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mercredi, 29 juin 2016

Les évêques européens contrariés par le Brexit et contre les nationalismes

Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2016

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Ils ont attendus quelques jours avant de faire une déclaration au sujet du Brexit et de leur projet pour l’Europe. Ils, ce sont les évêques accrédités auprès de l’Union Européennes et membres de la Commission des Episcopats de la Communauté Européenne (COMECE), soutien inconditionnel du nouvel ordre mondial, qui a milité activement contre la sortie du Royaume-Uni de l’UE.

Sous les oripeaux de ce nouvel humanisme mondialiste, « le véritable humanisme européen, celui que le Pape François a encouragé les Européens à prendre dans son discours de réception du Prix Charlemagne« , qu’ils prêchent de concert avec le Vatican au lieu de prêcher Jésus-Christ et son Royaume qui n’est pas de ce monde, ils viennent de publier un communiqué de presse, le 27 juin 2016, dans lequel ils déplorent le vote du Brexit, « Il convient naturellement de respecter cette décision des électeurs britanniques, même si nous la regrettons profondément en tant que COMECE «  et se disent près à combattre fermement toutes formes de nationalisme dans les pays européens qui « ne doit pas devenir à nouveau le levier de l’exclusion, de l’hostilité et de la discorde. Nous nous y opposerons en tant qu’Église de toutes nos forces. »

Petit rappel sous-entendu des heures les plus sombres de notre histoire pour mieux culpabiliser des peuples européens qui aspirent à rester eux-mêmes et à ne pas se dissoudre dans le creuset du multi-culturalisme, du multi-ethnicisme, du multi-religieux, ferment d’une humanité métisse, servile et apatride !

Au nom d’« un avenir meilleur » utopique, d’« une responsabilité morale envers le monde, les pays les plus pauvres, la sauvegarde de la création et la limitation du changement climatique », qu’auraient les nations européennes, le cardinal Reinhard Marx, Président de la COMECE, et accessoirement véritable courroie de transmission, au sein du monde catholique, des idéologies droit de l’hommiste, homosexualiste et mondialiste, a signé cette déclaration de guerre contre les nationalismes et pacifique envers cette Europe technocratique, bureaucratique, fossoyeuse de la véritable âme de l’Europe, la civilisation chrétienne, seule garante d’un ordre de paix et d’unité pour le Vieux Continent. Déclaration philanthropique, anthropocentrique, anti-nationaliste, aux accents maçonniques, que n’importe quel homme politique du système aurait tout aussi bien pu écrire. Pas de véritable sève catholique dans cette déclaration épiscopale !

Il serait bon qu’ils méditent, ces princes de l’Eglise conciliaire, sur ses paroles de Georges Bernanos écrites après la Libération, in« Français si vous saviez 1945-1948 », prophétiques pour notre temps de décomposition avancée et  d’affermissement de la dictature universelle aux noms des lois du marché et du meilleur des mondes, dont l’Union Européenne est un vecteur indispensable  :

« Les gouvernements prétendent convaincre les peuples qu’ils sont ingouvernables et, pour les rendre gouvernables, ils ne songent qu’à renforcer la puissance, déjà énorme, de l’État. Mais ce n’est pas l’État qu’ils renforcent, c’est l’Administration, qui deviendra bientôt cette équipe de techniciens tout-puissants, incontrôlables, irresponsables, instrument nécessaire de la prochaine, de la très prochaine dictature universelle.

Vous avez laissé s’organiser un monde où l’homme ne peut plus vivre qu’en troupeau.

On a répété déjà bien des fois, et sur tous les tons, que l’Ordre en train de naître était un ordre inhumain. (…) L’humanité se trouve désormais divisée en deux parts, d’ailleurs très inégales. La première accepte, sous le nom de Progrès, cet Ordre, elle y a déjà conformé son esprit. La deuxième – ou plutôt ta poignée d’hommes qui la refusent – ne saurait rien lui opposer que son refus. La barbarie polytechnique menaçante n’a plus devant elle que des consciences. Mais les consciences ne sont pas des signes abstraits, elles s’incarnent, elles animent des êtres de chair et de sang, capables de souffrir et de mourir. La barbarie polytechnique, demain comme hier, reculera devant les Martyrs. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Haine anti-flics : Cazeneuve n’a pas déposé plainte contre le maire de Grenoble

Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2016

Eric Piolle, le maire de Grenoble (EELV), a subventionné un festival de « street art » à hauteur de 25.000 euros, dont une fresque représentant deux policiers matraquant Mariane à terre, porteuse du drapeau tricolore lacéré.

Fresque anti-flics sur un mur du quartier de la gare à Grenoble

Fresque anti-flics sur un mur du quartier de la gare à Grenoble

Suite à la légitime réaction en chaine qui s’en est suivie, Eric Piolle assume entièrement, en se posant comme le garant de la liberté d’expression, affirmant ne « pas comprendre la polémique ».

Il est à noter que parmi les indignés officiels figurent des élus de tous bords, mais aussi le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de l’Isère, et Bernard Cazeneuve, qui a « fermement réagi » à sa manière : avec un tweet de soutien aux policiers ! Nous l’avons connu bien plus prompt à ester en justice !

Tweet de soutien de Bernard Cazeneuve

Tweet de soutien de Bernard Cazeneuve

Pour désamorcer, Eric Piolle a fait savoir que le mur supportant la fresque doit être prochainement détruit (ce serait une question de jours ou de semaines), et se permet de rappeler la grande manifestation de soutien qui a suivi l’attentat de Charlie Hebdo. L’organisateur du festival, quant à lui, a précisé que « l’artiste anonyme » a nommé depuis sa fresque « L’Etat matraquant la Liberté »… La belle affaire.

Eric Piolle, maire EELV de Grenoble

Eric Piolle, maire EELV de Grenoble

Ces pirouettes visant à justifier l’injustifiable sont purement et simplement inacceptables, en ce qu’elles constituent un bras d’honneur adressé à celles et ceux qui protestent, considérés comme des ignares n’ayant rien compris à la démarche de l’artiste de rue ayant perçu de l’argent public, et comme des pourfendeurs de nos libertés fondamentales.

Il convient de recadrer vertement le maire de Grenoble. Nous savons le prix de la liberté. Notre liberté d’expression, nous la payons chaque jour au prix fort, au point que tout le monde s’accorde sur le fait qu’elle est depuis longtemps à géométrie variable dans notre pays. Là n’est pas le problème.

Le problème, c’est lorsqu’un maire tel qu’Eric Piolle, dont il convient de préciser qu’il est vivement critiqué pour sa gestion, notamment en matière de sécurité (il a réussi en un temps record à braquer contre lui sa police municipale, qu’il a notamment refusé d’armer alors que tout avait été prévu par la municipalité sortante), se prend pour le garant de nos libertés fondamentales, ce qui en dit long sur la mégalomanie du personnage.

Le problème, c’est lorsqu’un maire tel qu’Eric Piolle, dont il convient de rappeller que la commune est particulièrement criminogène, se prend une volée de protestations officielles et qu’il refuse d’en tenir compte, faisant mine de ne pas comprendre l’immense outrage dont il s’est rendu responsable avec l’argent de ses administrés.

Le problème, c’est lorsqu’un maire tel qu’Eric Piolle, sous couvert de protester contre une « polémique » dont il est lui-même responsable, se fait de la publicité sur le sang versé par les centaines de policiers blessés depuis le début des manifestations sur la Loi Travail (des dizaines par semaine actuellement), et dans un contexte – faut-il le rappeler – où deux d’entre eux ont récemment payé de leur vie d’être ce qu’ils étaient : des serviteurs de l’Etat au service de la population.

Le problème, c’est lorsqu’un maire tel qu’Eric Piolle refuse de retirer la fresque qui incite clairement à la haine anti-flics, et bien entendu d’exprimer ses excuses face à la vague de protestations la concernant, en arguant de poncifs fallacieux. Il aurait répondu « je vous emmerde » que les choses eut été moins blessantes.

Le problème enfin, c’est que des gens puissent voter pour des tocards tels qu’Eric Piolle (je fais usage de ma « liberté d’expression »), sans comprendre qu’en confiant la gestion de leur ville à ce genre de personnage ils vont droit dans le mur, qu’il soit ou non couverts d’une fresque honteuse.

A Grenoble,  ce n’est pas tant le « mur de la honte » qui doit être démoli que la politique du « maire de la honte »…

Sébastien JALLAMION

 

Source : ripostelaique

Terrorisme : le RAID interpelle trois suspects à Carcassonne et Perpignan

Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2016

Le 28 juin à 16h27 par Laure Moysset

Les policiers de la sécurité intérieure (DGSI) sont intervenus ce mardi matin à Carcassonne. Un couple a  été interpellées sur le hameau de Montredon lors d'une vaste opération qui aurait mobilisé entre autres les policiers du RAID de Bordeaux. 

Selon nos informations, un autre homme a été arrêté à Perpignan dans le cadre de cette même affaire. Les suspects seraient actuellement en garde à vue pour "association de malfaiteurs" et "préparation en vue de commettre un acte terroriste". Une mesure qui peut durer jusqu'à 4 jours. 

On ignore pour l'heure quelles villes et quelles cibles auraient été visées et si ces arrestations sont en lien avec celle d'un Tarnais de 22 ans le 13 juin dernier à Carcassonne toujours, en possession d'armes blanches et qui aurait confié aux enquêteurs vouloir commettre un attentat contre des touristes et des forces de l'ordre. 

 

Source : lindependant

 

lundi, 27 juin 2016

Maintenant, ils veulent des avocates voilées !

Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2016

voileedrapeau« Une avocate musulmane demande à plaider voilée pour respecter l’Islam au tribunal de Bobigny.

Lors d’une réunion de l’ordre des avocats de Seine-Saint-Denis, son bâtonnier, Stéphane Campana, a ouvert le débat auprès de ses confrères. A l’origine de cette question, la prestation d’une jeune avocate du barreau de Seine-Saint-Denis lors d’un récent concours d’éloquence.

Lors de sa plaidoirie, la lauréate portait la toque historique de l’avocat, datant du 19e siècle, tombée en désuétude depuis des décennies. Sous son chapeau un léger voile bleu couvrait une partie de la nuque. Le détail a surpris les jurés mais ne les a pas empêchés de primer l’avocate. Cette scène a rapidement fait le tour du tribunal et pourrait bien constituer une première tentative de faire accepter le voile islamique dans les tribunaux français… »

Une avocate veut plaider voilée…en France | Coolamnews – Un nouveau regard sur Israël

Nous voici devant une nouvelle forme d’entrisme, une attitude qui se prétend anodine pour mieux tromper. Une forme insidieuse de prosélytisme qui n’avoue pas son nom. L’éternel « toujours plus » propre à cette communauté qui se prétend toujours victime de discriminations, alors que, très clairement, elle crée les discriminations – en sa faveur – en réclamant, que dis-je réclamant, comme au cas présent, en imposant, avec un culot monstre des dérogations aux règles en vigueur, sachant très bien qu’en France, faute de volonté et de courage des représentants des institutions, personne n’ose réagir avec fermeté.

Et pourtant, le port du voile est-il compatible avec l’exercice de la profession d’avocat ?

La réponse est claire. Dans un communiqué, Pierre-Olivier SUR, bâtonnier du Barreau de Paris et Laurent Martinet, vice-bâtonnier du Barreau de Paris, ont rappelé que « le port de la robe est évidemment exclusif de celui de tout signe religieux distinctif ». Le port de la robe est réglementé et uniformisé pour tous les avocats sans signe distinctif d’origine religieuse, philosophique, politique ou culturelle.

Le principe d’indépendance de l’avocat impose, notamment dans l’exercice de ses fonctions de représentation de ses clients, de ne faire état ni d’exprimer d’une manière ou d’une autre ses conceptions philosophiques, politiques ou religieuses.

Dès lors que la demande de la jeune avocate est clairement de nature religieuse, elle entre de fait dans les incompatibilités avec l’exercice de la profession, et il semble inutile de redéfinir le principe de laïcité lorsque les règles liées à l’exercice de la profession suffisent à elles-seules pour justifier l’interdiction de tout signe religieux distinctif lorsque l’avocat porte la robe. Tout débat sur ce sujet semble totalement superflu, et la demoiselle devrait même être passible d’un blâme pour s’être présentée en contravention avec les règles les plus élémentaires régissant la profession d’avocat !

Mais ce sont là des comportements que nous ne connaissons que trop bien, que nous observons, ou subissons, au quotidien dans tous les domaines de la vie en société, mais que nous supportons de moins en moins …et cela va s’aggraver parce que les Français n’en peuvent plus de la mauvaise foi, des récriminations, des mensonges permanents, du culot, des pleurnicheries, et du reste….

Musulmans, cessez de jouer les victimes que vous n’êtes pas, la coupe est pleine ! Et si vous voulez vivre pleinement votre stupide religion, allez vivre dans un pays musulman !

Oriana Garibaldi

 

Source : ripostelaique

Joseph Hirt, « survivant d’Auschwitz », avoue avoir tout inventé

Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2016

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Régulièrement invité dans les écoles, les universités et à la télévision, Joseph Hirt, 91 ans, habitant Adamstown en Pennsylvanie, a voyagé pendant des dizaines d’années à travers les Etats-Unis pour donner des conférences sur l’Holocauste et raconter son évasion d’Auschwitz alors que son corps ressemblait à un «squelette de 28 kg recouvert de peau».

Mais Joseph Hirt vient d’avouer qu’il avait menti.

Lui qui multipliait les détails durant ses récits, racontant sa rencontre avec le docteur Josef Mengele, qui menait des expériences médicales sur les détenus  ou comment il avait réussi à passer sous des fils barbelés et à s’évader d’Auschwitz, a fini par admettre qu’il avait tout inventé, s’excusant publiquement auprès de ceux à qui son histoire pourrait nuire.

«Je n’étais pas prisonnier là-bas.», a-t-il avoué.

C’est un professeur d’histoire à Turin, Andrew Reid, qui a décelé des «incohérences» dans le récit de Joseph Hirt. Le 15 avril, il assistait à une conférence de Joseph Hirt à New-York. Joseph Hirt y a montré le numéro de prisonnier tatoué sur le haut de son avant-bras. Le professeur d’histoire, qui écoutait attentivement, a remarqué que Joseph Hirt déclarait avoir été capturé par les nazis, déporté à Auschwitz en 1941 avant de parvenir à s’échapper du camp de concentration en 1942, le 31 mars exactement, jour de l’anniversaire de son père. Mais d’après les responsables du Musée National d’Auschwitz-Birkenau, le numéro de prisonnier tatoué sur le haut de l’avant-bras de Joseph Hirt correspond à celui d’un Polonais arrivée à Auschwitz en 1944.

Le site du musée américain de l’Holocauste a également fait remarqué que la méthode de tatouage au niveau de la face interne du haut de l’avant-bras gauche des prisonniers d’Auschwitz, là où se trouve celui de Joseph Hirt, n’est entrée en vigueur qu’en 1943, soit deux ans après que, selon ses dires, il y ait été déporté. Enfin, les officiels du Musée National d’Auschwitz-Birkenau ont déclaré à Andrew Reid qu’il n’y avait eu «qu’une seule évasion» recensée au cours de la période avancée par Joseph Hirt et qu’il ne s’agissait pas de la sienne.

Pas sûr que l’affaire fasse l’objet d’un reportage au journal télévisé… Ni que les étudiants soient avertis qu’ils ont écouté un faussaire.

 

Source : medias-presse.info