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mardi, 16 octobre 2018

«Le jour où un réfugié soudanais a commencé à enseigner à l’université d’Auvergne»

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2018

Par  le 15/10/2018 

Pour sa dernière chronique, Pablo Aiquel, journaliste indépendant, raconte l’entrée dans le monde du travail de Hassan le menuisier et d’Ali le sociologue.

[…] Pour les réfugiés qui souhaitent persévérer dans leur vocation ou faire valoir leurs compétences, il ne suffit pas toujours de traverser la rue. […]

Ali (son prénom a été modifié à sa demande), lui, a été repéré par une responsable de l’université Clermont-Auvergne, qui participe au projet européen Collab visant à intégrer des réfugiés dans le corps enseignant. Quatre Syriens (deux femmes et deux hommes), deux Syriens, un Guinéen et un Soudanais vont ainsi donner des cours de gestion, de communication interculturelle ou de marketing.

Accompagné d’un professeur titulaire, Ali, qui est titulaire d’un master de sociologie et qui exerçait comme professeur assistant à l’université de Khartoum, doit commencer, mardi, une série de cours sur la civilisation arabe contemporaine en licence 3 d’arabe. «Je vais leur parler du Soudan, bien sûr, mais aussi de l’Arabie saoudite et de l’Egypte», explique-t-il, enthousiaste.

«Nous avons cherché à ce que le profil et l’expérience des réfugiés servent aux étudiants, l’idée étant de montrer qu’ils peuvent assurer des cours qui sont dans les maquettes des formations», explique la responsable du projet, Cécilia Brassier-Rodrigues.

Le Monde via fdesouche

Est-ce que la Chine considère l’islam comme une maladie mentale ?

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2018

Par  le 15/10/2018 

Sous couvert de lutte contre l’extrémisme, les camps de rééducation de la province du Xinjiang sont destinés aux Ouïghours, une minorité musulmane présentée comme «malade».

Question posée par Clyde le 10/09/2018

Bonjour,

Un million d’Ouïghours seraient actuellement détenus dans la région du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine. Les membres de cette minorité musulmane sont internés dans des camps, auxquels Pékin essaye de donner une base légale après avoir longtemps nié leur existence.

Voilà plusieurs mois que les autorités chinoises traquent les «signes extrémistes» des ouïghours à grand renfort de lois iniques et de surveillance généralisée. «L’Etat alimente l’islamophobie en appelant les traditions musulmanes ordinaires comme des manifestations d’un « extrémisme » religieux», constate le chercheur américain Ryan Thum en mai 2018 dans le New York Times. Cette politique qui se présente comme une lutte contre le séparatisme et le terrorisme a pour principal artisan Chen Quanguo, secrétaire régional du parti communiste dans le Xinjiang depuis octobre 2016 (il exerçait auparavant les mêmes fonctions au Tibet).

«Maladie physique»

Pour répondre à votre question : cette stigmatisation des musulmans ouïghours repose en partie sur le parallèle entre islam et maladie. En avril 2018, l’AFP fait état d’«équipes de travail» envoyées par le parti communiste dans le Xinjiang et composées de civils censés «s’intéresser à l’état des gens [research the people’s conditions], améliorer leur vie, et gagner leurs cœurs». Ces groupes de promotion de l’«harmonie ethnique» le reconnaissent : il s’agit aussi d’«éradiquer les tumeurs».

Les autorités chinoises ont également déclaré que les ouïghours internés dans ces «centres de rééducation» sont «infectés par une maladie idéologique», qu’il faut traiter «comme une maladie physique». Des termes récurrents dans un enregistrement attribué au Parti communiste chinois par Radio Free Asia (un média financé par le Congrès américain) pendant l’été. […]

Libération (Checknews) via fdesouche

A Perpignan, une cité entière encerclée par les forces de l’ordre

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2018

Par  le 15/10/2018

 

Spectaculaire opération de police ce vendredi soir à la Résidence les Oiseaux dans le quartier du Moyen Vernet à Perpignan. Plus d’une centaine de policiers et gendarmes, appuyés par un hélicoptère, ont entièrement bouclé le quartier, multipliant les interpellations et les perquisitions. Objectif : rétablir l’ordre et mettre un terme au trafic et à l’insécurité générée par les dealers depuis des mois.

Plusieurs dealers présumés ont tenté de prendre la fuite, mais le dispositif ne leur a laissé aucune chance : ils ont été interpellés et placés en garde à vue.

Les différentes routes entourant la cité ont été quadrillées, et tous les véhicules contrôlés. La police a également procédé à des perquisitions et des fouilles dans de nombreuses caves de la cité.

Le procureur de la République Jean-Jacques Fagni s’est rendu sur place ainsi que l’adjointe en charge de la sécurité à la mairie de Perpignan Chantal Bruzy, qui a confirmé que cette vaste intervention policière était préparée de longue date: « C’est une opération faite pour marquer les esprits et bien faire comprendre qu’il n’y aura pas de zone de non-droit à Perpignan« .

francebleu via fdesouche

Discours de Carl Lang lors de la XIIème journée de Synthèse Nationale

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2018

 
 
 
Voir la vidéo ici

Le PdF Midi-Pyrénées bien présent sur le stand du Parti de la France lors de la XIIème journée de Synthèse Nationale

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2018

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pdf midi-pyrénées,synthèse nationale