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jeudi, 10 mars 2016

Haro sur Guillaume Gallienne pour ses propos sur le film Fatima

En France, il ne faut pas toucher aux tabous sous peine d’excommunication. Guillaume Gallienne l’apprend à ses dépens.

Je ne vais pas me livrer ici à l’art difficile, et tout à fait subjectif, de la critique de cinéma. Je me dois, d’ailleurs, de vous avouer ne pas encore avoir vu le filmFatima. Il n’y a rien de plus malhonnête que de juger une œuvre, quelle qu’elle soit, sur ses intentions ou l’idée que l’on peut s’en faire dans les médias et ailleurs.

Tout juste vais-je me contenter d’analyser les réactions qui ont fait suite à l’attribution du César du meilleur film au dernier opus de Philippe Faucon, réalisateur auparavant peu connu, et pas spécifiquement distingué par les critiques.

Son œuvre traite principalement de la question de l’immigration musulmane en France. Avant Fatima, il a réalisé La Désintégration, qui racontait la « radicalisation » de deux jeunes des quartiers dits « sensibles », et dans lequel jouait Rashid Debbouze, frère de.

J’avais trouvé malsaine la fascination ressentie par le réalisateur pour son personnage principal, salafiste haïssant la France. Triste ironie de l’Histoire, Charlie Hebdo avait descendu le film : « Lénifiant, d’une platitude analytique et esthétique qui ferait passer un exposé de collège pour une thèse de normalien, ce téléfilm aux allures de docu-fiction appliqué révèle un nouveau journaliste, mais pas encore un cinéaste. »

C’est avec un thème plus consensuel que Philippe Faucon se voit aujourd’hui consacré. Fatima narre l’histoire d’une femme de ménage d’origine maghrébine qui renoue avec ses filles suite à un accident de travail l’obligeant à s’arrêter. Un film au thème très « service public », louchant du côté d’un réalisme social qui plaît généralement aux jurés et aux institutions, ministère de la Culture compris. La plupart des critiques ont été bonnes, sans excès.

Dans ce concert de louanges polies, quelques voix dissonantes, notamment celle de Patricia Neves pour Marianne : « Bourré de bons sentiments voire de clichés – la mère dévouée, la patronne bourgeoise pingre, l’enfant pauvre qui veut devenir médecin et l’enfant riche qui ne fout rien, etc. -, le film déroule alors une succession de tableaux attendus qui frisent parfois la caricature. »

Typiquement le discours délivré à nos enfants en cours d’éducation juridique et sociale. L’immigrée est gentille, ses enfants sont vaillants. La Française « de souche » est radine, ses enfants sont mal élevés et fainéants. Certes, je n’ai pas vu le film. Pourtant, mon petit doigt me dit qu’il doit y avoir du vrai dans la critique de Patricia Neves. Fatimasemble avoir toutes les caractéristiques du mauvais épisode de L’Institdéguisé en film de cinéma.

Un professionnel du cinéma le pense aussi. Pas n’importe qui. Rien moins que Guillaume Gallienne, sociétaire de la Comédie-Française, réalisateur primé l’an passé pour Les Garçons et Guillaume, à table !, personnalité médiatique appréciée dans et hors du sérail. « Je m’interroge quand même sur le choix du cinéma français, en tout cas de la famille du cinéma français, à vouloir, tout le temps, prôner la diversité culturelle. Parfois, je ne sais pas à quel point le moteur de ça est artistique ou politique », a-t-il déclaré au micro de RTL, suscitant l’ire de la presse bien-pensante. Didier Péron, rédacteur en chef adjoint du service culture de Libé, l’a carrément insulté et, comme il est d’usage, psychanalysé.

En France, il ne faut pas toucher aux tabous sous peine d’excommunication. Guillaume Gallienne l’apprend à ses dépens. Quant à moi, je le salue pour son courage, je le salue pour avoir osé susciter une polémique sur un sujet qui devrait nécessairement faire consensus dans le petit milieu compassé du cinéma bobo.

Vive la liberté d’expression !

Juriste
 

Partez en Syrie, les filles. Et surtout, restez-y !

Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2016

Marre de ces « Ouf ! » de soulagement quand elles sont retrouvées.

A-t-on le droit de le dire ? Marre de ces « alertes disparitions inquiétantes » quand deux midinettes en mal de psy veulent partir en Syrie. Ras le bol de les voir envahir les bulletins d’infos pendant deux jours. Et maintenant, « les recruteurs » ! Ça claque comme un titre de film de Belmondo.

Deux jours de désinformation continue. On parle de radicalisation, sans oser dire plus. Parlerait-on « d’intégristes », on comprendrait que l’on est dans le domaine religieux, mais le mot est réservé à…

Les journalistes les plus dhimmitisés usent de l’adjectif « radicalisé »pour dédramatiser ; comme on dirait « Elle est en cinquième », « Elle est membre d’une assoc' ».

Ou bien, l’on prend l’air savant de ceux qui font mine de comprendre la gravité de la situation. Le diagnostic tombe, inéluctable. Manque plus que le toubib ôtant son masque en sortant de salle d’op : « Elle a été radicalisée ! » Comprenez atteinte d’une affection nuisant à leur santé. Contaminée par quelque bacille microbien ou un virus dont on ne réchappe pas. « Vous comprenez, ce n’est pas de sa faute. On n’y peut rien. » À son insu, la radicalisation, ou par hasard ? Oh, le méchant hasard ! Il est barbu ?
 
De quelle radicalisation s’agit-il ? Ça, on le tait. L’emploi de verbes qui ne sont pas d’action, par tous les médias, est une soumission journalistique telle que Houellebecq la décrit.
 
Les parents faussement perplexes comme tous – absolument tous – les parents de terroristes islamiques de dire : « Je ne comprends pas ! Ma fille est une brave petite. Elle n’a pas pu faire ça ! Elle a été prise dans un engrenage. » Hélicoïdale ou droite, la denture, Madame ? Serait-ce qu’un organe mécanique est cause de cette prise ? Aussitôt, les cellules de décontamination de niveau 4 se mettent en place : Attention, alerte radicalisation ! Une jeune fille risque de… risque de quoi, au fait ?

Le labo de campagne est monté, les journalistes ci-dessus cités entretiennent le suspense ! « Va-t-on les retrouver ? On les a vues ici ou là. Ah non, soyons prudents… On les aurait vues. Sous toute réserve. »Nous n’en savons pas plus. D’ailleurs, on ne sait rien. On ne sait pas si la fugue et l’envie de faire parler d’elles étaient les motifs de leur quasi-disparition ou si M. Ayrault va devoir rançon payer. Pensez donc, Madame Michu ! On ne peut pas les laisser faire cela. Alors que l’on vient de fêter la Journée de la femme.

Marre de ces « Ouf ! » de soulagement quand elles sont retrouvées. Heureusement, les cellules de déradicalisation sont activées. On évite que la contamination se propage. Comme la peste ou le typhus ? Par voie aérienne – Turkish Airlines – ou par contact et voie sexuelle ? Ah tiens ! Aurait-on droit de dire que l’endoctrinement subi serait une source pestilentielle ? Va-t-on les mettre en quarantaine et passer à l’insecticide les mosquées de Haute-Savoie ou de Sevran ?
 

Chers amis « radicalisé(e)s », je ne me battrai pas pour votre cause, mais si votre désir est de retourner vers un ensauvagement bestial d’avant l’Homo sapiens je me battrai pour que l’on vous laisse tenter vos choix, à vos risques et périls. C’est cela, le respect de votre dignité. Laisser aux hommes la liberté ! Laisser à chacun de choisir sa cause, de s’y donner…

Et d’y rester, sans espoir de retour.

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

Jean-Louis Debré récite une prière antichrétienne avant de quitter son poste de président du Conseil Constitutionnel !

Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2016

9 mars 2016 par admin4

debre

Jean-Louis Debré termine son mandat de président du Conseil Constitutionnel. Les médias dominants se sont évidemment rués sur cet événement pour y consacrer des reportages.

Sur France Info, Jean-Louis Debré, petit-fils de rabbin, fait une visite des locaux du Conseil Constitutionnel. Lors de cette tournée il s’arrête devant un buste de Marianne pour y réciter un « poème » écrit par un révolutionnaire anonyme (audible dans la video ci-dessous).
En fait de poème, il s’agit ni plus ni moins d’une prière républicaine antichrétienne, parodiant l’Ave Maria, et demandant d’être libéré « des rois et des papes ». France 3 a également consacré un court reportage au départ de Jean-Louis Debré (2e partie de la video). La chaîne a cependant préféré couper une partie de la prière prononcée par le politicien.

Voilà la réalité de la République, au plus haut niveau.

Debré-prière-satanique-antichrétienne3-LLP

Source

La honte : des Japonais nettoient Paris, pour relancer le tourisme nippon

Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2016

9 mars 2016 par Pierrot

 

Dimanche prochain 13 mars, la Paris Tourism Association, une organisation privée, qui regroupe neuf tours opérateurs japonais très actifs en France , va lancer une opération «d’embellissement et de renouvellement des jardins du Trocadéro», situés juste en face de la Tour Eiffel. Ce projet sera mené et financé en association avec la compagnie aérienne Japan Airlines, et il commencera par un nettoyage des jardins et la plantation de cerisiers (sakura).

Le mouvement associatif Green Bird, qui existe au Japon depuis 2003 et vise à contribuer à la propreté des villes de l’Archipel, s’est ainsi implanté dès en 2007 à Paris. De jeunes japonais, vêtus de verts «s’attaquent» régulièrement aux sites touristiques les plus fréquentés, la Concorde, les Champs Élysées et la Tour Eiffel, entre autres, pour les débarrasser de leurs crottes de chiens et autres immondices. Depuis quelques années, les militants de Green Bird, ont même été rejoints par des Français, que l’on peut voir, de préférence le week end , parcourir les artères et les jardins de la capitale dans leurs mission de salubrité publique.

Source : Le Figaro

Un Français "radicalisé" a pris l'avion avec des armes blanches en soute

Publié par Guy Jovelin le 10 mars 2016

Assigné à résidence pendant trois mois, cet ex-militaire converti à l'islam a pu prendre l'avion de Nantes à Fès avec un arsenal dans son bagage.

Un individu "radicalisé" a pris l'avion avec des armes blanches en soute.
Un individu "radicalisé" a pris l'avion avec des armes blanches en soute. © AFP/ BERND SETTNIK
Un individu "radicalisé", assigné à résidence pendant trois mois, a réussi à prendre l'avion à Nantes avec des couteaux et une petite bonbonne de gaz dans son bagage en soute, avant d'être arrêté à son arrivée au Maroc, a indiqué mercredi la préfecture de Loire-Atlantique, confirmant des informations du quotidien localPresse-Océan. L'homme, un Français âgé de 31 ans, a été arrêté dimanche à son arrivée à Fès (nord du Maroc) après avoir pris un vol direct depuis Nantes de la compagnie Ryanair.