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Ancien conseiller régional d'île de France, Jean-Francois Touzé a successivement été secrétaire administratif du FN, chargé de mission pour les fédération auprès du Secrétaire général Jean-Pierre Stirbois puis de Carl Lang, secrétaire national aux adhésions et à la communication interne, et, en 2005, secrétaire national aux élus. Membre du Bureau politique du Front National, il a animé en 2002 la cellule Idées Images lors de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen dont il fut un proche conseiller. Il dirige aujourd'hui la revue CONFRONTATION.
Le Bureau politique du Parti de la France a procédé à sa nomination en tant que Délégué national aux études et argumentaires.
Le « frotteur » – récidiviste – a agressé une adolescente dans une station de métro de Toulouse. La victime s’est rebellée et l’homme de 22 ans a été jugé en comparution immédiate.
Il a commencé par se coller à elle dans l’escalator du métro. L’adolescente s’est éloignée mais il l’a rattrapée et lui a touché l’entrejambe. Cette scène, relatée par La Dépêche du Midi, a eu lieu le mardi 4 septembre, en pleine après-midi, dans la station de métro Jean-Jaurès à Toulouse.
Mais la jeune victime s’est rebellée, elle a poussé son agresseur et son amie lui a même collé une gifle. Surtout, les deux amies ont eu le réflexe de prévenir les agents de sûreté de Tisséo, ce qui a permis l’interpellation du « frotteur », pas vraiment inconnu des services de police…
En avril 2017, cet homme de 22 ans avait déjà été interpellé par les gendarmes à Cazères, une commune du sud de Toulouse, pour avoir saisi la poitrine d’une femme. Il doit être jugé en octobre pour cette première affaire.
Demandeur d’asile, lui et sa famille sont hébergés par une association. Marié et père d’un bébé de 10 mois, sa femme est présente dans la salle d’audience et le soutient. (La Dépêche)
Le député LREM avait automatiquement cessé d’être membre de la commission des Finances après son départ du groupe La République en marche, conformément au règlement de l’Assemblée nationale.
Certains souhaitent qu’il démissionne de son mandat de député
Sur l’île de Saint-Martin, l’État Français s’est effondré en moins de 24 heures après le passage de l’ouragan « Irma ». Largement occultée par les médias étatiques hexagonaux, cette réalité a cependant pu être communiquée au plus grand nombre par les gens présents sur place grâce aux réseaux sociaux. Une anarchie qui tranche avec la mobilisation immédiate du gouvernement américain.
La sous-préfète s’enfuit
Premier élément de cet effondrement, la fuite de la sous-préfète de l’île, Anne Laubiès. Cette dernière a abandonné les habitants à leur sort et avec son départ précipité, c’est l’organisation politico-administrative française qui s’est évaporée instantanément.
Cette fuite n’entraînera, bien sûr, aucune poursuite pénale.
Les nombreux pillards, essentiellement des individus d'origine africaine, ont rapidement mis à profit cet écroulement du gouvernement pour se livrer à des meurtres et pillages à grande échelle. Les Français de l’île expliquent avoir du organiser, sur conseil d’une gendarmerie totalement dépassée, des milices pour garantir leur sécurité.
Anarchie française, mobilisation générale américaine
Contrairement aux USA qui ont mis en place un vaste plan d’évacuation en Floride, le gouvernement français est pour l’essentiel resté spectateur malgré les informations dont il disposait au sujet de l’arrivée de l’ouragan. Dès le 31 août, les premières informations sur la venue de l’ouragan étaient connues et ce dernier mettra une semaine complète à atteindre l’île de Saint-Martin.
Ce délai n’a pour ainsi dire jamais été mis à profit pour évacuer l’île ou préparer un puissant dispositif sécuritaire.
En Floride, le gouvernement fédéral ainsi que les autorités de cet état ont procédé depuis des jours à l’évacuation préventive des zones potentiellement touchées tandis que tous les services gouvernementaux étaient mobilisés en prévision. Le président Trump détaille depuis des jours les mesures à prendre, donne les adresses des sites internet diffusant les informations indispensables ou supervise la mise en œuvre du dispositif de crise.
Il y a trois jours déjà, le président américain s’adressait directement au peuple américain pour lui signifier l’urgence de se préparer.
Pour mesurer le gouffre qui sépare les deux gouvernements, on rappellera que Saint-Martin est une petite île d’un peu plus de 600 kilomètres carrés – un dixième du Finistère – peuplée par seulement 35.000 habitants. La superficie de la Floride représente un tiers de celle de la France pour 20 millions d’habitants.
En d’autres termes, l’État Français a été mis à genoux par un ouragan ayant frappé l’équivalent d’une petite ville hexagonale comme Alfortville là où les USA assurent, dans l’ordre, la gestion d’une crise impliquant l’équivalent d’un tiers de la population française.
Une priorité pour Macron et l’État Français : sauver les apparences
Face aux images et témoignages communiqués sur les réseaux sociaux, le gouvernement français tente désormais de limiter les retombées politiques. Il s’agit donc d’organiser et de scénariser un déplacement d’Emmanuel Macron sur place. Objectif : faire croire que tout est sous le contrôle de l’état et du président français.
Cet effondrement rapide du gouvernement représente un avertissement pour la société française : en cas de crise et d’émeutes raciales à grande échelle, elle sera livrée à elle-même. Nul ne doit faire confiance à l’État, sous peine de s’exposer à de cruelles déconve