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mercredi, 27 juin 2018

Un organisme soutenu par l’État et le MEDEF propose 1 million d’emplois aux « réfugiés »

Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2018

Auteur : admin4

1 046 370 offres d’emploi proposées à des « réfugiés » ou prétendus tels, en France…

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« Action emploi réfugiés » fait donc une discrimination au détriment des Français, mais là, ça passe. Elle a même pour partenaires le Ministère de l’Intérieur, ainsi que le MEDEF (voir en fin d’article)…

Pas étonnant, les « migrants » sont vus comme une aubaine par le grand patronat : une main d’œuvre peu exigeante quant au salaire et aux conditions, et apte à faire pression à la baisse sur les salaires… Mais les objectifs de cette officine cosmopolite sont aussi idéologiques (voir le passage que nous avons mis en gras ci-dessous).

Laissons cet organisme privé créé en 2016 se présenter : « Action Emploi Réfugiés (AERé) est une plate-forme virtuelle mettant en relation employeurs et réfugiés en France. […] L’association, qui facilite l’intégration des réfugiés par l’emploi, s’appuie sur de nombreux partenaires institutionnels et associatifs, ainsi que des entreprises.  et formidable réservoir de compétences pour l’économie. […]

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Cette plate-forme collaborative permet de faciliter la recherche d’un emploi pour les réfugiés, et pour les employeurs de puiser dans un vivier de compétences insuffisamment connu. Au-delà, la plate-forme se veut être un centre de ressources et de partage d’information pour les réfugiés dans leur parcours vers l’emploi.

[…] L’intégration des réfugiés est également un atout pour la société française, de par l’ouverture culturelle à laquelle ils nous invitent, sur un socle commun de valeurs partagées. »

La liste des « partenaires » présentée sur le site de cette officine : 

medef,offres d'emplois,réfugiés

 

 

Source : contre-info

vendredi, 01 septembre 2017

Réforme, quelles réformes ?

Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2017 

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Patrick Parment

En France, c’est toujours la même litanie : tout un chacun a bien conscience que notre pays fonctionne mal et qu’il est grand temps d’opérer des changements.

Mais voilà, dès que l’on prononce le mot « réforme », ce sont des hurlements, syndicalistes en tête, relayé illico par le Medef. On a les syndicats les plus conservateurs et le patronat le plus borné du monde. Si vous additionnez les revendications syndicales d’un côté, celles du Medef de l’autre, c’est le blocage assuré.

Pour ne rien arranger, on a la classe politique la moins aventureuse et la plus inculte qui soit et qui s’imagine que tout mouvement risquerait de remettre en cause son statut et ses conforts. Raison pour laquelle nos élus se gargarisent de grands mots mais refusent de passer à l’acte.

Ajoutez à cela la frilosité de nos gouvernants que le moindre mouvement de rue fait automatiquement reculer et vous aurez une photo grandeur nature de la société française.

Pour toutes ces raisons, on attend Emmanuel Macron au tournant. Car la grande nouveauté, c’est qu’entre le président de la République et le peuple français, il n’y a plus d’obstacles. Qu’une illusoire République en marche !

 

Source : synthesenationale

mardi, 09 février 2016

SERAIT-IL POSSIBLE QU’UN JOUR UN « PENSEUR » DIFFÉRENTIE LE POPULISME DE « L’EXTRÊME DROITE » ?

 Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

 

2941283946.jpgDr Bernard Plouvier

Lorsqu’à l’Assemblée, auto-proclamée Constituante en juillet 1789, on disposa les places de députés (ceux-là même qui avaient été envoyés aux États Généraux du royaume de France), les réactionnaires, partisans de la poursuite de l’institution monarchique de droit divin, siégèrent à l’extrême-droite du fauteuil présidentiel… depuis lors, l’on a toujours – et très justement – assimilé l’extrême-droite au conservatisme politique, économique et social.  

À dire vrai, certains monarchistes des années 1830 à 1914 étaient partisans de l’établissement de lois sociales et d’un salaire équitable. Certains d’entre eux inspirèrent à Léon XIII son encyclique Rerum novarum, rendue publique le 15 mai 1891… qui effraya tant le patronat européen. En France, ce patronat était généralement républicain, volontiers de tendance « radicale », voire affilié au Grand-Orient, mais ses membres ne voulaient ni de réformes sociales ni d’augmentation notable des salaires. L’histoire réelle – pas celle enseignée dans nos écoles & facultés – offre de petites joies au chercheur !

Comment qualifier des patriotes (voire des « nationalistes chauvins ») qui veulent améliorer le statut culturel et le pouvoir d’achat des couches les plus pauvres de la Nation ? Par le nom d’Extrême-droite, nous dit-on… mais pour un observateur lucide, cette appellation devrait plutôt être attribuée à un patronat rétrograde, qui permet, par son immobilisme et son égoïsme, aux marxistes, aux socialistes de salons et aux permanents syndicaux de donner périodiquement de la voix, justifiant ainsi leur existence et leur gagne-pain : sans patronat stupide et arriéré, pas de gauche ni d’extrême-gauche ! L’un et l’autre s’entretiennent en une cynique interaction, dont les pauvres font les frais. À octroyer trop vite de décentes conditions de vie au bon peuple, on risquerait de mettre au chômage les démagogues.

De nos jours, les deux groupes complices (patronat et pseudo-gauche) soutiennent l’immigration-invasion, utile pour fournir des travailleurs engagés à bas coût par les patrons – qui ne reculent pas devant l’emploi de « clandestins » davantage sous-payés encore -, utile pour gonfler des effectifs syndicaux désertés par des autochtones désabusés. Tous hurlent auprès des mols politiciens pour que l’on accroisse par des allocations de toutes sortes les bas salaires, ce qui est excellent pour la consommation, donc au premier chef pour la grande distribution.

Pour désigner les hommes et les femmes qui refusent l’invasion de la patrie par des éléments extra-européens, violents, incultes, importateurs d’une religion conquérante et meurtrière par son Djihâd (recommandé à tout musulman en bonne santé), ces patriotes qui réclament la priorité d’embauche pour les nationaux, une meilleure protection de la production nationale exposée à une concurrence extra-européenne qui bénéficie d’un dumping d’État ou de l’exploitation – selon nos critères européens – de populations encore peu exigeantes… pour les désigner, plutôt que d’user à tort du qualificatif d’extrême-droite (qui sous-entend un conservatisme économique et social), il convient de parler de Populisme, soit une doctrine de promotion de la culture en milieu populaire, de revalorisation du travail manuel, d’exigence d’un juste salaire – adapté à la qualité et à la quantité du travail fourni par chacun… bref, comme l’ont écrit divers théoriciens depuis le Moyen Âge, c’est une doctrine qui se résume par l’expression : à chacun selon son dû.  

On conçoit que ne soit guère à l’honneur cette notion très démocratique, qui définit la méritocratie, en une Europe des Économies Unies dans le cadre de cette économie globale et de cette mondialisation des vies politiques et sous-culturelle, qui sont plus proches de la merdocratie que de la méritocratie.

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

mercredi, 10 décembre 2014

Fin du repos dominical : les longs dimanches d’agonie… (par Aristide Leucate)

 

Publié par Guy Jovelin

Dès le mois d’octobre, par un tweet, le ministre de l’Économie Emmanuel Macron avait prévenu : « Il faut simplifier le travail le dimanche et en soirée à trois conditions : volontariat, accord majoritaire et compensation de salaire. » Ce mercredi, cette mesure sera présentée en Conseil des ministres. Elle est comprise dans un projet de loi plus vaste embrassant, notamment, la fin des monopoles des professions réglementées (notaires, huissiers, pharmaciens, dentistes, etc.). Ou comment faire sauter les dernières digues protectrices contre les vents violents de la mondialisation.

Décidément, rien ne ressemble plus à un ministre socialiste qu’un autre ministre UMP, voire un cadre dirigeant du MEDEF. Interchangeables à volonté, les mêmes, inconscients de la monstruosité de leurs connivences idéologiques, ne cessent de hurler haro sur le baudet populiste quand on prétend, à bon droit, les jeter dans le même sac d’opprobre « UMPS ». Tendre ainsi les verges pour se faire battre confinerait-il au crétinisme épais ou à la tartufferie la plus saumâtre ?

Poser la question revient à y répondre, tant il est constant que cela fait bien longtemps que la gauche a trahi le peuple en même temps qu’elle a abandonné le socialisme, comme l’a récemment rappelé Jean-Claude Michéa dans son roboratif échange épistolaire avec Jacques Julliard (La Gauche et le peuple, Flammarion, 2014). En finir avec le repos dominical n’est pas une idée neuve. Déjà Napoléon, poursuivant l’œuvre entreprise sous la Terreur, ne souhaitait pas, contre l’avis de ses légistes, imposer un jour obligatoire de repos, sauf « aux fonctionnaires publics et agents salariés du gouvernement ». Rétabli sous la Restauration, il sera à nouveau supprimé par les républicains anticléricaux en 1880 (malgré la bronca des parlementaires royalistes et quelques solides opposants comme Victor Hugo, Jules Simon ou Victor Schœlcher), pour finalement réapparaître avec la loi du 13 juillet 1906, après des années d’âpres débats, sous l’influence notable des catholiques sociaux.

Issus des révolutionnaires hostiles à « l’oisiveté » de l’ouvrier et à tout ce qui, de près ou de loin, les rapproche de la lointaine tradition catholique, nos a-nationaux-socialistes modernes communient désormais avec la haute bourgeoisie d’argent dans le culte du libéralisme où les individus, dépersonnifiés, sont ravalés au rang de monades hédonistes mus pas l’instinct de consommation le plus vil. Après l’antique culte du Veau d’or, celui du « divin marché » (selon l’expression de Dany-Robert Dufour), sous les auspices procéduraux du Droit pour tous (et donc contre tous).

Défendre le repos dominical va bien plus loin que la vulgate simpliste de se retrouver en famille, entre amis ou pour vaquer à ses loisirs. Dans sa dimension anthropologique – pourquoi pas éclairée par notre longue mémoire spirituelle –, ce combat nous rappelle que l’homme est avant tout un animal social répondant à des stimuli autres que ceux de la troisième fonction dumézilienne du ventre et du bas-ventre.

Source

mardi, 01 juillet 2014

Coup de balai !

 Le billet de Patrick Parment

 coup-de-balai.jpgPour une fois, on est d’accord avec le Medef, il est urgent de réformer notre modèle économique dans la mesure où celui-ci est une entrave à l’activité de ce pays. Là où nous ne sommes plus d’accord avec le patronat, c’est que l’allègement des charges réclamé risque de ne bénéficier qu’aux actionnaires et non à l’entreprise et ses ouvriers.

Dans ce pays, l’emploi, car c’est bien de cela qu’il s’agit, est ralenti aux deux bouts de la chaîne : du côté de l’Etat par une somme de lois, de règlements et d’un code du travail qui sont devenus ubuesques ; de l’autre par un modèle économique libéral qui privilégie l’actionnaire et non plus l’entreprise. Ajoutons à cela une réglementation européenne souvent absurde et l’on comprendra mieux pourquoi l’Europe est à la traîne. D’autant que, l’Allemagne mise à part – mais pour combien de temps encore ? – tous les pays européens connaissent des difficultés.

Or, l’Europe est encore une terre sur laquelle naissent chaque jour les projets industriels les plus innovants. L’Europe reste et demeure le continent où la matière grise est la première des richesses, ce qui vaut quand même plus qu’un baril de pétrole !

Dans une Europe qui n’a aucune unité politique et encore moins de défense mais une allégeance sans condition au système libéral, il revient aux Etats de limiter le pouvoir de Bruxelles et de ses fonctionnaires. Nous n’ouvrirons pas ici le procès, mille fois fait, de l’Europe. Car, c’est bien en France que de profondes réformes doivent être entreprises : réforme des impôts, réforme, ou plutôt allègement, du code du travail, réduction des normes et réglementation en tout genre. Au même titre qu’un droit de regard sur l’activité et les moeurs bancaires. Mais réforme aussi de l’Etat en lui faisant subir une cure d’amaigrissement.

Et, pour finir, puisque nous sommes dans l’urgence, une réforme de notre système éducatif avec pour première mesure le rétablissement de la sélection à tous les étages et en partant du principe que seuls 20-25% d’une classe d’âge est en mesure de faire des études longues. Ce qui nous amènerait à privilégier l’enseignement professionnel sans pénaliser la filière longue conduisant à un enseignement de qualité à tous les niveaux : facultés et grandes écoles.

On a tendance à oublier que notre civilisation s’est bâtie sur le manque, la pauvreté et le travail acharné de nos ancêtres afin de donner à la nature une forme qu’elle n’avait pas.

Enfin, autre cap à franchir, celui de la transition énergétique. Quesaco ? C’est tout simplement le remplacement, quand c’est possible, d’énergies non renouvelables par des énergies renouvelables. Un vaste chantier qui devrait, là encore, placer les Européens à la pointe de l’innovation.

On aura compris, à l’énoncé de ce catalogue restreint de réformes que ce n’est pas dans le contexte politique actuel qu’une telle révolution pourrait avoir lieu. Ce qui nous rassure, c’est que ce système est à bout de souffle avec des socialistes dont l’indigence à gouverner marque bien les limites d’une conception idéologique de la société et une droite qui a fini par révéler sa nature mafieuse. Bref, un personnel politique qui, à terme, sera balayé, espérons-le, par le ras-le-bol des peuple que l’on enfume depuis trop longtemps.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/