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mardi, 27 janvier 2015

Grèce : premier round (par Patrick Parment)

 

Publié par Guy Jovelin

Il aura suffi d’une victoire quasi programmée d’une gauche hétéroclite en Grèce pour que les Mélenchon, Cécile Duflot et autre Laurent - du fantomatique parti communiste -, s’imaginent que cela pourrait se produire en France. J’entendais Mélenchon à la radio dire qu’il avait les capacités pour gouverner, lui et ses potes. Là, franchement, je suis parti d’un grand éclat de rire.

Les Grecs ont, en effet, massivement voté pour un parti, Syriza, qui leur a fait miroiter la Lune. Enfin, presque. Mettons-nous à la place des Grecs, ils en ont marre de l’austérité et ils vivent sur la corde raide depuis de nombreuses années. Les partis au pouvoir depuis des décennies, de droite comme de gauche, les ont menés à la faillite. Dès lors, pourquoi ne pas essayer autre chose, voir si une autre « volonté » politique, vierge dans le paysage politique, ne serait pas capable de desserrer l’étau.

Il ne faut cependant pas perdre de vue que la Grèce a aussi plongé en raison de ses carences étatiques et d’un système d’impôts totalement inégalitaire puisque ce sont les plus riches qui en payaient le moins. Les Niarkos et autre Onassis en savaient quelque chose d’autant que les leaders politiques, tous bords confondus, s’en mettaient aussi plein les poches. La première des réformes en Grèce consiste bien à remettre de l’ordre dans la machine étatique et d’éliminer les inégalités les plus criantes.

Ce qui ne risque pas d’arriver en France, camarade Mélenchon, car nous, Français, sommes perclus d’impôts et de taxes par des énarques fous qui ont transformés Bercy en asile d’aliénés.

Par ailleurs, il ne faut pas s’imaginer que le Système capitaliste européen,  gangrené par les tenants de la finance mondialisée carburant au dollar, va laisser la Grèce jouer peinarde dans son coin.

On aimerait, certes, voir la Grèce ébranler cette institution bruxelloise qui joue contre l’intérêt des peuples, mais la Grèce est un trop petit pays pour que cela émeuve les hiérarques de la haute finance. Qui a pris soin de placer, en partie, la dette grecque dans les banques européennes.

Pour casser le modèle économique européen, il faudrait qu’un des pays de l’ex-Europe des Six, sombre à son tour ou décide de sortir du Système. Chose qui ne saurait arriver avec les Hollande et autre pignouf à la Sarkozy. Cela serait également possible si les classes laborieuses, en ultime détresse, descendaient dans la rue. Or, nous n’en sommes pas encore là. Du moins tant qu’il y aura encore un poulet aux hormones dans nos frigos.

Pour toutes ces raisons et bien d’autres que j’ignore, Alexis Tsipras, le leader de Syriza, a de fortes chances d’aller à Canossa et tenter de négocier de quoi soulager les classes laborieuses qui pourraient être tentées par des aventures pus radicales avec Aube Dorée, par exemple.

Il ne faut pas non plus perdre de vue que le programme de ce Tsipras est d’un laxisme éhonté en matière d’immigration alors que la population grecque est de plus en plus exaspérée par ces hordes qui arrivent du Moyen Orient et d’Afrique du fait que la Grèce est, avec l’Italie,  l’une des portes d’entrée des immigrés en Europe. Et que Bruxelles s’en fout.

Alexis Tsipras est assis sur un baril de poudre. Attendons de voir la suite.

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Une jeune Allemande reniée et convertie à l’islam brûlée vive avec son bébé par ses « amis » turcs

 

 Publié par Guy Jovelin

Maria avait 19 ans. Par « amour », elle s’était convertie à l’islam malgré les avertissements de ses parents. Son corps a été retrouvé dans une forêt près de Berlin, lardé de coups de couteau et brûlé. Elle était enceinte de plusieurs mois, et ce serait parce qu’elle aurait refusé d’avorter que son ancien compagnon, un Turc comme l’Allemagne en abrite des millions, et l’un de ses congénères – qui a avoué – lui aurait porté plusieurs coups de couteau au ventre avant de la brûler alors qu’elle agonisait.

Il s’agissait au départ de l’un de ses beaux contes multiculturels comme le système aime les vendre aux enfants d’Europe pour leur faire accepter la disparition de leur propre race et de leur propre culture. Maria P. avait rencontré « l’amour de sa vie », un occupant turc musulman. Elle fréquentait alors avec plaisir le quartier envahi de Neukölln à Berlin, le mirage multiracial. Elle avait même décidé de se convertir à l’islam pour complaire à son « compagnon ».

Mais celui-ci n’avait absolument pas envie de se marier avec elle et ne voulait que profiter de l’une de ces Blanches détruites par le système. Et lorsqu’elle lui apprit qu’elle était enceinte, il avait voulu l’obliger à avorter. Malgré ses demandes répétées, elle a refusé de le faire. Quelques semaines avant l’accouchement, il est passé à l’action.

Jeudi, elle a été conduite dans la forêt de Köllnische Heide par ses deux tortionnaires. C’est là où ils lui ont porté deux coups de couteau au ventre. La jeune fille s’est débattue et pour se débarrasser d’elle, alors qu’elle était encore vivante – l’autopsie l’a confirmé – l’ont aspergée d’un liquide inflammable et ont incendié la jeune femme et son enfant à naître.

Ce cas est hélas loin d’être isolé dans l’Allemagne occupée de 2015. Il y a quelques mois, un Afghan à papiers allemand a assassiné sauvagement de plusieurs coups de couteau sa petite-amie blanche, qui était également enceinte. La justice lui a reconnu toutes les circonstances atténuantes possibles, osant déclarer qu’il était lui-même dans « une situation difficile à cause de son origine culturelle et religieuse ». Des psychologues sont déjà invités dans les médiats pour « expliquer » le crime, pour que chaque Allemand puisse comprendre que les meurtriers ne sont pas réellement coupables.

C’est la prime à l’invasion : si un Allemand commettait un crime de ce genre, tous les médiats d’Allemagne évoqueraient l’affaire, les occupants provoqueraient des émeutes – comme l’a prouvé le cas dernièrement de Dresde, où il s’est finalement avéré que l’assassin d’un jeune colon Érythréen était l’un de ses congénères –, et le coupable serait encore plus sévèrement puni. Si le coupable est étranger et la victime blanche, c’est le contraire.

« Qui peut faire une chose pareille ? » ose se demander un internaute, alors que le crime est signé.

Le maire de Berlin, un traître qui favorise chaque jour la haine de l’Allemagne et l’invasion, s’est ignoblement prétendu « choqué » de ce que lui et tous les républicains complices ont créé et organisé.

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lundi, 26 janvier 2015

SYRIZA REMPORTE LES ÉLECTIONS EN GRÈCE

Syriza remporte les élections en Grèce

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REINFO : LE JOURNAL HEBDOMADAIRE

 

RÉINFO DU 26 JANVIER 2015

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dimanche, 25 janvier 2015

Les écoles transformées en temples laïcistes de la religion républicaine

 

Publié par Guy Jovelin

Après cinquante ans d’échecs, cinquante ans de fuite en avant, cinquante ans où le marxisme culturel a conduit à une baisse du niveau général, l’Éducation, plus antinationale que jamais, va passer ses prochains mois un nouveau cap vers une véritable dictature laïque et républicaine, ce dont ne se cache pas Najat Belkacem, pendant que Manuel Valls instrumentalise la peur pour empêcher toute réflexion. La transformation des écoles en synagogues républicaines est la victoire posthume de Vincent Peillon, évincé l’année dernière du ministère, mais dont les idées triomphent aujourd’hui.

« Vivre dans le danger »

« Votre génération doit s’habituer à vivre avec ce danger, et pendant un certain nombre d’années. Moi je ne veux rien cacher de cette menace, elle existe et les enseignants doivent le savoir » a déclaré Manuel Valls en visite dans un établissement scolaire hier, oubliant de préciser que la République qu’il défend et qu’il incarne est totalement responsable de la situation.

Il en a profité pour rappeler le glissement de leur dictature soft vers un régime officiellement dictatorial en réaffirmant que toutes les idées contraires à leur République étaient des crimes :

« En France, on peut se moquer de toutes les religions, comme le fait Charlie hebdo. Mais quelqu’un comme Dieudonné ne fait pas de l’humour, il n’exprime pas une opinion. L’antisémitisme, l’apologie du terrorisme, le négationnisme, ce ne sont pas des opinions, ce sont des délits. L’école doit vous apprendre à faire ces différences » a prétendu le chef du gouvernement d’occupation. Comme en Russie stalinienne, certaines opinions sont criminalisées, et les enfants seront programmés dès l’école à détecter les opinions dissidentes.

« Ces circonstances [l’élimination de la rédaction de Charlie hebdo] exceptionnelles appellent des réponses nouvelles [sic]. Il faut qu’il y ait un avant et un après » avait annoncé Najat Belkacem. Cet « après », c’est la tentative de ressusciter les obsessions issues de la Révolution d’une religion maçonnique, laïque et républicaine, aujourd’hui mâtinée d’antiracisme.

Une école pour former des croisés de la laïcité

Profitant de la sidération mentale créée après l’incident de Charlie hebdo, le gouvernement d’occupation a multiplié les annonces ces derniers jours dans tous les domaines : syndicalisme, économie, défense, liberté publique, etc. Rares sont les secteurs qui échappent à la « vallsisation ». Concernant l’éducation, d’innombrables mesures ont été dévoilées par Manuel Valls mais également par la Marocaine Najat Belkacem. Tous deux ont fait comme si la politique d’invasion n’était pas la cause directe et essentielle de la situation et comme si réformer – ou prétendre réformer – l’éducation nationale suffirait à sauver leur République.

Les mesures, dont beaucoup n’auraient pas été reniées en 1793 par les plus excités des adorateurs de l’Être suprême, seront mises en place dès la rentrée 2015, sans la moindre concertation ni avec les syndicats d’enseignants, ni avec les parents d’élèves. Les jeunes Français seront d’abord soumis à 300 heures sur toute leur scolarité d’un enseignement dit « moral et civique », des mots qui ne peuvent qu’effrayer quand le parti dominant en France est dirigé par un corrompu, que des gens comme Serge Bloch, Jérôme Lavrilleux ou Patrick Balkany siègent dans les parlements et qu’au gouvernement ces deux dernières années, au moins cinq concussionnaires ont été démasqués. Concernant la morale, celle d’un président qui trompe sa femme au mépris de la sécurité de la France et en utilisant les moyens de l’État pour commettre l’adultère républicain, qui prétend avoir pour ennemi la finance et ne cesse de ramper devant elle se passe de commentaire. La « grande mobilisation de l’école pour les valeurs de la République » s’annonce mal.

La liberté d’expression sera encore réduite à l’école, et les enseignants se transformeront en kapos des valeurs de leur République. Toute atteinte aux dogmes républicains fera l’objet d’un signalement systématique. Pour s’assurer de la bonne coopération des élèves, ceux-ci seront soumis dès leur inscription dans un établissement aux règles de civilité et de politesse et devront signer un règlement intérieur et une « Charte de la laïcité ».

De nombreuses peines pour les récalcitrants sont déjà prévues. Celles-ci ne concerneront évidemment jamais les Afro-Maghrébins : dans les sanctuaires des zones ethniquement perdues, aucun professeur ni proviseur n’osera jamais dénoncer les apprentis terroristes, comme ils n’osent aujourd’hui pas le faire quand ils remettent en cause l’existence de « l'holocauste ». À l’inverse, tous les jeunes Français qui mettront en cause leur République, ses antivaleurs, ses attaques contre la France, seront poursuivis sans pitié, comme c’est déjà souvent le cas dans des établissements où porter certaines marques de vêtement peut suffire à être exclu.

Désormais tous les futurs professeurs seront questionnés sur leur adhésion pleine et entière aux dogmes républicains. Leur conformité avec les principes maçonniques sera plus importante que leur compétence dans leur matière d’enseignement, et que leur volonté de transmettre le savoir. Pire encore : 1.000 formateurs seront opérationnels dès la rentrée 2015 pour assurer la « formation continue » auprès de tous les enseignants, y compris en exercice pour les « guider » sur la voie de la bonne compréhension de la« laïcité » et de la « morale ».

Il faut être Manuel Valls pour croire qu’une simple manipulation médiatico-politique pourra suffire à modifier la réalité d’établissements scolaires où se vend de la drogue, où d’innombrables agressions sexuelles ont lieu, sans parler de la peur quotidienne de milliers de jeunes Français rackettés, humiliés, agressés par les occupants. La nouvelle « religion laïque » ne s’imposera ni aux racailles façonnées par le rap et la haine des Blancs, ni à celles déjà envoûtées par l’islamisme conquérant. Leurs héros ne seront jamais Robespierre et Danton ; ils resteront Merah et Kouachi. Lire la suite