Publié par Guy Jovelin
En nous penchant sur la triste période de la seconde guerre mondiale, nous devons avoir une vision critique et objective.
Certes nous avons subi le joug allemand et le Maréchal Pétain, bouc émissaire a su faire à 84 ans le don de sa personne à la France.
A cette époque nombreux sont ceux qui ont fui leurs responsabilités, et qui par lâcheté, facilité ou opportunisme peut-être ont dicté des ordres depuis l’étranger, à savoir l’Angleterre, « la perfide Albion », qui n’a pas hésité à massacrer la flotte française à Mers-el-Kébir !
Odieux Churchill, ce crime restera à jamais impuni malheureusement
Prions pour tous nos marins français tombés ce jour là !
La guerre engendre conflit, tourment et désolation.
Deux camps se sont retrouvés face à face, les résistants et les collaborateurs.
Encore faut-il se pencher sur ce qui dictait l’engagement des uns et des autres.
Le camp des résistants, des patriotes convaincus et celui des collaborateurs et des traîtres…
Ce constat est simpliste, les salauds se répartissent dans les deux camps.
Les hommes de la résistance ont fait autant d’exactions que ceux de la collaboration.
Mais là n’est pas le but de notre propos car avec le recul nous avons été libérés de quoi ?
La France ne ressemble plus à la France, notre drapeau est brûlé, humilié, les français sont rejetés, suspectés de racisme, à chaque fois qu’ils revendiquent leur identité française et gauloise.
Alors oui, il y a de quoi se poser des questions sur cette fameuse libération !!
Les résistants, pensaient-ils que nous en serions arrivés à un tel état de décrépitude, d’incivilité, de non-patriotisme exacerbé ?
Ils doivent se retourner dans leurs tombes, tant l’idée de Patrie est assimilée à un pseudo fascisme ou nazisme !
Le Maréchal Pétain avait raison car il conseillait non pas une reddition de la France absolue, mais un réveil ultérieur du peuple français.
Les détracteurs de la révolution nationale devraient méditer ceci :
« Subir pour mieux contre-attaquer, avec des Français et des méthodes françaises.
Voilà le but du Maréchal Pétain.
A aucun moment, nous devons le considérer comme un traître, car à l’époque, rare sont ceux qui prenaient leurs responsabilités.
Le vainqueur de Verdun mérite toute notre considération, il n’en est pas de même d’un certain Général ; qui a par la suite abandonné nos compatriotes PIEDS-NOIRS et HARKIS, en trahissant la parole donnée !
Alors libérés, oui, mais de quoi ! L’histoire jugera entre un homme qui a fait le don de sa personne à la France et celui qui n’a servi non pas pour la France, mais pour sa seule ambition envers et contre tous !
Franck Pech
Responsable communication Pdf 31