Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 11 décembre 2014

Concessions autoroutières, un scandale d’État ! (par Gabriel Robin)

 

Publié par Guy Jovelin

La privatisation des autoroutes, datant de l’année 2005, a depuis constitué un manque à gagner d’environ 10 milliards d’euros pour l’État (un cas qui n’est pas sans rappeler la vente de l’aéroport de Toulouse-Blagnac à un consortium sino-canadien, mais passons). Il faut savoir, comme le rappelait à juste titre Ségolène Royal, que sur 100 euros de péage payés par l’usager, 22 euros sont un bénéfice net pour les sociétés d’autoroute, qui ont engrangé 15 milliards de dividendes depuis la privatisation. Un cruel manque à gagner pour l’État français qui aurait bien besoin d’une telle manne pour combler une dette qui ne cesse de se creuser. Mais ça, peut-être fallait-il y penser avant, car les folles privatisations qui ont commencé sous le socialiste Jospin n’ont rien rapporté aux usagers ou à la France, mais tout aux entreprises privées et aux financiers.

Gilles de Robien, ministre des Transports jusqu’en juin 2005, avait bien tenté de s’opposer à la privatisation des autoroutes, mais le lobby des constructeurs a eu raison de lui et il fut débarqué. En décembre 2005, sous le gouvernement Villepin, Thierry Breton à Bercy et Dominique Perben au ministère des Transports ont fini par valider la transaction et ont signé un contrat indigne, voire illégitime. C’est à se demander si les membres du gouvernement Villepin n’ont pas été soudoyés pour signer un contrat aussi défavorable… Les temps changent, mais les mœurs n’évoluent pas au sommet de la gestion étatique UMPS : trahisons et reniements sont toujours au menu.

En effet, même les rapporteurs de l’Autorité de la concurrence ont eu du mal à croire ce qui se trouve dans les contrats de concession passés à l’époque. Les concessionnaires étaient protégés contre toute modification ou création d’impôts nouveaux (contrairement aux Français de tous les jours, de plus en plus écrasés par l’impôt) ; jusqu’à vendredi, jour au cours duquel les députés ont voté la fin de cet avantage fiscal et de l’absence de plafond pour déduire les charges financières.

Dans ce contexte juridique qui soumet totalement notre État aux groupes privés, et est particulièrement désavantageux pour les Français, l’appel des 152 députés socialistes réclamant le rachat des concessions d’autoroutes sonne creux. Jamais le gouvernement n’aura le courage d’avaliser une telle mesure, jamais il n’aura la force de s’opposer à Vinci et aux autres qui pourront continuer à tondre les usagers et un État trop faible depuis déjà plusieurs années. Et quelle logique y aurait-il à vendre l’aéroport de Toulouse-Blagnac tout en dépensant entre 15 et 20 milliards d’euros pour racheter le réseau autoroutier ? Cela n’a ni queue ni tête.

Le gouvernement privilégie d’ailleurs une renégociation des contrats avec prolongation de leurs durées, en échange de 3 milliards d’euros d’investissements. Nul doute, de toute façon, que Manuel Valls et Emmanuel Macron eussent aussi privatisé les autoroutes s’ils avaient été aux affaires en 2005. Sortons ces incapables.

Source

L’ONU COMPTE DISCRIMINER LES BLANCS EN FAVEUR DES NOIRS ET DES MAGHRÉBINS PENDANT LES 10 PROCHAINES ANNÉES

Les ordures de cette structure mondialiste ne cachent même pas leur haine des peuples européens. 


Lors d’une réunion organisée hier à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’Homme au Centre Schomburg pour la recherche sur la culture noire, le secrétaire général adjoint de l’ONU, Jan Eliasson, a annoncé que les Nations Unies allaient mettre en œuvre des initiatives en faveur des droits de l’Homme pour les gens d’ascendance africaine (NDLR : comprendre les noirs vivant dans les pays d’Europe) dans la prochaine décennie, en mettant l’accent sur l’accès égal à la justice. 


L’ONU compte discriminer les Blancs en faveur des Noirs et des Maghrébins pendant les 10 prochaines années
L’ONU « contrainte » d’intervenir 
Il a évoqué le débat public « angoissé, mais d’une importance fondamentale » sur les violences policière et le délit de faciès aux Etats-Unis, et estimé que la mort de ces personnes noires mettaient en évidence d’accentuer partout dans le monde les efforts pour assurer l’égalité devant la justice et l’application des lois, et pour promouvoir et faire respecter les droits de l’Homme pour tous. 
L’occasion pour lui d’insister : « les gens d’ascendance africaine représentent l’un des groupes les plus pauvres et les plus marginalisés du monde » ayant fréquemment un accès limité à une éducation de qualité, aux soins, à un logement décent et à l’assurance vieillesse. Autant de domaines où l’ONU sera probablement « contrainte » d’intervenir au « prix » d’une discrimination positive. 
  
La décennie des personnes d’ascendance africaine et l’esclavage 
Jan Eliasson a donc annoncé que cette journée marquait le début de la « décennie des personnes d’ascendance africaine » de l’ONU, précisant qu’elle serait « une occasion de mettre en lumière l’inégalité vécue par les Africains et la diaspora africaine dans le monde et d’attirer l’attention sur le fardeau historique de l’esclavage et du colonialisme ». L’ONU s’apprête d’ailleurs à installer un mémorial permanent en l’honneur des victimes de l’esclavage et de la traite transatlantique des esclaves. 
L’occasion de rappeler que l’Eglise s’est toujours fermement opposée à la pratique de l’esclavage, ce qui n’a jamais été le cas en terre d’islam où il a toujours, et est toujours, pratiqué activement. 
Notons avec « étonnement », que l’ONU n’a pas prononcé un mot sur ce dernier point. 
Source : Reinformation.tv
 

mercredi, 10 décembre 2014

La crèche de Noël du Parlement Européen

DANS MPI-TV, PARLEMENT EUROPÉEN / PAR  / LE 9 DÉCEMBRE 2014 À 23 H 27 MIN /

Mgr Bernard Fellay, le supérieur général de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X est venu mardi 9 décembre 2014 inaugurer et bénir la crèche de Noël installée dans le hall d’entrée du Parlement Européen de Bruxelles à l’initiative de l’Institut Civitas. Ecoutez des extraits des discours vigoureux de Mario Borghezio, Alain Escada, et une interview exclusive de Mgr Bernard Fellay.

Fin du repos dominical : les longs dimanches d’agonie… (par Aristide Leucate)

 

Publié par Guy Jovelin

Dès le mois d’octobre, par un tweet, le ministre de l’Économie Emmanuel Macron avait prévenu : « Il faut simplifier le travail le dimanche et en soirée à trois conditions : volontariat, accord majoritaire et compensation de salaire. » Ce mercredi, cette mesure sera présentée en Conseil des ministres. Elle est comprise dans un projet de loi plus vaste embrassant, notamment, la fin des monopoles des professions réglementées (notaires, huissiers, pharmaciens, dentistes, etc.). Ou comment faire sauter les dernières digues protectrices contre les vents violents de la mondialisation.

Décidément, rien ne ressemble plus à un ministre socialiste qu’un autre ministre UMP, voire un cadre dirigeant du MEDEF. Interchangeables à volonté, les mêmes, inconscients de la monstruosité de leurs connivences idéologiques, ne cessent de hurler haro sur le baudet populiste quand on prétend, à bon droit, les jeter dans le même sac d’opprobre « UMPS ». Tendre ainsi les verges pour se faire battre confinerait-il au crétinisme épais ou à la tartufferie la plus saumâtre ?

Poser la question revient à y répondre, tant il est constant que cela fait bien longtemps que la gauche a trahi le peuple en même temps qu’elle a abandonné le socialisme, comme l’a récemment rappelé Jean-Claude Michéa dans son roboratif échange épistolaire avec Jacques Julliard (La Gauche et le peuple, Flammarion, 2014). En finir avec le repos dominical n’est pas une idée neuve. Déjà Napoléon, poursuivant l’œuvre entreprise sous la Terreur, ne souhaitait pas, contre l’avis de ses légistes, imposer un jour obligatoire de repos, sauf « aux fonctionnaires publics et agents salariés du gouvernement ». Rétabli sous la Restauration, il sera à nouveau supprimé par les républicains anticléricaux en 1880 (malgré la bronca des parlementaires royalistes et quelques solides opposants comme Victor Hugo, Jules Simon ou Victor Schœlcher), pour finalement réapparaître avec la loi du 13 juillet 1906, après des années d’âpres débats, sous l’influence notable des catholiques sociaux.

Issus des révolutionnaires hostiles à « l’oisiveté » de l’ouvrier et à tout ce qui, de près ou de loin, les rapproche de la lointaine tradition catholique, nos a-nationaux-socialistes modernes communient désormais avec la haute bourgeoisie d’argent dans le culte du libéralisme où les individus, dépersonnifiés, sont ravalés au rang de monades hédonistes mus pas l’instinct de consommation le plus vil. Après l’antique culte du Veau d’or, celui du « divin marché » (selon l’expression de Dany-Robert Dufour), sous les auspices procéduraux du Droit pour tous (et donc contre tous).

Défendre le repos dominical va bien plus loin que la vulgate simpliste de se retrouver en famille, entre amis ou pour vaquer à ses loisirs. Dans sa dimension anthropologique – pourquoi pas éclairée par notre longue mémoire spirituelle –, ce combat nous rappelle que l’homme est avant tout un animal social répondant à des stimuli autres que ceux de la troisième fonction dumézilienne du ventre et du bas-ventre.

Source

République exemplaire (et métissée) : Yamina Benguigui jugée en correctionnelle

 Publié par Guy Jovelin

L’Algérienne Yamina Benguigui, ancienne ministre de la Francophonie François Hollande, sera jugée en correctionnelle dans l’affaire de sa fausse déclaration présumée de patrimoine. Selon les enquêteurs, ses déclarations de patrimoines alors qu’elle était ministre, sont entachées d’irrégularités.

Elle aurait caché sa participation dans une société installée en Belgique pour échapper au fisc français, G2, une société ayant la particularité d’avoir financé exclusivement ses propres « films » et documentaires – des œuvres de propagandes exaltant l’invasion de la France telles qu’Inch’Allah dimancheFemmes d’islamLe Grand Voyage de Lalla Amina, Aïcha, Mémoires d’immigrés, l’héritage maghrébin, Un jour pour l’Algérie, Le Jardin parfumé, Aïcha, Mohamed, Chaïb… Engagés pour la France, 9-3 Mémoire d’un territoire,etc.

G2 détenait à 99 % sa propre société de production, Bandits production (!). Yamina Benguigui est également accusée de n’avoir pas déclaré la vente de ses parts dans le capital (20 %), ce qui lui avait rapporté 430.000 euros.

Source