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vendredi, 06 février 2015

UNE FRANCO-ALGÉRIENNE ÉLUE VICE-PRÉSIDENTE DU SÉNAT FRANÇAIS !

 Publié par Guy Jovelin

Une franco-Algérienne élue vice-présidente du Sénat français !

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jeudi, 05 février 2015

Votre enfant est harcelé ? Surtout ne faites rien ! (par Caroline Artus)

 

 Publié par Guy Jovelin

Parents, votre enfant est harcelé à l’école, il est malheureux, il quitte la maison la boule au ventre, il est terrifié ? Surtout, n’intervenez pas ! C’est le conseil de madame Piquet, auteur de Te laisse pas faire !, aux Éditions Payot.

Le bien vivre ensemble, c’est pas gagné : un enfant sur dix serait victime de harcèlement à l’école. Cela commence à la maternelle, se poursuit au primaire et devient fréquent au collège. Les motifs ? Il n’y en a pas. Petit, maigre, gros, roux, bien ou mal habillé, beau pas beau… Nan, aucun profil n’est plus à risque que d’autres, selon madame Piquet. « C’est juste une question de vulnérabilité repérée par les harceleurs à un instant t », paraît-il. Un malheureux concours de circonstances, en somme. Comme un chagrin ponctuel qui, au lieu de générer des sentiments d’empathie, provoque des réactions agressives… Est-ce bien normal ?

Pas de motifs, donc, mais en cause, l’inquiétude des parents quant à la bonne intégration de leur enfant dans le groupe. La preuve, ils scrutent leurs amitiés, leurs disputes et leurs réconciliations, et puis ils organisent des goûters d’anniversaire. Les goûters d’anniversaire, pour les enfants, quel stress ! Tout ceci finit par leur coller un « mal-être relationnel », a remarqué la bonne madame Piquet.

Les parents ne doivent pas intervenir, donc. Et l’équipe pédagogique ? Non plus, dit l’auteur de Te laisse pas faire !. Comprenez : l’agressé va se sentir « humilié » et le harceleur se sentira au contraire « conforté et valorisé ». Car, à une époque où la méchanceté et la bêtise, pense l’agresseur au sujet de l’agressé, sont très populaires dans le code des ados, les conséquences de l’intervention des adultes ne font qu’aggraver le cas du malheureux.

Que faire, alors, pour que cesse son calvaire ? Il faut que l’enfant réfléchisse, il doit « comprendre ce qui se passe ». Ses parents peuvent l’y aider. Comment ?

Ils peuvent, conseille mâme Piquet, proposer à leur enfant d’utiliser pour se fortifier « leurs propres armes » — celles qui leur font précisément défaut ? — et d’utiliser « la force du harceleur dans un effet boomerang ». Sûr que 30 kg contre 60 kg ou caractère timoré contre caractère belliqueux, l’effet boomerang sera assuré…

Le mieux, à écouter madame Piquet, c’est d’utiliser le talon d’Achille du harceleur. En fait, le harceleur est harceleur parce qu’il a… peur !

Une inversion des rôles proprement folle qui aboutit à des suicides – comme celui de Marion, 13 ans –, conséquence de consignes données aux enseignants par certains chefs d’établissement de ne pas intervenir, effectivement.

Nous vivons donc dans un pays où des actes parfois d’une cruauté inouïe trouvent une justification dans la peur que ressentirait l’agresseur ; nous vivons dans un pays où se conçoit que la méchanceté et la bêtise puissent – dans la tête de celui-ci – être l’apanage de l’agressé.

Madame Piquet, psychopraticienne spécialiste de la souffrance scolaire ? Vraiment ?

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À la demande d'Esther Benbassa, le Sénat étudie la légalisation de la vente de drogues

 

 Publié par Guy Jovelin

Après le combat pour l’avortement porté par Simone Veil, le combat contre la peine de mort porté par Robert Badinter, le combat pour la légalisation des drogues est désormais porté par Esther Benbassa.

Ce mercredi, à son initiative, le Sénat examine une proposition de loi réclamant l’instauration d’un usage« contrôlé » (sic) du cannabis. Dans les faits, il s’agit de permettre la vente au détail de cette drogue, c’est-à-dire non seulement en légalisant un produit connu pour ses effets extrêmement nocifs, tout particulièrement chez les jeunes, mais encore en apportant la caution de l’État à la diffusion du poison. À l’image de la vente de cigarette, ce sont en effet des revendeurs agréés par le gouvernement qui seraient chargés de distribuer la drogue à la population.

Esther Benbassa sait que le vote sera probablement négatif, mais l’essentiel n’est pas là. Il ne s’agit pour elle que d’une « étape » dans la destruction de la société française, comme l’ont été la destruction de toutes les petites barrières depuis des décennies, toutes les petites attaques menées par les ennemis de la France pour conduire finalement à ce que les digues lâches sur de nombreux sujets : la pédérastie, l’ouverture des frontières, le métissage, l’industrialisation à outrance, la marchandisation de tout, y compris du corps humain.

C’est pour cela que ce premier texte inclut des mesures de « protection », comme l’interdiction de la vente aux mineurs, alors que les études ont montré que les interdictions de vente d’alcool ou de cigarette aux mineurs n’ont jamais, bien au contraire, empêché la diffusion des fléaux de l’alcoolisme et du tabagisme dans la jeunesse, l’interdiction de se droguer dans les lieux publics (!) ou d’en faire la publicité. Des propositions hypocrites qui n’ont vocation qu’à fixer les prochaines limites à abattre dès que le premier pas aura été franchi.

C’est ainsi que les suppurateurs ont procédé avec l’homosexualité, perversion enlevée de la liste des maladies, dépénalisée, objet de mesures spécifiques (PACS), avant qu’ils n’imposent le « mariage » (sic), puis des lois de protection spécifique (homophobie), avant de réclamer l’adoption et autres abominations. C’est ce qu’entend Esther Benbassa quand elle évoque un « processus de sensibilisation » par « étapes ». Il est évident qu’après les drogues « douces » (sic), autorisées puisque déjà largement diffusées, viendra l’acceptation des autres drogues, déjà largement propagées dans certaines classes de la société et objets, médiatiquement notamment, d’une opération de normalisation similaire à celle adoptée pour le cannabis..

Le texte ne devrait pas être adopté lors du vote au Sénat, mais de premiers indices montrent que l’activisme des corrupteurs a déjà bien fait avancer les choses : lors de son passage devant la commission des affaires sociales du Sénat, le texte, s’il a été rejeté, a vu les représentants du Parti Socialiste et de l’Union des démocrates et indépendants (UDI) s’abstenir. « Ce texte pose de bonnes questions » avait même osé le sénateur UDI Gérard Roche. « Il faut sans doute voir comment réguler le système [sic] » avait renchéri la sénatrice PS Catherine Génisson.

Il avait été précédé de précédentes mesures, comme les « salles de shoot » que veut imposer dans toute la France Marisol Touraine. L’ancien ministre de l’Intérieur Daniel Vaillant avait, il y a quelques mois, tenu des propos extrêmement favorables à la diffusion de la drogue avec l’aide de l’État.

Le laboratoire d’idées lié au PS Terra Nova, financé par les plus importants trusts en France (Casino, EADS, Areva, Sanofi – le laboratoire pharmaceutique pourrait sans doute gagner de colossales sommes d’argent si ce projet criminel aboutissait –, mais aussi internationaux comme Ernst & Young et même des établissements publics ou contrôlés par l’État comme la Caisse des Dépôts et consignations, la SNCF, EDF, GDF, etc.), a participé à cette offensive antisociale en dévoilant une « enquête » en décembre, dithyrambique sur les effets de la dépénalisation de la drogue, notamment en matière d’économie. Il est à noter que ce sont les mêmes experts qui avaient annoncé que Maastricht créerait trois millions d’emplois en France, que les 35 heures résorberaient le chômage en France, que la mondialisation et l’invasion permettraient à la France de sortir de la crise, des arguments repris, aujourd’hui, toujours pour masquer leurs attaques contre les fondements de l’identité et de la société françaises, pour obtenir la généralisation de l’esclavage le dimanche et la légalisation de la vente de la drogue. Le Monde avait lui-même activement participé à ces attaques en publiant quasiment un numéro spécial à ce sujet concomitamment à la parution du « rapport » de Terra nova.

Seul un contexte social général pourrait permettre à ces fléaux d’être éliminés ; c’est exactement l’inverse que préparent Esther Benbassa et les siens : un contexte favorisant les pires penchants de l’humanité.

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Liberté d’expression : le journal Valeurs actuelles condamné pour une couverture

 

 Publié par Guy Jovelin

Le 22 septembre 2013, l’hebdomadaire Valeurs actuelles publiait en couverture une photo montrant notamment une Marianne voilée avec le titre « Naturalisés l’invasion qu’on nous cache ». Plusieurs sous-titres étaient également présents : « Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls »,« Islam, immigration : comment la gauche veut changer le peuple »« Le poids des musulmans n’a cessé d’augmenter ».

Un juge rouge a condamné pour cela à 2.000 euros d’amende le directeur de la publication Yves de Kerdrel coupable de « provocation à la discrimination envers les musulmans » (sic). Ce sont quatre associations antifrançaises qui avaient porté : l’Union des étudiants Juifs de France (UEJF), la Maison des Potes, SOS-Racisme et la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA).

mercredi, 04 février 2015

L’État islamique a brûlé vif le pilote jordanien qu’il détenait

 

 

L’organisation islamiste a annoncé que Moaz al-Kassasbeh, l’otage jordanien pilote de chasse, avait été brûlé vif. L’exécution d’une cruauté rare est montrée dans une vidéo revendiquée par le groupe djihadiste.

On y voit le prisonnier dans une cage, sa tunique imbibé de liquide inflammable de même que le sol de sa cage, puis le feu est mis par une trainée de liquide et le captif est brûlé vif. Plus tard, les djihadistes exhibent le corps brûlé.

La semaine dernière, deux otages japonais avaient été décapités à quelques jours d’intervalle.

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