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mercredi, 22 octobre 2014

Le Parti de la France

Vidéo de présentation

« La gangrène droit de l’hommisme, une évidence. L’inversion des valeurs domine ! »

Franck.jpegEn l’espace de deux mois, l’insécurité galopante trouve son entière expression dans la ville de Toulouse.

Au rythme où vont les choses, celle-ci va être assimilée à la cité phocéenne de Marseille.

Triste constat, évolution inéluctable d’une société française qui part à la dérive.

Nous savons que les communes sont impuissantes, manquent de moyens et que le problème en incombe à la politique nationale.

Or nous avons un gouvernement dépassé, avec des directives financières liées aux exigences bruxelloises.

Le pouvoir français « aux aguets », soumis à un budget restreint est dans l’impossibilité de renforcer les forces de l’ordre.

Le constat est terrible mais bien réel, l’impuissance est totale !

Dans la capitale haut-garonnaise, le bilan est lourd, en deux mois cinq morts et nous ne divulguons pas les agressions et les voies de fait qui se multiplient tous les jours.

A la rubrique des chiens crevés se substituent les actes de délinquance de plus en plus violents.

Le crime s’installe dans la cité des violettes, les pouvoirs publics locaux restent dans un état léthargique, soumis au pouvoir socialiste qui montre son inefficacité et son laxisme en prenant fait et cause de facto pour le délinquant !

Idée surprenante que cette attitude, qui légitime la crapule par rapport à la victime.

Mais où va-t-on ? L’inversion des valeurs domine amplement.

Madame Taubira, garde des sceaux, a-t-elle conscience de la gravité  de l’insécurité qui sévit dans notre pays ?

Notre réponse est sans appel et se résume par la négative.

Notre ministre est engluée, gangrenée par les valeurs droits de l’hommisme, qui s’appliquent à la racaille, la pègre mais qui demeurent lettre morte pour les honnêtes gens.

La société française est-elle lobotomisée ?

Car il existe encore et toujours des associations pour défendre « le pauvre délinquant », montré comme une victime.

Il est temps de mettre à l’ordre du jour le principe de la légitime défense  et d’assurer le plus total soutient aux forces de l’ordre.

L’utilisation de leurs armes de service ne doit pas être soumise à caution en permanence.

Dès lors qu’un délinquant menace la vie d’autrui, il s’expose à un risque, celui d’être tué.

La vie étant loin d’être un jeu, celui qui risque joue et perd.

L’honnête citoyen doit être reconnu dans son bon droit, le voyou châtié !

L’inversion des valeurs à vécu, rééduquons le peuple français, c’est un devoir et une nécessité !

Franck Pech Responsable de la communication Pdf 31

L’énergie dissipée, plaidoyer contre un homme dispersé

Publié par Guy Jovelin

  Ce n’est plus un secret, la société française comme la civilisation à laquelle elle appartient s’amollit. A mesure que nous avançons sur le chemin du progrès le corps social disperse ses forces. Sur cette course de longue haleine il faut en plus porter le poids des erreurs passées.

   La première des causes de dissipation de l’énergie est étatique. La structure touche à tout construite patiemment depuis l’après-guerre (héritière de l’invasion étatiste révolutionnaire pour en finir avec l’Ordre ancien) sclérose toutes velléités d’innovation. La fonction publique est le mouroir de l’action individuelle.

   La deuxième cause est la société de loisirs. Le français moyen est plus préoccupé par ses vacances que par l’héritage qu’il laissera à ses successeurs. Finit l’épargne laborieuse pour laisser aux enfants une maison. Finit la vie en famille. Place désormais aux voyages lointains pour « dépayser », « vider la tête », autres mots pour dire rompre avec le quotidien mais pour se retrouver de facto à nouveau confronté aux maux du jour sitôt les bagages rangés. Autrefois partir ne signifiait pas revenir le teint halé par des heures fainéantes sur la plage, l’animal touriste va voir des lieux prestigieux de l’Histoire du monde fait trois photos puis retourne au point de départ de l’amnésique. Curieux que les réalisations des grandes civilisations n’induisent pas chez ce vagabond la tentation de revenir au statut de bâtisseur, de quitter l’odieux consommateur qu’il est devenu. Autrefois, partir était un voyage parfois sans retour, d’ouverture à un monde inconnu. L’expatrié se faisait à la nouvelle vie qu’il trouvait, y construisait un nouvel avenir pour lui et les siens.

  Les sources de distractions sont de plus en plus nombreuses et à portée de main. La circulation de ces biens est tellement facile. Leur consommation devenue un nouveau standard. La morale publique ne les réprouve pas. Même leur jouissance en public n’est pas condamnée. La sexualité débridée, l’intoxication volontaire en sont des expressions parmi d’autres.

  Le déluge d’informations sur des médias omniprésents et la pléthore d’invitation à participer toujours à plus événements anesthésient un peu plus la capacité de réflexion. Comment prendre du recul lorsqu’on est toujours sollicité. Accaparé par des occupations diverses l’Homme perd le recul nécessaire sur sa vie. C’est le règne du lavage de cerveau perpétuel. J’y voit l’une des causes les plus directes aux maux modernes que sont l’absence d’initiative (diminution de la création d’entreprise par exemple), la dissolution de la famille (comment s’arrêter pour fournir à des enfants ce qui leur est nécessaire), la labilité des couples (la sexualité-plaisir n’engage pas l’humain au-delà de la satisfaction de son besoin), l’atrophie des relations interindividuelles (par la jalousie du chacun pour soi, la primauté constante du « moi, je … »).

  Le retour aux fondements de la civilisation est la solution. Le triptyque : « Travail, Famille, Patrie » est plus que jamais l’Espoir de Salut. En dehors d’une réhumanisation de la société occidentale, nous courrons sur le chemin de la robotisation vers « Le meilleur des mondes » décrit par HUXLEY. Consommation, plaisir, loisir, sont des privilèges à exercer en récompense après un dur labeur. Ils ne peuvent être le seul objectif d’une vie. La vie ne saurait être qu’une ascèse permanente, mais elle ne peut être non plus une jouissance de tous les instants. 

 

Marc-Antoine Hennet

lundi, 20 octobre 2014

France, ta politique migratoire produit l’avilissement de tes hôtes

Qui n’a pas un tout petit peu le coeur serré de voir les « boats people » sombrer en pleine méditerranée ? L’Italie fait ce qu’elle peut pour les sauver par le truchement de l’opération mare nostrum, nom latin de la mer précitée. Elle fait cela en plus dans l’indifférence de la communauté internationale. La France quant à elle récupère une fraction importante de cette marée humaine. 

Effectivement l’élan spontanément humaniste en tout un chacun invite à ne pas abandonner un être humain, de porter assistance à personne en danger. Cependant il est permis de constater que le migrant s’est mis en danger tout seul, et que la responsabilité de son déracinement revient à ces états riches européens qui font tout ce qu’ils peuvent pour maintenir le mythe d’un eldorado. Autrefois, l’européen imaginait sous les tropiques une vie paisible, des cités prospères où l’or était pavement, des peuples ancestraux aux modes de vie sains. Relire pour s’en convaincre les écrits des humanistes du XVIIIème siècle sur le « bon sauvage ».

Désormais la réalité pousse à voir sous les tropiques une situation bien moins bucolique. Une surpopulation insoutenable, l’extrême misère pour presque tous, l’extrême richesse pour quelques uns. Alors bien sûr certains font leurs valises et viennent dans le pays de l’ancien maître honni pendant la décolonisation. Maintenant les cartes sont rebattues, l’occidental n’est plus l’exploiteur d’autrefois. Les nouveaux maîtres ont montrés qu’ils étaient pires. 

Ils s’entassent sur des bateaux. Les passeurs sont des importateurs de viande humaine. Ils exigent un prix exorbitant en échange d’une promesse insatisfaisante. Soit les migrants vivent l’enfer du naufrage en mer, soit ils vivent l’enfer du naufrage à terre. La course pour régulariser sa situation, la vie de dépendance totale à l’état d’adoption. Certes nombre d’entre eux, plus débrouillards, vivoteront correctement ; tandis que quelques élus réussiront et feront honneur à leur nouvelle patrie. La plupart sont condamnés à porter la croix de la misère dans un pays qui n’est pas le leur. Ils se regroupent en communautés pour conserver le souvenir d’un temps maintenant perdu.

Je dis que les plus coupables dans cette malheureuse histoire ne sont pas les migrants. Les coupables sont les gouvernements qui par leur lâcheté déracinent des hommes. Par ce biais, ils les condamnent à accepter le premier boulot, pour le plus grand bonheur de patrons sans scrupules (proxénètes, ateliers clandestins, distributeurs de drogue et autres nouveaux esclavagistes) ou à vivre de mendicité (et de sa nouvelle forme plus discrète : l’assistanat). Je dis que les passeurs sont des bouchers pour lesquels aucune sanction pénale n’est aujourd’hui assez forte pour leur faire rendre les trente deniers perçus. L’immigration zéro n’est pas une sentence antihumaniste. Elle est l’expression du simple respect de ces hommes et femmes qui quittent le monde connu d’eux pour un bond dans l’univers occidental. Elle est aussi le respect des pays de départ, confrontés à une hémorragie de forces vives. Le perdant-perdant en somme. Ces forces ne seront pas employées dans le pays d’origine et ne trouveront pas leur place dans la terre promise.

L’immigration zéro n’est pas la fin de l’immigration. Les hommes ont toujours voyagé, exploré, déménagé. Mais le flux à sens unique que l’on constate bouleverse gravement un équilibre précaire. Il détruit toute action et engendre le ressentiment, à juste titre des immigrants trompés comme des autochtones envahis. Alors pour plus d’humanité dans un monde à la dérive, disons non aux frontières passoires, aux politiques d’assistanat, à la pompe aspirante immigrationniste. Et merde aux exploiteurs-importateurs, aux biens pensants (sans pensée), aux allophiles convaincus (en grec : qui aime l’autre).

 

Marc-Antoine HENNET

REINFO : LE JOURNAL HEBDOMADAIRE

Publié par Guy Jovelin

RÉINFO DU 20 OCTOBRE 2014

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