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mardi, 08 mai 2018

A l’autre bout du monde, la Nouvelle-Calédonie

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

 

 par Constance Prazel

Depuis jeudi, Emmanuel Macron est en Nouvelle-Calédonie, à tout juste 6 mois du référendum prévu pour l’indépendance, et trente ans exactement après les « événements » d’Ouvéa, c’est-à-dire la prise d’otages d’une gendarmerie par des indépendantistes kanaks. Quatre gendarmes avaient péri au moment de l’attaque de la gendarmerie. L’assaut s’était soldé par 19 morts du côté des ravisseurs ; deux militaires y avaient trouvé la mort, le 5 mai 1988.

Voilà qui motive les indépendantistes à parler d’une véritable « provocation » dans la visite d’Emmanuel Macron. Combien sont-ils ? Une poignée. N’en déplaise à certains, ils sont nombreux, les kanaks loyalistes, et parfois depuis plusieurs générations.

Le 5 mai 1998, c’est cette fois sous le gouvernement de Lionel Jospin qu’avaient été signés les « Accords de Nouméa », prévoyant un transfert de compétences généralisé à la Nouvelle-Calédonie, et prévoyant l’organisation de consultations populaires sur l’auto-détermination des îles calédoniennes. Emmanuel Macron poursuit une politique inaugurée par les Accords de Nouméa. La question qui sera posée le 4 novembre prochain est sans ambiguïté : « Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ? »

Même si la plupart des observateurs s’accordent sur le fait que le « non » l’emporterait à une très large majorité, le signal envoyé est puissant. Certains organes de presse n’hésitent même pas à brandir le mot de « décolonisation », avec une irresponsabilité certaine, comme La Dépêche, qui parle des « étapes de la décolonisation ». Le terme est même repris par le site de l’ONU. Ce n’est pas un hasard : depuis l’Afrique du Nord, on sait que l’ONU aime se mêler de nos territoires outre-mer, et on fait de la Nouvelle-Calédonie une affaire de principe. Il faut prouver au monde qu’on peut faire une « décolonisation réussie ». En attendant, la Nouvelle-Calédonie dépend encore pour 30 % de ces recettes publiques de  la métropole, ce qui relativise sérieusement l’idée d’une indépendance, ce que les Calédoniens savent très bien. Et devant l’explosion de la délinquance, ils attendent aussi beaucoup d’un Etat fort, à tel point que Nouméa a été choisi comme territoire test pour la police de sécurité du quotidien, promesse de campagne du candidat Macron.

Le Président se montre plutôt favorable, bien qu’avec discrétion, au maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la communauté française. Et pour cause : outre l’enjeu bien connu du nickel, c’est aussi la question d’une zone économique exclusive de 1 740 000 km² qui disparaîtrait dans le Pacifique avec l’indépendance.

Mais plus fondamentalement, ce qui frappe aujourd’hui, c’est la difficulté des gouvernants à envisager un discours d’avenir et une vision pour ces terres françaises lointaines. En cas de statu quo à l’issue du vote de novembre, deux autres référendums sont prévus. On connaît la méthode : faire revoter les citoyens jusqu’à obtenir le résultat attendu ? La presse de gauche, pourtant grande prêtresse du vivre-ensemble, peut être prompte, sur de tels dossiers, à monter les communautés les unes contre les autres.

Il faut donc se rappeler ce qu’est la Nouvelle-Calédonie : une terre découverte par le britannique James Cook, qui lui donna son nom en y voyant une réminiscence, aux Antipodes, des paysages écossais. Mais surtout, une terre convertie par la France, et la foi des missionnaires maristes, qui ont donné naissance à une communauté catholique qui rassemble aujourd’hui plus de la moitié des habitants, qu’ils soient blancs ou kanaks. La jungle calédonienne porte encore la trace de leur passage et de leurs frêles constructions : églises, écoles et dispensaires. C’est cet héritage commun et méconnu qu’il faut aujourd’hui préserver.

> Constance Prazel est la déléguée générale de la Fondation de Service politique.

 

Source : ndf

La cérémonie d’investiture de Vladimir Poutine

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

Ecrit parLéo Kersauzie

 

La fastueuse cérémonie d’investiture de Vladimir Poutine, reconduit à la présidence de la Russie.

 

Source : medias-presse.info

De Washington à Canberra, Macron ou la stratégie de l’esquive

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

Rédigé par notre équipe le 07 mai 2018.


Bien heureux comme un président français hors de France. Après son voyage aux Etats-Unis qui a laissé songeur plus d’un observateur averti, Macron a passé une semaine en Océanie où il notamment assuré travailler à un rapprochement « stratégique » avec l’Australie. Ces vacances auraient dû lui redonner un peu d’allant à son retour à Paris, mais les casseurs du 1er mai et les difficultés présidentielles avec la langue de Shakespeare ont annihilé ce plan de comm’ bien travaillé.

La magie de l’étranger n’opère plus avec autant d’efficacité qu’autrefois. Tous les présidents l’ont compris, l’Elysée est une cage dorée contre laquelle tous les mécontents viennent taper. Et avec les politiques qui se suivent et se ressemblent étrangement depuis 40 ans, les mécontents sont nombreux et de plus en plus énervés. La solution est simple, on prend un avion à 20 000 euros de l’heure (pas encore d’Air Force One car Macron n’a pas réussi à imposer son rêve d’imitation béat des Etats-Unis) et on part tourner de belles images dans des contrées exotiques.

Du vide oui, mais de dimension internationale !

Cette fois-ci, c’est l’Australie qui a eu l’honneur d’accueillir un président français désireux de fuir le spectre des grèves et du mécontentement. Une arrivée qui pourrait paraître précipitée tant la hotte du père Macron était bien vide. Il aura fallu ramer et montrer que la France et son économie vont bien en signant des contrats dans le domaine de l’armement. La gentille France qui veut la paix partout dans le monde ne dit jamais non à un contrat à la finalité létale.

Contrats signés, chèques espérés, mais c’est un peu court pour faire de ce long déplacement un succès. Alors, Macron joue au stratège et explique doctement que l’axe Paris-Delhi-Canberra est essentiel pour contrecarrer l’hégémonie d’une puissance bien connue dans la région. Macron aurait-il enfin décidé d’arrêter de jouer au valet de Trump ? Que nenni, le président français vise la Chine et non pas les Etats-Unis. Une pique que n’a pas apprécié Pékin et qui l’a fait savoir d’emblée.

Les Chinois n’ont pas peur de dire ce qu’ils pensent contrairement à un Macron qui n’ose critiquer son nouveau meilleur ami : Donald Trump. Ce dernier a pris le temps de mimer les exécutions perpétrées par les terroristes au Bataclan. Un mauvais sketch fait devant une NRA attaquée par certains citoyens américains traumatisés les dernières tueries aux Etats-Unis. L’exemple du Bataclan avait déjà servi au président américain sans que son ami Macron lui dise de le laisser de côté pour régler les problèmes inhérents aux Etats-Unis. La lâcheté de Macron se répète grossièrement puisque (peut-être coupé du monde en Océanie), il est le seul responsable politique français à ne pas avoir réagi.

Macron est bien sous la coupe de Trump et non pas l’inverse. Lors de son voyage à Washington qui n’a débouché sur rien, les équipes de Macron ont tout fait pour distiller dans les médias, l’idée que le président américain est friand des conseils de son homologue français. Emmanuel serait le bon génie de Donald en lui soufflant quelques idées sur le plan international. Est-ce Macron qui a soufflé l’idée de bombardement en Syrie ? La stratégie est simple du côté de l’Elysée. Si Trump prend une décision jugée positive alors c’est la voie macronienne qui a été entendue. Si une décision est jugée désastreuse alors le silence radio se fait. La témérité présidentielle est bien faible.

Le temps du retour à Paris est venu. Il va falloir se pencher sur les cheminots, les grévistes d’Air France, les retraités, les chômeurs, les pauvres, les étudiants, les classes moyennes en voie de disparition… En un mot il va falloir s’occuper des Français ! Dure tâche qui va appeler de nouveaux voyages un peu partout à l’étranger pour ne pas se salir les mains. Comme dirait l’un des députés de la majorité, Macron a été élu pour faire ce qu’il veut et non pas pour s’emmerder avec un pays de ploucs. Quand même !

 

Source : 24heuresactu

lundi, 07 mai 2018

Une femme coupe les parties génitales d'un violeur avec la pointe d'un fusil, puis l'oblige à les manger

Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2018


Une horrible scène se déroulait en Caroline du Nord, États-Unis. Un pédophile a enlevé une femme de 17 ans, l'a ramenée à son domicile et l'a agressée. Kimberly Walt rentrait de chez ses amis, le dimanche après-midi, quand elle dit qu'elle a été approché par Robert Williams, un criminel condamné à trois reprises.


 Williams lui a demandé si elle voulait se faire reconduire chez elle, Walt a répondu: «Non merci." Mais quand elle a tourné dans le coin de la rue, il a sauté hors des buissons, la saisit et la jeta dans sa voiture.

Williams a pris Walt à son domicile où il l'a agressé pendant plusieurs heures. Selon les rapports de police, Williams est tombé endormi après avoir bu des quantités massives d'alcool et Walt était capable de se libérer. Elle a ensuite approché Williams, l'a ligoté, et un peu de rage, saisit un couteau pour lui couper les parties génitales.

Walt a déclaré qu'il se réveilla en hurlant et en criant, elle se dirigea avec ses «parties génitales» vers le four à micro-ondes.

 «J'ai jeté les couilles de ce bâtard dans le micro-ondes, j'ai ensuite pris une fourchette et un couteau à steak et je les ai coupé en morceaux comme des saucisses», a déclaré Walt. "J'ai saisis un fusil qu'il avait laissé sur le comptoir de la cuisine, me dirigea vers lui, et je l'ai forcé à les manger. Je n'ai pas de remords et je ne suis pas fâché. Ce salaud le méritait".

Selon la déclaration de Williams. Il a été transporté à un hôpital local, bandée, pour ensuite se retrouver dans la prison de Fayetteville County. En raison des circonstances, Walt ne sera pas chargée.
Certains la prenne pour un héros. "Si nous castrerions chaque pédophile, nous aurions jamais ce problème."
 
 

La colonisation de peuplement se porte bien

Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2018

 

La colonisation de peuplement se porte bien : 263 000 premiers titres de séjour accordés par la France en 2017. Encore mieux que les 230 000 de 2016. Près de 500 000 immigrés légaux nouveaux en deux ans. Cette république détruit méthodiquement la France.