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dimanche, 03 février 2019

Liberté d'expression

Publié par Guy Jovelin le 03 février 2019

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samedi, 24 novembre 2018

MACRON ET FACEBOOK S’ALLIENT CONTRE LA LIBERTÉ D’EXPRESSION

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2018

Publié le 23 novembre 2018 | Étiquettes : 

LA FRANCE VEUT FRANCHIR UN NOUVEAU PALIER DANS SA LUTTE CONTRE LES « DISCOURS DE HAINE » SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX. UN JOURNALISTE DE L’OBSERVATOIRE ÉTAIT PRÉSENT AU FORUM SUR LA GOUVERNANCE DE L’INTERNET (TENU À L’UNESCO À PARIS) LE LUNDI 12 NOVEMBRE 2018, JOUR OÙ L’UNION SACRÉE FACEBOOK/ÉTAT FRANÇAIS POUR LA RESTRICTION DES LIBERTÉS FONDAMENTALES A ÉTÉ ANNONCÉE PAR EMMANUEL MACRON. OUVERTURE DES SCELLÉS.

GROUPE DE TRAVAIL EXPÉRIMENTAL POUR LA CHASSE AUX CONTENUS

Le président a parlé de « méthode coopérative », unissant les capacités technologiques de Facebook et les capacités répressives (en forte progression) de l’Etat français. Un groupe d’une dizaine de personnes sera constitué à parité entre les deux entités, la privée et la publique. Du côté réseau, des cadres dirigeants. Du côté public, que du beau monde : le CSA (responsable des contenus), l’Arcep (responsable des télécoms et de la régulation technique, les contenants), la Disic (direction interministérielle des systèmes d’information et de communication) et le secrétariat d’Etat au numérique qui coordonne.

UN PÉRIMÈTRE INCERTAIN MAIS QUI POURRA AUGMENTER

Cette « expérience pilote pour six mois » permettra en théorie aux agents de l’État d’avoir accès aux méthodes de Facebook. Et qui sait à une partie juteuse de ses précieuses bases de données auxquelles déjà la CIA et la NSA peuvent accéder sur simple demande d’un juge américain. Oubliez la confidentialité de vos données, elle n’existait que peu de toutes façons, le réseau social se faisant piller régulièrement, elle sera réduite à bien peu lorsque la Dilcrah, la délégation interministérielle contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti LGBT (vous pouvez compléter la liste) mettra son grand nez dans vos comptes sur le réseau social.

CONTRE LA HAINE

Comme disait ma grand-mère, l’enfer est pavé de bonnes intentions. La genèse de ce joli projet remonte au mois de mais 2018 au sommet Tech for Good tenu à Paris. La Technologie (majuscule) pour le Bien (autre majuscule). Les puissances du Bien oeuvrent contre les puissances du Mal de la haine (nous avons hésité pour la majuscule à haine, finalement non). Comme elles sont le Bien, le Beau, le Vrai, le Riche (aussi) elles peuvent dire de manière précise ce qu’est un discours de haine : tout discours s’opposant à leurs intérêts matériels et moraux.

De manière quasi naïve et charmante un article du Monde (mercredi 14 novembre 2018) note :

« Plus largement, Emmanuel Macron cherche à montrer qu’il n’est pas inactif face aux géants du numérique, dans la perspective des élections européennes de mai 2019 » (sic).

Faute avouée n’est pas toujours pardonnée, le projet commun est bien un projet politique pour encadrer ceux qui pensent mal, écrivent mal, lisent mal, regardent mal, écoutent mal et surtout votent mal. La loi anti fake news/infox votée au Parlement français va en ce sens. Comme également le rapport de la député d’origine africaine En Marche Laetitia Avia qui préconise la création d’un régulateur spécifique avec des pouvoirs rapides et coercitifs (sans doute donnés au CSA) contre le racisme et la haine. Vous êtes prévenus.

 

Source : ojim

jeudi, 20 octobre 2016

La liberté d’expression plus que jamais menacée

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2016

19 octobre 2016 par Lionel

Alors que la France est en voie de décadence avancée, les autorités officielles, loin de s’attaquer aux causes de ce déclin, veulent au contraire s’en prendre à ceux qui les dénoncent, quand bien même ceux-ci n’ont pas de pouvoir et ne font qu’exprimer leurs points de vue. Bref, les autorités ne veulent pas d’un débat qui opposerait argument contre argument, mais la censure pure et simple de ceux qui ne pensent pas comme elles. Ainsi, par exemple, en matière d’avortement, le ministre Laurence Rossignol a voulu déposer un projet de loi pour réprimer ceux qui feraient un « délit d’entrave numérique » (sic). Serait susceptible d’être condamné pour cette entrave numérique quiconque aurait, sur internet, exposé des arguments qui ne siéraient pas à la doxa officielle du planning familial, car le ministre sait qu’un débat loyal lui ferait perdre la partie. Heureusement, ce délit d’entrave numérique n’est pas encore adopté mais une autre menace arrive, bien plus grave encore, car ce ne sont pas les seuls opposants à l’avortement qui sont visés mais quiconque émet un avis critique sur la société actuelle.

Ainsi, deux sénateurs (l’un républicain, l’autre socialiste) ont déposé un rapport qui pourrait devenir proposition de loi, intitulé (sans rire) « égalité et citoyenneté » et qui vise à démanteler la loi 1881 sur la liberté de la presse, loi qui protège a minima la liberté d’expression. La charge est telle que même des feuilles bien pensantes, tel le quotidien le monde, s’en inquiètent, parlant de « texte dangereux ». Et en effet, si un tel projet était adopté, on ne pourra plus rien dire de politiquement incorrect sans risquer de devoir comparaître devant un tribunal. Du reste, ses auteurs reconnaissent explicitement qu’ils visent l’espace de liberté qu’est internet, comme quoi, si la liberté fait partie officiellement de la devise républicaine, ses principaux ennemis sont au plus haut sommet de l’État, quand bien même ces derniers, ne craignant pas le ridicule, se disent Charlie…

 

Source : contre-info

mardi, 15 mars 2016

Askolovitch se prend pour le pape et demande la démission de Barbarin

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2016

Un "éditorialiste" peut-il excommunier un chrétien ?

Pour ceux qui ne connaissent pas encore « Asko », rappelons son époustouflant parcours médiatique, tous médias confondus : Radio Shalom, Sciences et Vie, RFO, Le Matin de Paris, Le Sport, Europe 1, L’Evènement du jeudi, Marianne, Le Nouvel Observateur, Le Journal du Dimanche,Le Point, I-Télé, France 2, RTL, La Chaîne Parlementaire, Arte (28 Minutes), Bein Sports (Le Club). Il ne manque plus que les Chtis à Miami sur NRJ12 et Le Journal de la santé sur France 5, avec Michel Cymes et la fille Carrère d’Encausse. Il se peut même qu’un jour, vu la fuite des cerveaux qui touche actuellement TPMP (Touche pas à mon poste), Asko trouve un siège à la droite du Fils (Hanouna).

À chaque fois qu’on lit, regarde ou entend Asko, c’est le grand art du journaliste qui a son avis sur tout porté à son point le plus haut. Maître des contre-pieds à l’idéologie dominante qui retombe toujours sur ses pattes sionistes, ce fan de foot ne loupe pas une occasion de se frayer une place sous la lumière médiatique. Il peut parler de Benzema, des attentats, de DSK (un pote), de Nabilla ou d’Obama avec la faconde d’un pilier de bistrot qui vient de gagner à un jeu de grattage devant tous ses potes après une troisième tournée générale.

 

 

La complexité pour les nuls

En fait, vous l’aurez compris, le sujet il s’en fout, du moment qu’il peut tchatcher et vendre sa camelote – c’est-à-dire lui-même – en direct. Le produit, c’est « Asko », le reste n’est qu’un prétexte. Pour être précis, Asko vend de l’intelligence des choses, une vision du monde, mais ramenée au niveau des téléspectateurs compulsifs. Comprenons par là des gens qui s’emmerdent mais qui ne veulent pas s’emmerder avec de la complexité anxiogène.

Comparativement à Haziza, Asko est posé, intelligent, rationnel et honnête. En même temps, Haziza cumule tellement de défauts et de manquements professionnels qu’il est facile de glorifier Asko à côté. Cette semaine, Asko s’en prend à Mgr Barbarin, l’archevêque de Lyon, le primat des Gaules, et pilier de la France catholique. Il a notamment jumelé l’archidiocèse de Lyon avec le diocèse de Mossoul, pour montrer son attachement aux chrétiens persécutés en Orient. Malgré la stature morale de l’homme, Asko exécute Barbarin en trois coups de cuiller à pot, écoutez ça :

« C’est un intellectuel c’est un homme engagé, il s’engage pour toutes les thématiques de l’église, il s’était engagé il était au premier rang des manifestations contre le mariage pour tous par exemple, en 2013, il en disait même parfois des bêtises »

Le présentateur d’I-Télé en plateau surenchérit, et demande à Asko-qui-sait-tout :

« Et ça veut dire que l’église doit couper des têtes pour se sauver elle-même ? »

 

Étant farouchement attachés à la liberté d’expression, nous ne demanderons ni la tête (nous ne sommes pas des barbares) ni la démission d’Asko (nous ne sommes pas des inquisiteurs), seulement de s’occuper de ses affaires, par exemple du retour de Benzema dans l’équipe de France, à trois mois de l’Euro.
Un revirement louche qui sent encore une fois le désastre : vu le pedigree du maître-chanteur à la sex-tape, il ne nous étonnerait pas que les Bleus, sur une telle base morale, se fassent exploser en France. Attention, il ne s’agit pas d’explosion terroriste, malgré les risques, que nos dirigeants nous rappellent chaque jour entre deux décisions liberticides, uniquement d’explosion sportive. Le ménage reste à faire chez les dirigeants des Bleus, et accessoirement, chez les dirigeants des Français.

 

Source : http://www.egaliteetreconciliation.fr/

jeudi, 05 février 2015

Liberté d’expression : le journal Valeurs actuelles condamné pour une couverture

 

 Publié par Guy Jovelin

Le 22 septembre 2013, l’hebdomadaire Valeurs actuelles publiait en couverture une photo montrant notamment une Marianne voilée avec le titre « Naturalisés l’invasion qu’on nous cache ». Plusieurs sous-titres étaient également présents : « Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls »,« Islam, immigration : comment la gauche veut changer le peuple »« Le poids des musulmans n’a cessé d’augmenter ».

Un juge rouge a condamné pour cela à 2.000 euros d’amende le directeur de la publication Yves de Kerdrel coupable de « provocation à la discrimination envers les musulmans » (sic). Ce sont quatre associations antifrançaises qui avaient porté : l’Union des étudiants Juifs de France (UEJF), la Maison des Potes, SOS-Racisme et la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA).