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jeudi, 03 mai 2018

L'inutile violence des Black Blocs

Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2018

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 par Patrick Parment

On pourrait souscrire au combat anticapitaliste des Black Blocs si d’aventure leur violence débouchait sur une prise de pouvoir. Or, c’est loin d’être le cas. La violence fasciste comme celle des nazis dans les années 1920 a débouché sur une prise de pouvoir parce qu’elle reposait avant tout sur le soutien du peuple. On omet trop souvent de rappeler que Mussolini comme Hitler ont pris le pouvoir le plus légalement du monde.

La situation est tout autre aujourd’hui et ces nigauds de Black machins qui rêvent de je ne sais trop quel lendemain qui déchante sont très en retard sur la violence qu’exerce le libéralisme sur le corps social. Et l’apparent régime démocratique qui nous gouverne masque mal la réalité ploutocratique de ce pouvoir.

Cette violence sociale a d’autant plus de facilité à s’exprimer que la société de consommation a détruit la solidarité des communautés naturelles et l’homogénéité du peuple. Au sein d’un paysage social littéralement dévasté, fragmenté et en partie communautariste, le libéralisme a tout lieu d’imposer sa loi d’airain.

Le vrai problème, ce n’est pas la violence aussi désuète qu’inutile des Black machins, c’est de savoir comment, au sein de cette société dite libérale, un peuple reprend son destin en main.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 02 mai 2018

Si la peine de mort existait pour les violeurs d’enfants, Angélique serait encore vivante

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

 

Combien d’autres petites filles violées et assassinées devrons-nous pleurer avant que la société se pose la question sur le rétablissement de la peine de mort pour les récidivistes ?

Combien de jeunes femmes violées et assassinées, par des « monstres », connus des services de police, connus de la justice, tous déjà condamnés et tous remis en liberté… en liberté de récidiver, de violer et d’assassiner de nouveau.

Qui sont les complices ? Notre société qui les juge, les condamne mais ne les élimine pas, afin qu’ils ne puissent jamais récidiver.

Qui ne les élimine pas parce qu’elle n’a plus ce courage, soi-disant par humanité, alors que l’humanité est absente pour des millions de morts chaque jour sur notre Terre.

Ne devraient-ils pas être poursuivis pour complicité ces magistrats, ces psychiatres, qui prennent la décision de remettre en liberté ces récidivistes ? Leurs responsabilités ne devraient-elles pas être sanctionnées ?

La liste des victimes innocentes de notre société, de notre justice, plus d’une centaine, serait trop longue à énumérer. Ces quelques cas sont présents dans ma mémoire :

  • Mélodie Massé, 23 ans, violée et assassinée par Cédric Bernarsconi. 
  • Sofiane Rasmouk, condamné à 24 reprises, placé en semi-liberté, sous prétexte d’un stage, le 7 août 2013, il violait et assassinait aussitôt deux jeunes femmes, Sandra Grolez et Priscilla Atzori. Ne sont-ils pas complices, les magistrats qui se sont laissés abuser ? 
  • Le 14 juillet 2015, une jeune femme de 31 ans, agressée sexuellement dans une église, à Poitiers. Son agresseur, David Mohamed, comptait déjà 12 condamnations, la dernière à 17 ans de prison pour viol d’une dame âgée de 85 ans. Il venait de bénéficier d’une remise de peine et le juge lui avait rendu sa liberté un mois plus tôt, à mi-juin. 
  • Fin juin de cette même année, une autre jeune femme violée, alors qu’elle faisait son jogging sur les bords du Clain, à Poitiers (Vienne). 
  • Le 16 juillet 2011, encore une jeune femme violée par un récidiviste, condamné pour viol à 4 ans de prison en 2009. 
  • Alain Penin, 42 ans, remis en liberté le 30 septembre 2009, après une condamnation à 10 ans pour viol le 30 mai 2004. Il récidive en 2010 : viol et assassinat de Natacha Mougel, à Marcq-en-Barœul. 
  • Tony Meilhon, 31 ans, remis en liberté après avoir commis 13 viols est libéré fin février 2010. En janvier 2011, il viole et assassine une jeune fille de 18 ans, Laetitia Perrais..

L’obligation de soins, c’est du pipeau ! Le suivi c’est du pipeau ! La réhabilitation c’est du pipeau ! Il n’y a pas de suivi médical rassurant, c’est faux !

Un violeur-assassin doit-il être remis en liberté ? La réponse s’impose car nous ne devons pas accepter que nos enfants, nos femmes, soient exposés à la merci de ces prédateurs sexuels, ces pédophiles, ces assassins.

Un violeur-assassin récidiviste ne doit jamais être remis en liberté. Le devoir de notre justice, de nos magistrats, est de protéger « la veuve et l’orphelin », les petites filles et les jeunes femmes.

Doit-on accepter que nos lois ne nous protègent plus ?

Au cours du XXe siècle on « lobotomisait », on « castrait », les récidivistes de viols et d’assassinats, quand ils n’étaient pas condamnés à mort, était-ce plus humain ? Non, fustigeaient les « bonnes consciences » de l’époque.

Le viol, l’assassinat, d’une petite fille, d’une jeune femme, est-ce plus humain ?

Il manque des places dans nos prisons alors ne les remplissons pas davantage, rétablissons la peine de mort pour tous les récidivistes de viols, d’assassinats, de crimes de sang.

C’est la seule sanction totalement dissuasive, la seule qui peut nous protéger, qui peut nous assurer qu’ils ne récidiveront jamais.

Il ne se passe pas un mois sans qu’un récidiviste libéré viole et assassine de nouveau.

Si vous n’avez pas le courage, Messieurs les politiques, de prendre cette décision, alors donnez la parole aux citoyens, confiez-leur la responsabilité afin qu’ils la prennent à votre place.

Combien de centaines de petites filles, d’enfants et d’adultes, femmes et hommes, seraient encore en vie aujourd’hui s’ils n’avaient pas été enlevés à l’affection des leurs par des « monstres » qui auraient dû être éliminés d’une manière ou d’une autre ?

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

Marseille : Une mosquée salafiste installée sur un terrain municipal

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

Par  le 01/05/2018

 

La mosquée salafiste des Caillols, située dans le XIIe arrondissement de Marseille, sur un terrain municipal, est surveillée par la DGSI. Arrosée de subventions, elle se trouve sur un terrain appartenant à la commune.

Vendredi 20 avril, El Hadi Doudi, l’imam salafiste connu pour ses prêches radicaux et haineux à la mosquée As-Sounna, située en plein coeur de Marseille, a été expulsé vers l’Algérie. Par un arrêté du 11 décembre, la fermeture de la mosquée a été ordonnée par la préfecture des Bouches-du-Rhône. Reste que l’imam algérien jouissait d’une grande influence et avait la mainmise sur au moins 17 mosquées du département. Dont celle des Caillols, située dans le XIIe arrondissement. Une mosquée aujourd’hui qualifiée de salafiste et surveillée comme telle par la DGSI.

Avant de se transformer en mosquée et même d’abriter une école coranique clandestine, le bâtiment était dédié à une association sportive, Jeunesse 11/12, à destination des gamins des quartiers. La structure avait été bâtie en 2005 sur un terrain appartenant à la Mairie, et l’association bénéficiait alors d’un bail emphytéotique de soixante ans, pour un loyer dérisoire de 30 euros, et de multiples subventions (394 800 euros du conseil régional et 51 000 euros de la Mairie). Jusqu’à sa mutation en association cultuelle, Les Jardins de la paix, en 2014 et, six mois plus tard, en mosquée, inaugurée en toute discrétion par Valérie Boyer, députée LR des Bouches-du-Rhône alors maire du 6e secteur de la cité phocéenne.

« La mosquée salafiste des Caillols a pu prendre racine sur un terrain municipal, arrosée de subventions et en violation totale de la loi de 1905 ! », s’insurge la conseillère municipale des XIe et XIIe arrondissements de Marseille, Élisabeth Philippe, qui s’est autosaisie du dossier. Après des courriers adressés aux préfets de région et de police, elle attend une réponse à celui envoyé début avril au ministre de l’Intérieur.

Valeurs Actuelles via fdesouche

La Pologne poursuit sa décommunisation

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

Par  le 01/05/2018

décommunisation,pologne

Pendant près de 70 ans le monument à la gloire des soldats de l’Armée rouge a dominé la grande place de Legnica, dans le sud-ouest de la Pologne, pour être finalement enlevé au petit matin ces jours-ci et finir, comme des dizaines d’autres, dans un entrepôt municipal.

« En vertu de la loi de décommunisation, les communes avaient jusqu’à la fin mars pour enlever ces monuments aux frais de l’Etat. Après ce délai, on l’aurait payé de notre poche », explique à l’AFP le porte-parole de la ville Arkadiusz Rodek.

Pour le parti conservateur nationaliste Droit et Justice (PiS), auteur de la loi du 1er avril 2016, l’Armée rouge a certes bien chassé les nazis mais elle a surtout imposé un autre régime totalitaire dont les vestiges doivent être éliminés sans merci.

La ville de Legnica, dite « le Petit Moscou » pour avoir abrité la plus grande base militaire soviétique en Pologne, a dû faire venir une grue pour enlever ce bronze de 2,5 tonnes. La statue de « gratitude » est un classique de propagande stalinienne: d’un geste fraternel mais dominateur, un soldat soviétique confie à un soldat polonais la liberté reconquise, en présence d’une petite fille, vêtue en pionnier, symbole d’un avenir radieux. Certains habitants sarcastiques voyaient dans ce duo « le premier couple homosexuel du bloc soviétique ».

En 2016, le gouvernement PiS a chargé l’Institut national de la mémoire (IPN) de superviser l’opération de décommunisation. « Tant que les monuments communistes restent dans l’espace public, ils glorifient le régime communiste. Ils doivent être démontés et transférés dans des musées de propagande communiste », comme celui de Podborsko, dans le nord-ouest, explique à l’AFP l’historien Maciej Korkuc, directeur à l’IPN, qui a répertorié quelque 300 monuments du genre.[…]

Les rues à la mémoire de Polonais des Brigades internationales de la guerre d’Espagne ont été rebaptisées, provoquant des protestations en Pologne et à l’étranger. Et Moscou voit dans la démolition des monuments une offense aux soldats soviétiques morts pour chasser de Pologne les Allemands nazis.

Aux yeux de l’opposition, le PiS réalise sa propre politique historique, érige ses propres monuments et glorifie ses propres héros. Elle se demande jusqu’où cette politique peut aller en entendant les plus radicaux, dont le Premier ministre Mateusz Morawiecki, dirent rêver de démolir le Palais de la culture et des sciences, la gigantesque tour offerte à Varsovie par Joseph Staline.

 

7sur7 via fdesouche

Lyon : un migrant clandestin viole sauvagement une dame de 87 ans pendant deux heures avant de piller son appartement

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

Par  le 02/05/2018

 

 

Grâce à de l’ADN retrouvée sur place, la police a réussi à rapidement identifier un suspect. Il s’agissait d’un individu sans-papier arrivé à Lyon quelques mois auparavant et qui vivait dans la rue. Les forces de l’ordre le connaissaient déjà car il avait réalisé plusieurs cambriolages dans l’agglomération, parfois avec violences.

L’homme a été repéré lundi après-midi à la Guillotière puis interpellé. En possession d’une bague appartenant à l’octogénaire, il n’a pas vraiment pu nier les faits. D’autant que son ADN matche avec celle retrouvée au domicile de la victime.

Lors de sa garde à vue, l’individu originaire du Maghreb a tenté de s’en sortir en expliquant être seulement âgé de 16 ans. Puis il a expliqué aux enquêteurs que sa victime était consentante.
Une version qu’il n’a pas pu tenir face à l’octogénaire lors de leur confrontation. Cette dernière a soutenu son regard, obtenant ainsi des aveux complets du violeur.

Déterminée, la police lyonnaise a réussi à confondre, identifier et retrouver en moins de dix jours un homme sans domicile fixe ni identité claire, suspecté du viol d’une dame âgée de 87 ans, perpétré à l’occasion d’un cambriolage nocturne.

Les faits se sont produits dans la nuit du dimanche 22 avril dernier. Vers 2 heures du matin, l’homme rentre par effraction dans un domicile, situé dans un immeuble du 9e arrondissement de Lyon. La locataire, seule chez elle, l’entend, se réveille et le surprend. Le malfaiteur s’en prend sans vergogne à l’octogénaire.

Visage dissimulé par un foulard, ganté, armé d’un couteau, il la viole, sauvagement. La scène dure près de deux heures. En puisant toutes ses forces, la victime parvient à le désarmer.

Le Progrès via fdesouche