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mercredi, 22 juin 2016

Toulouse : «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants» (Màj : Hassen condamné)

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2016

Par le 22/06/2016

L’homme qui avait menacé des policiers de la brigade anticriminalité, mardi soir, place des Pradettes à Toulouse, est passé en comparution immédiate, jeudi, devant le tribunal correctionnel, qui l’a condamné, pour menaces de mort, outrages et rébellion, à 30 mois de prison ferme.

Le ministère public avait requis 24 mois de prison à l’encontre du prévenu, Hassen Koufa, 44 ans, dont le casier judiciaire comporte 32 condamnations.

Les faits se sont déroulés 24 heures après l’attaque meurtrière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste se réclamant de l’organisation État islamique. C’est dans ce contexte très particulier et tendu que des fonctionnaires de la BAC ont été pris à partie alors qu’ils contrôlaient un groupe de jeunes gens. C’est à ce moment-là que l’homme est arrivé. «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants !» Interpellé et placé en garde à vue, cet homme avait d’abord refusé d’être entendu. [...]

La Dépêche


24 heures après l’attaque meurtière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste ayant prêté allégeance à l’organisation Etat islamique, un homme a menacé des policiers mardi soir place des Pradettes à Toulouse.

Alors que des agents de la BAC, la brigade anti-criminalité de Toulouse, contrôlaient un individu qui consommait de l’alcool sur la voie publique, vers 22 heures 30 place des Pradettes, ce dernier s’est mis à les invectiver d’une manière pour le moins menaçante. Il a en effet affirmé qu’il allait « égorger » les policiers et « mettre une balle dans la tête de leurs femmes et de leurs enfants ».

L’homme âgé de 44 ans, qui était sous l’emprise de l’alcool, a été interpellé et placé en garde à vue à Toulouse. Il devrait être déferré au parquet dans la journée.

La Dépêche

Attali : la dictature bureaucratique pour préserver le « progrès » !

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2016

RI7Attali soleil vert bisAttali manque rarement une occasion de se taire. On se souvient en effet de son appel à l’euthanasie sociale, à la limitation de la durée de vie pour le brave pékin, le comme vous ou comme moi ; on se souvient aussi de son « islam libérateur » publié en 2006 dans un quotidien gratuit du métro…

Cette fois, c’est quoi, Attali ?
Le référendum anglais ne lui plait pas. Même emporté d’une courte majorité par les tenants du oui du fait de l’émotion suscitée par l’assassinat d’une députée du Labour ardente militante de l’union europoïde, rien ne sera probablement tout à fait comme avant le vote emporté d’une courte tête et le refus du désordre europoïde ne va certainement pas refluer, au contraire même.

Attali phosphore : il faut « protéger le progrès », il faut le « sanctuariser ». « Un tel référendum (le brexit) implique qu’un peuple peut remettre en cause toute évolution considérée comme irréversible, telle qu’une réforme institutionnelle, une conquête sociale, une réforme des mœurs »…

C’est quoi Attali ?
C’est dire qu’il faut verrouiller ; c’est remettre au goût du jour les mœurs bureaucratiques et policières du « socialisme réel » ; comment ? Des sujets seraient sanctuarisés (qui déciderait de ces sujets ?) : il faudrait un vote aux deux-tiers, répété trois fois à un an de distance chacun, pour défaire ce qui aurait été fait.

Je propose, monsieur Verbatim, qu’on vous prenne au mot, en conséquence :
Le traité de Maastricht, réforme institutionnelle fondamentale, n’existe plus.
Il n’a bien été voté qu’une fois, en septembre 1992, non ?
N’a-t-il pas été emporté par François Mitterrand-Edmund Kohl, qu’avec quelques dizaines de milliers de voix d’avance ?

En d’autres termes, ce traité n’existe pas, il n’existe plus. Il n’a pas été le fait d’un choix éclairé du corps électoral. Il n’a été pris qu’à quelques voix d’avance, quand tout était mobilisé, dans tous les médias agissant en supplétifs des gouvernements et de leurs partis, pour le faire triompher.

Ailleurs qu’en France, le Peuple, dont vous faites un cas si spécial, n’a même pas été convié à dire ce qu’il en pensait, de ce traité.

En Irlande, on vous a partiellement suivi, en ne tenant pas compte du vote Non et en refaisant voter le peuple. Le second vote n’a cependant pas été obtenu à 60% mais n’a été suivi d’aucun autre, malgré le mécontentement consécutif à la réalité des effets des transferts de souveraineté.

Les réformes des régimes de retraite ont-ils quelque part été soumis au vote référendaire, au moins une fois ?

Les retraites par répartition n’entrent-elles pas dans la catégorie des « réformes sociales » que l’on aurait pu penser être irréversibles ? Pourtant, dans le cadre de la MOC (méthode ouverte de convergence), en 2002, la bureaucratie européenne a décidé de confier aux « gouvernements » de l’union européenne de mettre progressivement en place un régime de pension par répartition les amenant en 2050 à un montant égal à la moitié de celui de ces pensions au moment de la prise de décision (2002).

Où et quand le « peuple », les peuples, -que vous assimilez à une populace incapable de décider – ont-ils été informés de ce choix stratégique destiné, à l’époque, à ouvrir un espace croissant au système failli des fonds de pension ?

Chiche, monsieur Attali.
Par conséquent, le traité de Maastricht, la Banque centrale européenne, les « réformes des retraites », disparaissent.
Ils n’ont pas été ratifiées par trois votes réunissant chacun 60% : on revient donc à la situation de 2002 pour les retraites ; la bureaucratie de l’union européenne et ses affidés auront trois fois un an, pour trois référendums, pour convaincre les retraités et les futurs retraités que la pauvreté, la très grande pauvreté confinant souvent à la misère, sera salutaire parce qu’il n’y a pas d’autre voie croyez-vous.
Mais là je rêve, évidemment.

La méthode Attali n’est manifestement qu’une odieuse et unilatérale procédure bureaucratique et totalitaire, seulement destinée à permettre à la bureaucratie de Bruxelles de tout décider, pour ne rien autoriser à un gouvernement qui ne partagerait pas les choix de la bureaucratie.

Alon Gilad

 

Source : ripostelaique

Marie-Sophie Lacarrau prend les rênes du 13 heures de France 2

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2016

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La Toulousaine, présentatrice des journaux de France 3 Midi-Pyrénées, a été choisie pour succéder à Elise Lucet, désormais patronne d’Envoyé Spécial et de Complément d’Enquête.

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C’est donc la journaliste toulousaine Marie-Sophie Lacarrau, jusqu’à présent présentatrice des éditions régionales de France 3 Midi-Pyrénées à Toulouse qui a été choisie par Michel Field, le patron de l’info à France Télévisions pour succéder à Elise Lucet. La présentatrice du 13 heures vient d’être nommée à la tête des magazines d’information du jeudi soir sur France 2, « Envoyé  Spécial » et « Complément d’Enquête ».

Après avoir été le « joker » de Carole Guessler au 19/20 national de France 3, Marie Sophie Lacarrau assurait depuis 2014 l’intérim d’Elise Lucet au 13 heures de France 2,notamment pendant les périodes de congés ou lorsque la présentatrice était mobilisée sur son émission phare « Cash Investigation ». La direction de l’info de la chaîne a pris son temps pour décider de la succession d’Elise Lucet et c’est donc Marie-Sophie Lacarrau, habituée à ce rôle, qui a été sélectionnée. Elle présente également depuis cette année In Situ, le magazine économique des rédactions régionales de France 3.

Sa nomination va s’accompagner d’une refonte du rendez-vous d’info de la mi-journée sur France 2, dont la nouvelle formule sera mise à l’antenne en septembre.

Cette Aveyronnaise d’origine va donc quitter la rédaction de France 3 Midi-Pyrénéespour rejoindre celle de France 2 où elle a donc déjà ses habitudes. A Toulouse, ceux qui ont travaillé à ses côtés savent que Marie-Sophie est une professionnelle d’une grande simplicité et d’une infinie rigueur. Chacun se réjouit de cette nomination.

FV

 

Source : france3-regions.blog.francetvinfo

Tragédie cristeros : le 22 juin 1929, le Vatican « s’arrangeait » avec le gouvernement mexicain

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2016

22 juin 2016 par admin4

Et signait des « accords de paix » – ce qui fut vécu par de nombreux catholiques comme une trahison – aux conséquences sanglantes.
Il demandait aux Indiens catholiques, qui s’étaient légitimement révoltés face au gouvernement socialiste et franc-maçon violemment antichrétien, de déposer les armes, sous peine d’excommunication !

Quelques années plus tôt, le 1er décembre 1924, le président mexicain avait privé de droits civiques les catholiques (laïcs et prêtres) sous prétexte qu’ils obéissaient à un souverain étranger, le pape ! Il avait expulsé le nonce, l’ambassadeur du Vatican, ainsi que tous les ecclésiastiques étrangers. Il avait interdit les congrégations enseignantes et fermé pas moins de 20.000 églises !

 

Le clergé se rebiffa et suspendit le 31 juillet 1926 l’administration des sacrements dans tout le pays pour une durée de trois ans. Les paysans indiens du Jalisco se soulevèrent contre les autorités de la capitale au cri de « Viva Cristo Rey !» (Vive le Christ-Roi !), dans un parallèle frappant avec le soulèvement des Vendéens en 1793, en lutte contre les Républicains. Ils furent appelés les Cristeros.

Avec 50.000 combattants, ils constituèrent la plus importante rébellion qu’ait jamais connue le pays et parvinrent à conquérir la moitié des 30 États de la Fédération.

Ce soulèvement des soldats du Christ-Roi fut réprimé de la manière la plus brutale qui soit. Pour l’occasion, le général Calles (chef des forces gouvernementales) accepta même de se réconcilier avec les États-Unis. Il accepta des concessions sur le pétrole en échange de l’aide de l’US Air Force dans son combat contre lesCristeros.

En 1929, le gouvernement promit une amnistie pour les rebelles et s’engagea à ne plus tenter d’appliquer les articles antireligieux de la Constitution. Dans les faits, l’amnistie ne fut pas respectée et des milliers d’insurgés furent assassinés dans d’atroces conditions après avoir rendu leurs armes sur ordre de leur évêque.

Environ 500 dirigeants cristeros et 5 000 autres Cristeros auraient été abattus, souvent à leur domicile et en face de leurs conjoints et de leurs enfants.

Le général Luis Garfias reconnaîtra dansEpoca le 4 janvier 1993 : «L’armée fédérale a mené une guerre sans pitié. Elle ne faisait pas de prisonniers, les civils étaient pris comme otages et beaucoup d’entre eux fusillés. La torture fut systématique, on détruisit d’innombrables villages et hameaux ».

Pour creuser le sujet, on peut lire « La véritable histoire des Cristeros » d’Hugues Kéraly, disponible ici.
Un film, bien fait en dépit de certaines lacunes historiques regrettables, est aussi sorti en 2012 (disponible ici).

Source : T. de Chassey

La communion des combattants :
Messe dans un champ avec les soldats cristeros

 
Source : contre-info

 

mardi, 21 juin 2016

Grèves et conflit social : Alain Escada plaide pour une troisième voie, le catholicisme social

Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2016

conflit-social

Alain Escada a accordé à MPI-TV un entretien en deux parties dans lequel il fait l’analyse de la situation sociale en Europe. Force est de constater que les mêmes troubles sociaux apparaissent dans les pays d’Europe, alors que les gouvernements sont de bords opposés. Il prône alors une troisième voie, qui est celle du catholicisme social.

 

Source : medias-presse.info