs ennemies réconciliées pour l’occasion, l’Ukraine et la Russie. A 88 %, nous avons la Moldavie.

Mention spéciale de la résistance aux pays du Caucase : Géorgie, 91 %, taux montant à 98 % en Arménie.

Il n’y a pas de données disponibles pour la Slovaquie, la Slovénie, le Monténégro, le Kossovo, l’Albanie, la Macédoine, l’Azerbaïdjan, et Chypre.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Réforme, quelles réformes ?

Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2017 

Unknown.jpg

Patrick Parment

En France, c’est toujours la même litanie : tout un chacun a bien conscience que notre pays fonctionne mal et qu’il est grand temps d’opérer des changements.

Mais voilà, dès que l’on prononce le mot « réforme », ce sont des hurlements, syndicalistes en tête, relayé illico par le Medef. On a les syndicats les plus conservateurs et le patronat le plus borné du monde. Si vous additionnez les revendications syndicales d’un côté, celles du Medef de l’autre, c’est le blocage assuré.

Pour ne rien arranger, on a la classe politique la moins aventureuse et la plus inculte qui soit et qui s’imagine que tout mouvement risquerait de remettre en cause son statut et ses conforts. Raison pour laquelle nos élus se gargarisent de grands mots mais refusent de passer à l’acte.

Ajoutez à cela la frilosité de nos gouvernants que le moindre mouvement de rue fait automatiquement reculer et vous aurez une photo grandeur nature de la société française.

Pour toutes ces raisons, on attend Emmanuel Macron au tournant. Car la grande nouveauté, c’est qu’entre le président de la République et le peuple français, il n’y a plus d’obstacles. Qu’une illusoire République en marche !

 

Source : synthesenationale