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jeudi, 11 octobre 2018

La Chine part en guerre contre le halal

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

Par  le 11/10/2018

 

La lutte des autorités chinoises contre tout ce qui ressemble de près ou de loin à un musulman continue dans la région Xinjiang. Après l’interdiction du port du voile et les barbes « longues », les autorités locales veulent maintenant mettre au fin au Halal.

Ainsi, une bataille décisive vient d’être annoncée par le Parti communiste chinois d’Urumqi, capitale du Xinjiang, dont les conseillers viennent de prêter serment pour mener une lutte sans merci contre le Halal et sa propagation, rapporte le site Saphirnews.

« Je crois au marxisme-léninisme. Je lève l’étendard et combats jusqu’au bout la mode du halal, ferme dans ma croyance, et même jusqu’à la mort », est-il écrit dans cette note dont le contenu a été relayé par le réseau WeChat.

Les autorités chinoises semblent vouloir tout faire pour mettre fin à l’Islam dans cette région et ont même lancé des « centres de rééducation » pour « éduquer et transformer les personnes qui ont été influencées par l’extrémisme » et « les aider à transformer leurs pensées et à revenir dans la société ou leurs familles », indique la même source.

Roland Hélie ce mercredi soir sur TV Libertés

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

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Vidéo

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Intrusion supranationale : l’ONU veut légitimer la Burqa en France

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw


Dans le cadre du processus menant à la réalisation d’un plan messianique, mondialisme, immigration et islamisation de l’Europe vont parfaitement ensemble, comme l’expliquent volontiers publiquement certains rabbins.

Ceux-ci se réjouiront donc de savoir que le Comité des droits de l’homme de l’ONU, organe de surveillance du Haut-commissariat aux droits de l’Homme (HCR), s’apprête à remettre en cause la loi française du 11 octobre 2010 sur la dissimulation du visage dans l’espace public. Les dix-huit juristes internationaux qui composent cette instance devraient publier avant la fin du mois d’octobre leurs «constatations» à propos de deux requêtes de femmes musulmanes verbalisées pour avoir violé cette loi.

Et ce Comité des droits de l’homme de l’ONU, organe supranational, s’apprête à annoncer que la législation française sur le voile intégral «porte atteinte à la liberté religieuse» et crée une «discrimination» à l’encontre de ces femmes.

Précisons cependant ce Comité des droits de l’homme de l’ONU n’a aucun pouvoir de contrainte. Son avis sur la burqa ne devrait donc pas être suivi d’une modification de la loi française sur la burqa. D’autant qu’en 2014, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) avait validé la législation, mise en œuvre sous François Fillon. «Consciente que l’interdiction contestée pèse essentiellement sur une partie des femmes musulmanes», bien que des femmes juives porteuses de la frumka devraient également être concernées, la CEDH avait relevé que la loi «n’affectait pas la liberté de porter dans l’espace public des éléments vestimentaires qui n’ont pas pour effet de dissimuler le visage et qu’elle n’est pas explicitement fondée sur la connotation religieuse des vêtements, mais sur le seul fait qu’ils dissimulent le visage».

 

ource : medias-presse.info

VGE – Chirac : Ni oubli, ni pardon possibles

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

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 Bernard Plouvier

Alors que l’un de ses enfants s’est fait agresser à Paris par deux Romanichels, ce qui a coûté quelques centaines d’euros à ce monsieur qui n’est guère dans le besoin, il semble que l’ex-Président Giscard estime que, tel qu’il fut appliqué, le décret de regroupement familial fut une erreur.

D’abord, il serait temps que ce funeste politicien comprenne que cela ne fut pas une « erreur », mais un crime et une forfaiture. Un crime contre la Nation française et une forfaiture car, lorsqu’on hypothèque l’avenir du peuple souverain, l’on prend au moins son avis. Quand y-a-t-il eu un referendum sur l’immigration de masse d’origine extra-européenne dans la VRépublique Française ?

Contrairement à ce que plaide le vieillard au bord de la tombe, ce ne fut pas « une mesure juste et généreuse ». Ce fut un décret publié le 29 avril 1976, sans débat parlementaire, donc à la sauvette, et non par « générosité », mais parce que la consommation intérieure française baissait en raison de l’inflation et du chômage et que grognaient les pontes de la distribution, aux bénéfices amoindris.

Ce décret 76-383, qui marqua le début du désastre pour la Nation, n’exigeait du migrant qu’une durée de séjour d’une année et rien ne l’empêchait d’amener toute sa smala au titre du « regroupement », les vieux parents et les femmes justifiaient l’implantation d’une multitude d’enfants, mais aussi de jeunes frères et de jeunes sœurs. Ce ne fut pas un regroupement familial, mais une entrée massive de clans, de familles élargies.

En 2003, devant la prolifération des émeutes raciales et des zones de non-droit dans notre pays envahi, et au lieu de prendre l’avis du seul souverain légitime de l’État : le corps électoral, on allongea simplement à deux années la durée de séjour du migrant avant qu’il puisse exiger son « regroupement familial ». Tout au plus, les hypocrites rédigeant le nouveau décret spécifièrent-ils que le migrant devait faire preuve « d’une bonne intégration dans la société française » !

Le trafic de haschich, les vols, les viols en tournantes et les émeutes raciales étaient monnaie courante en 2003. Depuis, nous avons connu pire : le terrorisme aveugle et lâche des mahométans djihadistes. Et personne, chez les titulaires des apparences du pouvoir n’envisage de referendum sur l’immigration-invasion.

De 1976 à 2018, rien n’a changé dans la forfaiture permanente. Les droits fondamentaux du peuple souverain : Sécurité, Préférence nationale en matière d’emploi public (c’était un dogme au temps du Front populaire, même au PCF !), protection des générations à venir, sont toujours bafoués.

Giscard et Chirac sont coupables d’avoir fait entrer la Nation dans cette spirale infernale. Et il ne faut pas oublier la Loi Veil sur l’avortement de complaisance du 17 janvier 1975, également publiée lors de la présidence funeste de VGE, Chirac piaffant d’impatience à Matignon, entre deux saillies et deux repas pantagruéliques.

En conclusion, il ne peut et ne doit y avoir ni pardon, ni oubli pour Giscard et Chirac.

 

Source : synthesenationale

Pakistan : condamnée à mort pour «blasphème» et emprisonnée depuis 10 ans, une chrétienne bientôt fixée sur son sort

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

Par  le 10/10/2018
 

En prison depuis près de dix ans, Asia Bibi, cette chrétienne accusée de blasphème, est devenue le symbole d’une minorité opprimée dans ce pays, l’un des pires au monde en matière de tolérance religieuse. Les juges de la Cour suprême pourraient décider de son sort cette semaine. Mais cette instance est elle-même confrontée à la pression directe des fondamentalistes islamistes.

Le verdict devait être rendu par la Cour suprême pakistanaise ce lundi 8 octobre. Mais après trois heures de débat, trois juges sur les dix-sept ont demandé à ce qu’il soit différé. Dans la balance : l’acquittement ou la potence, la peine réservée aux blasphémateurs dans ce pays où l’islam est religion d’Etat et où la pression des fondamentalistes s’exerce jusqu’au sommet des institutions, en particulier judiciaires. Le juge en chef de cette cour, Saqib Nisar, a demandé aux médias de ne pas commenter cette décision. «Il n’y a plus de raisons que le jugement s’éternise désormais, il devrait être donné sous quelques jours», estime la journaliste Anne-Isabelle Tollet, qui a consacré deux livres à Asia Bibi. […]

«Un verdict favorable prouverait que le Pakistan n’est pas soumis à la pression des fondamentalistes et enverrait ainsi un message d’ouverture au monde entier. »[…] Si les hauts magistrats décident de maintenir la peine, son ultime recours sera d’implorer la grâce d’Arif Alvi, élu début septembre à la tête de l’Etat. Mais le chef de l’Etat est un proche d’Imran Khan, Premier ministre depuis août. Après une première vie de star et de succès dans le sport, cette figure adulée s’est convertie à la politique et a fait amende honorable auprès des religieux. Il est partisan de la loi anti-blasphème.

 

rfi via fdesouche