Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 11 août 2018

Les USA mènent toujours la danse

Publié par Guy Jovelin le 11 août 2018

 Le billet de Patrick Parment

trump dollar.jpg

La grande vertu de nos chers Romains est que dans le même temps qu’ils colonisaient les barbares, ils apportaient avec eux les bienfaits d’une civilisation brillante. La Gaule n’a eu qu’à y gagner, n’en déplaise aux admirateurs de Vercingétorix dont nous nous garderons bien de ternir la mémoire. Un Vercingétorix qui incarne bien les vertus des vaillants Gaulois : grande gueule et un tantinet bagarreur. Merci à Michelet d’avoir redonné ses lettres de noblesse à ce valeureux guerrier.

On ne saurait en dire autant des Etats-Unis, première puissance mondiale depuis 1945 et surtout puissance dominante. Sauf que cette Amérique n’apporte que des ennuis aux Européens que nous sommes. Et pas qu’à nous semble-t-il. Et ces ennuis ont un seul et unique nom : l’argent ou le dollar si vous préférez.

En dommage collatéral, dès les années 1950, est apparu le pire cancer social qui soit : la société de consommation. Qui va obliger les femmes à travailler, brisant du même coup la cellule familiale. Dans le même. temps, on s’est mis à produire des tas de trucs dont une société civilisée n’a nul besoin. Plus grave encore, on est passé d’une société ordonnée autour d’un destin commun à une société totalement individualisée (1).

Avec la chute du communisme en 1989, on est alors passé d’un capitalisme industriel à un capitalisme financier. Ce dernier, outre de tout réduire à des indices boursiers entend surtout nier l’existence de l’Etat-nation comme frein à son inexorable expansion économique.

L’émergence de la Russie, de l’Asie et de la Chine comme puissances économiques n’a, semble-t-il, guère écorné la domination de l’Amérique comme principal marché mondial. On vient une nouvelle fois d’en faire l’expérience avec l’embargo décidé par l’imprévisible Donald Trump sur l’Iran. Ce qui en clair signifie que tout pays ayant des avoirs aux Etats-Unis se verra soit taxé, soit interdit de commerce dans le pays.

L’Europe, qui commerce avec l’Iran, a bien tenté de négocier, rien n’y a fait. De leur côté, la Russie comme la Chine n’ont pas pris le risque de braver l’ogre américain.

Trump l’a rappelé dans l’un des tweets dont il a le secret, « quiconque fait des affaires avec l’Iran ne fera pas d’affaires avec les Etats-Unis ». Inutile de dire que les mastodontes que sont Siemens, Daimler, Airbus, Total, PSA, Renault ou Maerck ont illico fait marche arrière. Face à la brutalité américaine, l’UE n’est pas la seule à capituler : la Russie a beau inviter « la communauté internationale » à ne pas « accepter que des réussites importantes d’une diplomatie multilatérale soient sacrifiées par la volonté américaine de régler ses comptes avec l’Iran », elle plie devant Washington comme le montre le retrait d’Iran du russe Lukoil. Quant à la Chine, pas question pour elle de se voir privé de son principal marché à l’exportation. L’Amérique mène donc la danse. Comme disait Lénine : Que faire ?

 (1) En fait ce n’est pas tout à fait exact, car ce phénomène d’individualisation de la société a commencé après la guerre de 1914 et est lié aussi à l’émergence de la démocratie et du capitalisme, les deux étant intimement liés.

 

Source : synthesenationale

vendredi, 10 août 2018

Une championne israélienne (apparemment bien) gênante…

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2018

championne israélienne,lonah chemtai salpeter,non juive,noire africaine

En des temps où il suffit qu’un participant israélien passe les éliminatoires d’une épreuve quelconque pour que tous les médias de la communauté fanfaronnent et noircissent des pages entières, la victoire de Lonah Chemtai Salpeter, sacrée hier soir championne d’Europe du 10 000 m, a été saluée, dans une belle unanimité, par un silence abyssal par les médias israéliens, à part Haaretz.

« Israël Valley », l’organe de propagande de la chambre de commerce franco-israélienne, a évoqué cette victoire dans un article dont la sècheresse n’a d’égale que l’insidieuse instrumentalisation dont il use : l’article rappelle surtout l’image du drapeau israélien flottant dans le stade de Berlin, histoire de rappeler évidemment les jeux olympiques de 1936 et le couplet de circonstance de revanche sur le nazisme…

Quant à la personnalité de l’athlète, et son histoire, pas un mot ou presque!

https://www.israelvalley.com/2018/08/medaille-dor-de-lona...

Pour ceux qui s’en étonneraient, la photo ci-dessus est suffisamment parlante… et Paris Match brosse de cette athlète d’exception un tableau éloquent.

« Née au Kenya, Lonah Chemtai Salpeter est arrivée en Israël en 2008. Elle était alors la nounou d’un diplomate kenyan, ainsi que le relate le site «Times of Israel», citant un reportage télévisé de 2016. Elle a rencontré un coach d’athlétisme, Daniel Salpeter, qu’elle a épousé et avec qui elle a eu un petit garçon, Roy. Il y a deux ans, la jeune femme avait dû batailler pour obtenir la nationalité israélienne afin de participer au Jeux olympiques de Rio. Alors qu’elle remportait des courses au niveau local, l’athlète n’avait pas le droit de monter sur le podium car elle n’était pas Israélienne, soulignait alors «Haaretz» dans un article consacré à la jeune femme. »… / …

« Si la médiatisation a fini par lui permettre d’obtenir gain de cause, les proches de Lonah Chemtai Salpeter avait souligné en 2016 que la jeune sportive a été confrontée à du racisme. «Les gens disent : « Comment votre famille a-t-elle pu l’accepter? Elle est différente » Ça a pris précisément cinq secondes pour que ma famille l’accepte et l’aime. Elle est juste formidable. Il me semble qu’elle est plus israélienne que nous tous», avait déclaré dans un reportage télévisé la soeur de Daniel Salpeter. Dans ce même reportage, ce dernier s’était agacé de l’attitude de certains fonctionnaires, qui selon lui faisaient mine de ne pas comprendre l’anglais que parle Lonah Chemtain Salpeter, teinté d’un accent. «Ils avaient décidé de ne pas la comprendre», affirmait son époux. »

https://www.parismatch.com/Actu/Sport/Lonah-Chemtai-Salpe...

Soyons clairs : Lonah Chemtai Salpeter est une noire africaine et une non juive !

On connaissait déjà la discrimination dont sont (toujours) victimes les Falachas, pourtant juifs avérés.

Rappelons que les femmes furent piquées à leur arrivée en Israël pour provoquer une « contraception de longue durée », et qu’ils sont interdits comme donneurs de sang.

Le scandale éclata, avec le refus du don du sang fait par une Falacha, noire, Pnina Tamano-Shata, pourtant arrivée en Israël à l’âge de 3 ans… Et aujourd’hui députée.

 

http://www.lepoint.fr/monde/israel-le-don-du-sang-d-une-d...

Et les enfants noirs sont rejetés dans les écoles mêmes publiques !

Ainsi la colonie de l’Emmanuel, créée en Cisjordanie occupée, avait été le théâtre d’un fait divers hautement significatif quant à son caractère de solidarité: initialement le refus catégorique des membres de la colonie – malgré l’arrêt de la Cour Suprême d’Israël – de laisser scolariser les enfants sépharades dans les écoles ashkénazes internes à la colonie !

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/israel-man...

Cet arrêt – jugé alors scandaleux – avait occasionné en 2010 une manifestation monstre de réprobation à Jérusalem en soutien à la ségrégation, qualifiée de « manifestation la plus importante jamais vue depuis celle de la création d’Israël » (sic !)

Loin d’en rester là, cette même colonie allait se signaler peu de temps plus tard par une autre mesure exemplaire : le refus de voir scolarisées, dans l’école des filles, de jeunes Falachas !

A nouveau la justice israélienne était intervenue, rappelant que la ségrégation était proscrite dans les établissements publics !

Qu’à cela ne tienne ! Les parents s’étaient aussitôt cotisés pour racheter et privatiser l’école, et de ce fait… pouvoir y faire définitivement interdire d’accueil les jeunes noires !

C’est dans ce climat racialiste, illustrant le refus farouche du vivre ensemble, que Netanyahu a lancé sa loi sur l’état nation qui a scandalisé le monde entier, malgré les pâles justifications des médias israéliens aux ordres et des nervis sionistes européens…

http://www.tribunejuive.info/israel/la-loi-sur-letat-nati...

Evidemment les minorités non juives d’Israël ont aussitôt saisi la Cour Suprême, notamment les Druzes qui ayant joué à la chair à canon pour le compte d’Israël au Liban et dans le soutien anti Assad pour la déstabilisation de la Syrie, découvrent qu’ils ne sont que les idiots utiles du processus de balkanisation du Moyen Orient au seul profit d’Israël (plan Yenon) qui ne les considèrera jamais comme des citoyens à part entière…

https://fr.timesofisrael.com/pourquoi-les-druzes-se-revol...

Face à cela, la grande passionaria sioniste Ayelet Shaked, ministre de la « justice » qui ne s’encombre pas de principes et est connue pour cherche à contourner la Cour Suprême pour faire affirmer la dictature sioniste, même au mépris du droit

https://francais.rt.com/international/48069-israel-doit-g...

est montée au créneau parlant de « séisme » si la Cour Suprême osait s’opposer à la loi racialiste de l’état nation qui fera, de tous les citoyens non juifs d’Israël, des citoyens de seconde zone et imposera l’hébreu comme seule langue officielle

https://fr.timesofisrael.com/shaked-predit-un-seisme-si-l...

On comprend, dans ce contexte délétère de racialisme frénétique, que voir une goya, noire, kenyane, naturalisée par son mariage, sacrée championne israélienne, et apparaître sur les écrans des télévisions dans l’Europe entière, est particulièrement mal venu !

Claude Timmerman

 

Source : medias-presse.info

La République tchèque finance la police aux frontières de Bosnie-Herzégovine pour bloquer l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

bosnie-herzégovine,police aux frontières,république tchèque,

N1 HINA / Ambassade tchèque en Bosnie-Herzégovine. Les autorités de Bosnie-Herzégovine feront tout pour protéger leurs frontières de l’immigration illégale, a déclaré mardi à Sarajevo le Ministre de la Sécurité, en recevant une donation tchèque d’un million d’euros, destinée à renforcer la police aux frontières, avant d’ajouter que Sarajevo comptait sur l’aide des pays voisins et sur une participation plus décisive de l’Union Européenne.

Le Ministre Dragan Mektic a fait cette déclaration suite à la signature d’un accord avec l’ambassadeur tchèque en Bosnie-Herzégovine, Jakub Skalnik. Ce don de la République Tchèque doit aider à l’acquisition d’équipements destinés à la Police des frontières de Bosnie-Herzégovine, qui fait face à une lourde tâche dans la surveillance de ses frontières avec la Serbie et le Monténégro, à travers lesquelles arrivent quotidiennement, depuis le début de l’année, des dizaines d’immigrés illégaux.

Ce financement permettra l’achat d’équipement technique des policiers aux frontières, caméras thermiques sophistiquées, drones équipés de caméras et appareils de détection de présence à bord des véhicules, a précisé Mektic.

10.000 immigrés illégaux ont franchi la frontière bosniaque depuis le début de l’année. Généralement, ils tentent de poursuivre leur route vers la Croatie et ensuite vers l’Europe de l’ouest.

Aucun des immigrés illégaux n’a obtenu l’asile en Bosnie-Herzégovine, ni ne devrait l’obtenir, car il s’agit de personnes qui ont quitté leur pays pour des motifs exclusivement économiques, a affirmé le ministre.

« Ceci est un problème européen qui nécessite une solution européenne. La Bosnie-Herzégovine ne peut pas la trouver seule, mais elle participera à une solution commune« , a déclaré Mektic en soulignant que 80% des migrations illégales sur la route depuis la Turquie étaient dans les mains du crime organisé.

 

Source : medias-presse.info

10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2018

Auteur : admin4
contre-info

louis XVI,massacre,naissance de la république

Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.

La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.

Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté :

« Vive la Nation ! ».

Situation confuse. Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !». Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.

Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel. Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle. Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.

Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.

Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.

Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.

La période appelée « la Terreur » allait commencer.

Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.

Naissance de la République.

Source : thibautdechassey

jeudi, 09 août 2018

« Pardon, vous avez dit “Progrès” ? »

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2018

 

Par Gábor Tóth.

Ces dernières décennies, le sens du mot « Progrès » a changé si drastiquement qu’il est parfois difficile d’en maîtriser l’usage. Dans certains pays de l’Ouest anciennement glorieux, dire le mot « progressiste » équivaut aujourd’hui à parler de tolérance, acceptation et égalité avec certains comportements et pensées qui, il y a peu, étaient encore considérés comme totalement inacceptables et moralement rejetés, voire même vu comme des péchés. D’une certaine manière, les « progressistes » ont oublié d’où venaient l’incroyable succès et la gloire sans pareil de leurs contrées ; ils ont oublié ce qui a fait des nations occidentales de grandes nations.

Les valeurs conservatrices sont nommées ainsi pour une bonne raison. Conserver quelque chose signifie que cette chose est bonne, mais ne pas la couvrir d’un voile protecteur, et c’est l’assurance qu’elle se gâtera. On peut faire l’analogie avec une boîte de thon ou une bouteille de votre spiritueux favori. Une fois ouverte, ce n’est plus qu’une question de temps. Pour les sociétés de l’Ouest chrétien, cela n’a pas mis longtemps pour passer des heureuses familles nombreuses traditionnelles comme socle de la Nation à l’invitation par des libéraux de dénommés « drag-queens » dans des écoles pour enseigner aux enfants l’ouverture d’esprit à toutes formes de démonstrations excentriques de n’importe quel individu, aussi étrange, déplorable et pervers que cela soit.

Considérer qu’un homosexuel dérangé enseigne à de jeunes enfants comment ils peuvent devenir des « superhéros drag-queen progressistes » est absolument scandaleux.

Scandaleux tout d’abord parce que c’est contre tout ce qui est décent, sage et naturel.

Mais également car ce n’est pas ce que le mot « progrès » signifie !

À l’échelle individuelle, vous avez progressé lorsque vous avez appris une nouvelle langue, ou étudié la nature d’un animal.

À une plus vaste échelle, les sociétés et les nations font également des progrès lorsqu’elles trouvent de meilleures manières de vivre, organisent leur environnement d’une meilleure façon, créent des infrastructures plus efficaces, plus sûres et plus durables, ou quand elles construisent des bâtiments plus modernes, plus grands, etc.

Le progrès n’a pas à avoir lieu dans un domaine où il n’y en a pas besoin, comme dans l’idéologie chrétienne et la définition de la famille et d’autres valeurs morales, car ce système de croyances est déjà parfait. Personne ne peut « améliorer » ou « faire progresser » le concept merveilleux d’un homme et d’une femme s’unissant dans le mariage pour créer ensemble la vie.

L’Ouest s’est égaré. Ils essayent de dépasser la nature, et l’on sait comment cela fini.

Et pendant ce temps, ils mettent bien moins d’efforts à faire de vrais progrès pour leurs pays, en développant des nouvelles routes commerciales, des infrastructures importantes et autres solutions pour le long terme. Que le lecteur ne me comprenne pas de travers, l’Occident est toujours très développé, et le reste du monde est à la traîne derrière.

Mais pour combien de temps encore ? Jetons un œil à l’incroyable développement et véritable progrès entrepris par la Chine.

Elle n’est pas affairée à faire des efforts considérables pour amener des changements de législations afin que les LGBT puissent adopter des bébés et leur inculquer l’acceptation de toute valeur, quand bien même celle-ci défierait les règles élémentaires de la nature, de la logique et de la décence élémentaire.

Les Chinois sont affairés, frénétiques, ils travaillent dur à la tâche, sont malins et sages.

Ils bâtissent des ponts, des autoroutes, des aéroports, des ports, des routes et tant d’autres choses…

Les méga-machines de la Chine travaillent vite, et ce travail ne porte pas ses fruits que sur le plan physique : il rapproche également la Chine du niveau de développement occidental. Ce scénario était impensable dans mon enfance !

Mais à peine deux décennies plus tard, je me rends en Chine, et je ne crois plus que cela soit impossible.

Avec l’impressionnant plan pour mettre en place la Nouvelle Route de la Soie, la balle est dans le camp des Occidentaux. Ayant grandi dans un Occident formidable, mais plus tard, ayant vu les extraordinaires progrès de l’Orient, en parallèle d’un effondrement et d’une régression à l’Ouest, je m’interroge.

Pourquoi l’Occident ne peut-il se concentrer sur ce qu’il devrait : continuer à bâtir, développer et améliorer tout comme l’Orient, voire mieux ?

Et bien, peut-être parce que les Occidentaux sont trop concentrés sur leurs droits, plutôt que sur ce qu’ils sont sensés faire, plutôt que sur ce dont ils ont la responsabilité de faire.

Comme toujours, l’Histoire sera juge et expliquera au monde ce que le mot « progrès » signifie vraiment.

 Gábor Tóth est hongrois, et il préside l’association Gateway to Europe V4-China Association.

 

Source : visegradpost