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samedi, 19 janvier 2019

Progressisme : des cours de récré « non genrées » dans deux nouvelles écoles rennaises

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2019

Mis à jour le 18 janvier 2019 Auteur par Pierrot
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Pour éviter aux garçons de rester entre eux dans la cour d’école, en jouant au football par exemple, des fanatiques progressistes souhaitent forcer les enfants à jouer ensemble pour réduire les « inégalités ». Une folie de plus… 

Trouvé sur Ouest France : Deux nouvelles écoles ouvriront leurs portes en 2023 à Rennes. La première dans le nouveau quartier de Baud-Chardonnet, en bordure de Vilaine. La seconde à Maurepas, près de la future place de l’Europe.

Ces deux nouveaux groupes scolaires seront ouverts sur l’extérieur avec, notamment, des « coins nature ». Autre point commun, la volonté de créer des cours de récré « non genrées », pour lutter contre les stéréotypes.

Concrètement, dans les cours d’école, les garçons ont plutôt tendance à jouer au milieu tandis que les filles se mettent sur les côtés.

Pour bannir ces habitudes et réparer cette injustice, la Ville de Rennes a décidé que les cours de récré offriront un espace partagé entre garçons et filles.

Le conseil municipal a validé (le 8 octobre) la mise en place « de cours de taille suffisante pour permettre la création d’espaces de jeux diversifiés, appropriables par tous (non « genrés ») et participant au bon climat scolaire ».

Pour le moment, le sujet est à l’état de réflexion et porte sur l’aménagement de la cour ainsi que sur les activités. Le but est d’éviter que certains espaces de la cour soient réservés à un jeu unique. Plus question, par exemple, d’avoir des bandes blanches qui délimitent le terrain de foot au centre de la cour. La mairie veut aussi former le personnel périscolaire aux inégalités filles garçons.

 

Source : contre-info

vendredi, 18 janvier 2019

Les “valeurs” de la République : un fromage abondant…

Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2019

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Les “valeurs” de la République : un fromage abondant…

Suite au scandale de la rémunération de Chantal Jouanno (plus de 172 000€ en 2018), Jacques Toubon a été interrogé jeudi sur le montant de son salaire et le total de ses rémunérations. Le Défenseur des droits qui percevrait près de 30 000 euros n’a pas détaillé le montant de ses rémunérations mais n’a pas non plus démenti les faits. Comme Défenseur des Droits, il perçoit donc 15.725 euros mensuels auxquels s’ajoutent ses pensions d’administrateur civil et de conseiller d’État ainsi que sa triple retraite d’adjoint au maire de Paris, de député et de parlementaire européen. Et il s’étonne que cela puisse choquer:

«Je ne comprends pas que ça choque, c’est un travail à plein temps pour lequel je suis rémunéré conformément aux règles».

A titre de comparaison, le salaire net médian (niveau de rémunération qui sépare un effectif de salariés en deux moitiés comportant le même nombre de personnes) mesuré en équivalent temps plein par l’Insee se monte à 1.797 euros par mois selon les dernières statistiques disponibles (2015, contre 1.783 euros en 2014), hors salaire des apprentis et des stagiaires.

Il est donc utile, par pur populisme, à la veille de l’acte X des Gilets jaunes, d’indiquer le montant des fantastiques fromages que se partagent nos zélites recasées à la tête de commissions souvent inconnues et aux travaux obscurs (appelées Autorités Administratives Indépendantes), le tout avec nos impôts. Aurait-on enfin percé le mystère des sacro-saintes “valeurs”, sonnantes et trébuchantes, de la République :

 

Source : lesalonbeige

Le Parti de la France à la Marche pour la Vie dimanche 20 janvier !

Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2019

Comme chaque année, le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à participer à la grande Marche pour la Vie qui se déroulera dimanche 20 janvier à Paris (13h30 - porte Dauphine). 


jeudi, 17 janvier 2019

« Pognon de dingue » : l’envoi de la lettre de Macron devrait coûter environ 10 millions d’€

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2019

Mis à jour le 16 janvier 2019 Auteur par Pierrot
contre-info

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Déjà diffusée sur internet, abondamment relayée et commentée, la lettre qu’Emmanuel Macron adresse aux Français, alors que s’ouvre le « grand débat », sera finalement bien envoyée par courrier.

Une décision politique : pour renouer le contact avec les Français, le président de la République ne peut se contenter de passer par les médias. Dimanche 13 janvier en fin d’après-midi, il a donc décidé d’adresser sa lettre à chacun des Français, qui devrait la recevoir rapidement chez lui. 

Selon France-Inter, le chef de l’Etat avait hésité à la faire envoyer dans un premier temps. Pour des raisons financières : le coût de l’envoi devrait avoisiner les 10 millions d’euros, de quoi susciter des critiques alors que le gouvernement tente de sortir par le haut de cette crise du pouvoir d’achat.

Mais visiblement peu importe, selon un député réputé proche de l’Elysée. Désormais la décision serait prise. C’est Emmanuel Macron, qui seul, a fini par trancher.

Source:L'Obs

mercredi, 16 janvier 2019

L’Algérie ne veut plus enterrer nos Franco-Algériens de Marseille !

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2019

Auteur : Manuel Gomez

L’Algérie refuse à présent de recevoir les dépouilles des Algériens assassinés dans les Bouches-du-Rhône et plus précisément à Marseille.

Trop c’est trop.

Les autorités algériennes en ont fait une demande officielle à l’État français.

L’Algérie ne veut plus des corps de ces Algériens qui sont victimes de règlements de comptes entre gangs qui se disputent le monopole du trafic de stupéfiants.

Depuis 2012 on compte officiellement 137 morts, dont 29 en 2016 (c’est le record pour le moment) et chaque rapatriement de dépouille de l’un de ces trafiquants fait éclater des tensions entre les familles sur le territoire algérien.

Car il faut savoir que ce sont principalement deux familles originaires de l’Est algérien, plus précisément des régions de Khenchela, Menzel, pour l’une, et de Kais pour l’autre, qui se livrent une guerre sans merci dans la région marseillaise et a des prolongements très inquiétants en Algérie.

Les « Remadnia » et les « Tir », soutenus par une autre famille de trafiquants algériens, les Berrebouh, dirigent le trafic de drogue depuis quelques années dans toutes les Bouches-du-Rhône, avec leur siège social dans les quartiers nord de la cité phocéenne et cela dans une relative impunité des services de police qui se contentent de comptabiliser les cadavres.

Ces deux familles s’éliminent physiquement mais elles sont confrontées également à d’autres gangs de ces quartiers nord, celui des « Gitans » et celui des « Blacks », composés également de quelques Algériens dissidents qu’il est nécessaire d’éliminer afin de conserver la suprématie.

Ils sont bien loin les Spirito et Carbone de l’avant-guerre et les frères Guérini de l’après-guerre, il n’y a plus ces noms qui fleuraient bon le « vieux Marseille » : Francis le Belge, Jacky le Mat, Tany Zampa et j’en passe.

Aujourd’hui comment peut-on retenir les patronymes de ceux qui tombent, les Medhi, Karim, Saïd, Farid, etc. souvent « résidents » de ces cités de la Castellane glorifiées quelques années plus tôt par la réussite d’un Zidane ?

Mercredi 9 janvier 2018, c’est un jeune Algérien, âgé de 25 ans, qui a été abattu par balles en pleine rue, devant un garage à Bastille, dans le quartier Saint-Louis. Il était, soi-disant, revendeur de voitures. Sera-t-il inhumé en Algérie ?

L’Algérie réclame depuis des années les crânes des 37 résistants « à la colonisation » (de 1830 à 1962) conservés au Musée de l’Homme, à Paris mais refuse les cadavres des délinquants marseillais, d’origine algérienne.

Il est vrai qu’ils sont bien plus nombreux que ceux des résistants et qu’il y en aura d’autres chaque nouvelle année.

Il est vrai également que si ces criminels binationaux étaient tout simplement expulsés dès leur première condamnation, la question ne se poserait pas car ils retourneraient dans « leur pays » vivants… pour le moment !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique