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jeudi, 09 août 2018

C’était un 9 août : Nagasaki, ou la guerre selon les démocrates

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2018

Auteur : admin4

bombe atomique,états-unis,nagasakiLe 9 août 1945, les Etats-Unis, champions de la Démocratie, lâchaient sur la ville japonaise de Nagasaki une bombe atomique.

Il s’agissait d’une politique de terreur destinée à faire plier plus vite l’Etat nippon (dont la défaite était en cours) – et à impressionner les rivaux soviétiques – en tuant ses civils.

Notons que depuis, les Etats-Unis ont bombardé régulièrement, un peu partout sur la planète – au motif de la défense des civils -, et qu’ils s’indignent que d’autres qu’eux puissent avoir l’arme atomique, alors qu’ils sont les seuls à l’avoir utilisée (par deux fois), sans même qu’il s’agisse de se défendre.

La première bombe A avait été lâchée sur Hiroshima trois jours plus tôt (entre 100 000 et 200 000 morts).

Nagasaki a été entièrement soufflée (au moins 60 000 morts).

Rappelons que cette ville était celle qui comptait le plus de catholiques japonais, et qu’elle avait été fondée pour eux. Un hasard ?

bombe atomique,états-unis,nagasaki

L’URSS en profita pour déclarer (enfin!) la guerre au Japon, et s’accaparer ainsi les îles Kouriles et Sakhaline.

 

Source : contre-info

Quelques remarques sur la peine de mort

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2018

POSTÉ LE 07 AOÛT , 2018

catéchisme,église catholique,peine de mort

Dans la torpeur estivale, nous avons appris que le Pape François avait décidé de modifier le Catéchisme de l’Église catholique, de manière à rendre « inadmissible » la peine de mort (et même « inhumaine » dans la version française).

Cette modification, rendue publique le 2 août, a été approuvée par le Pape le 11 mai.

Désormais, le paragraphe 2267 sera ainsi rédigé : « Pendant longtemps, le recours à la peine de mort de la part de l’autorité légitime, après un procès régulier, fut considéré comme une réponse adaptée a la gravité de certains délits, et un moyen acceptable, bien qu’extrême, pour la sauvegarde du bien commun. Aujourd’hui on est de plus en plus conscient que la personne ne perd pas sa dignité, même après avoir commis des crimes très graves. En outre, s’est répandue une nouvelle compréhension du sens de sanctions pénales de la part de l’État. On a également mis au point des systèmes de détention plus efficaces pour garantir la sécurité à laquelle les citoyens ont droit, et qui n’enlèvent pas définitivement au coupable la possibilité de se repentir. C’est pourquoi l’Église enseigne, à la lumière de l’Évangile, que “la peine de mort est une mesure inhumaine qui blesse la dignité personnelle” et elle s’engage de façon déterminée, en vue de son abolition partout dans le monde. »

Auparavant, il commençait ainsi : « L’enseignement traditionnel de l’Église n’exclut pas, quand l’identité et la responsabilité du coupable sont pleinement vérifiées, le recours à la peine de mort, si celle-ci est l’unique moyen praticable pour protéger efficacement, de l’injuste agresseur, la vie d’êtres humains. »

Personne, bien sûr, ne peut s’étonner que l’Église s’engage pour limiter au maximum l’utilisation de la peine capitale, en proposant notamment d’autres peines efficaces.

Mais les justifications du nouveau texte me semblent extrêmement problématiques.

D’abord, elles passent par pertes et profits des siècles d’enseignement de la Bible et des docteurs de l’Église – anéantis par une simple référence à un discours du Pape actuel.

Va-t-il falloir récrire la parole du Bon Larron qui, crucifié avec le Christ, reconnaît que la peine est, pour lui, justifiée ?

Il est, par ailleurs, d’une folle imprudence d’affirmer que, dorénavant, les systèmes de détention suffisent à garantir la sécurité des citoyens. En France, la possibilité de relâcher des terroristes ou des psychopathes, même condamnés à la prison perpétuelle, est bien réelle et prévue par le Code pénal.

D’ailleurs, est-il si évident qu’une peine de prison à perpétuité soit beaucoup plus respectueuse de la dignité humaine que la peine capitale ? Cette der­nière a, au contraire souvent, dans l’histoire, été considérée comme une occasion de rédemption pour le condamné.

Que la prudence, vertu politique par excellence, incite à limiter autant que faire se peut l’usage de la peine de mort ne me choque pas le moins du monde. Cela me semble, au contraire, le signe d’un plus grand respect de la dignité humaine.

Mais que, par principe, la peine de mort soit condamnée comme inhumaine me semble grave.

Cela ruine la continuité de l’enseignement moral de l’Église. Cela ruine sa crédibilité même. Car pourquoi faire davantage confiance à cette nouvelle version, qu’à la précédente ?

Cela me semble d’autant plus choquant que la vie humaine innocente (la seule qui soit protégée de façon intangible par le commandement « Tu ne tueras point ») est, dans nos temps soi-disant « éclairés », plus méprisée que jamais. Désormais, la peine de mort ne s’applique plus qu’aux innocents. Je ne suis pas sûr que ce soit un immense progrès de la justice !

 

Source : les4verites

mercredi, 08 août 2018

Samy Naceri tabassé

Publié par Guy Jovelin le 08 août 2018

Voilà sa gueule après être sorti de l'hôpital 

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Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien Perez (une Marche blanche est organisée aujourd’hui à 16 heures)

Publié par Guy Jovelin le 08 août 2018

Mercredi 8 août, une marche blanche pour Adrien Perez est prévue à 16 heures, organisée par ses amis place de Verdun, pour dénoncer son meurtre et l’insécurité de plus en plus présente dans l’agglomération grenobloise et en France.

Lucie Desfleurs@LDespls
 Marche Blanche pour le Mercredi 8 août à Grenoble.
Départ 16 heure place de Verdun.
Boulevard Voltaire ن@BVoltaire

Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien http://bv.ht/2FnjqJa 

Pourquoi pas, plutôt, une manifestation de colère devant la mairie ? Car Grenoble, aujourd’hui, c’est le Chicago des années 30 : dans la nuit de samedi à dimanche, un adolescent âgé de 16 ans s’est involontairement brûlé en tentant d’incendier une voiture. France Bleu ajoutait naïvement dans son article : « La faute sans doute au liquide inflammable qui s’est répandu sur lui. » Non, messieurs de la radio d’État : la faute à lui-même. Cette radio indiquait que, la même nuit, un jeune homme de 27 ans avait été retrouvé gravement blessé à l’arme blanche dans le parc Mistral. Son pronostic vital était engagé. Un suspect s’est rendu à la police, il est actuellement en garde à vue, cela, juste une semaine après la mort d’Adrien.

Disons-le, la dégradation progressive de la qualité de vie à Grenoble est patente.

Comme l’expliquaient des Grenoblois sur un site de collectif citoyen :

« La place Condorcet est devenue, depuis quelque temps déjà, le lieu de réunion favori d’un groupe de jeunes peu sympathiques qui, sous prétexte de ne rien avoir à faire et de s’ennuyer, empêchent tout le monde de dormir : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on voit où vous habitez et que vous allez le payer. Les habitants terrorisés se plaignent à la police mais rien ne change. »

« De même les façades et garages sont tagués, les vitrines des commerces ont été cassées, le quartier est jonché de détritus et, dans certains coins, les déchets et encombrants abandonnés s’entassent pendant des semaines. »

Toujours sur le même site, on peut lire :

« Place des Géants, excédé par le bruit la nuit, un habitant a répandu de l’huile partout où on pouvait s’asseoir, y compris sur les jeux d’enfants. Piscine Jean-Bron, les familles ont dû abandonner les bassins parce qu’une rixe avait éclaté entre une vingtaine de personnes. Quartier Hoche, un restaurateur a été dans l’obligation de fermer, ne pouvant plus faire face aux menaces. Rue de Strasbourg, un commerçant a donné sa caisse à un homme armé. Rue Dr-Mazet, pendant des semaines, une bande pénétrait dans les magasins pour voler de la marchandise. Grenoble bat des records de délinquance. Déjà, en 2014, le niveau était supérieur de 63 % à la moyenne nationale. »

Le père d’Adrien Perez ne disait pas autre chose :

« Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. »

Mais que fait alors la mairie ?

Elle s’oppose… à la pose de caméras de vidéoprotection et refuse d’augmenter les effectifs policiers (103 agents pour 160.000 habitants) et de les armer. Même Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République, a publiquement déclaré qu’il n’avait « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée »Par contre, « Piolle Pot », comme on appelle le maire ici, est prêt à accueillir tous les migrants et les « étrangers » du monde. Entre 2006 et 2014, il y a eu 2.243 Français de plus à Grenoble, contre 2.429 étrangers (aujourd’hui, c’est certainement plus d’étrangers).

Le plus monstrueux est que notre Khmer vert, deux mois avant l’assassinat d’Adrien (qu’il n’a à notre connaissance, d’ailleurs, officiellement pas condamné, comme le montre son compte twitter qui ne parle que de pic de pollution et d’éco-mobilité…), remettait, contre l’avis du préfet, la médaille de la ville à Cédric Herrou, jugé pour passage illégal de migrants dans la vallée de la Roya : Tout un symbole !

Bvoltaire via lesobservateurs

Images d’archives – Meeting d’Ordre Nouveau à la Mutualité (13 mai 1970)

 

Images d’archives – Vidéo consacrée au meeting du 13 mai 1970 du mouvement Ordre Nouveau au Palais de la Mutualité. Ce jour-là, près de 2.500 personnes assistaient à ce meeting nationaliste.

Ordre Nouveau a existé de 1969 à 1973, année de sa dissolution.

 

Source :  medias-presse.info