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dimanche, 06 mars 2016

Quatre sœurs des Missionnaires de la Charité – fondées par Mère Térésa – assassinées par les islamistes au Yemen

Publié par Guy Jovelin le 6 mars 2016

aden_misisonnaires_chariteQuatre religieuses des Missionnaires de la Charité, ordre fondée par Mère Térésa, ont été assassinées au Yemen dans l’attaque d’un hospice à Aden. Elles étaient infirmières dans cet hospice pour handicapés. Cette attaque menées par quatre hommes armés a fait seize morts.

mère TheresaSi MPI a pu une fois ou l’autresouligner la théologie erronée de cette congrégation imprégnée des erreurs du concile Vatican II, ce drame est l’occasion aussi de rappeler qu’au delà de la terrible crise qui secoue l’Eglise catholique, le sang des martyrs continue d’inonder la terre, donnant un beau témoignage d’attachement au Christ et de dévouement au prochain.

«Sa Sainteté le pape François a été choquée et profondément attristée d’apprendre l’assassinat de quatre missionnaires de la charité et de douze autres personnes dans un hospice à Aden», a déclaré Pietro Parolin, le secrétaire d’Etat du Vatican.

L’attaque est attribuée à l’Etat Islamique, qui rappelons-le, est soutenu financièrement et militairement par l’Arabie Saoudite et le Qatar, grands amis des présidents Sarkozy et Hollande…

 

Source : http://www.medias-presse.info/

samedi, 05 mars 2016

16 migrants en provenance de Calais sont arrivés à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 5 mars 2016

Selon la préfecture de la Haute-Garonne, 16 réfugiés originaires du Tchad, du Soudan, d'Afghanistan et d'Irak sont arrivés de Calais dans la nuit de jeudi à vendredi et sont installés dans un centre de l'AFPA à Toulouse.

 
Vue de la jungle de Calais en février dernier © AFP

© AFP Vue de la jungle de Calais en février dernier

 
16 migrants qui ont accepté la proposition de l'Etat de quitter la jungle de Calaispour "bénéficier de meilleures conditions d’accueil afin que soit traitée leur demande d’asile ou envisagé un retour-réinsertion dans leur pays d’origine", selon les termes de la préfecture de la Haute-Garonne, sont arrivés à Toulouse dans la nuit de jeudi à vendredi.

"Ce dispositif vise, selon le préfet, à améliorer les conditions de vie des migrants à Calais, à offrir aux migrants des solutions de prise en charge à l’extérieur du Calaisis, et à permettre à ces personnes de reconsidérer leur projet d’immigration au Royaume-Uni".

Les 16 personnes arrivées cette nuit en provenance de Calais sont hébergées dans un centre mis à disposition par l’AFPA à Toulouse. Ces migrants sont originaires du Soudan, du Tchad, d’Afghanistan et d’Irak.

La Croix rouge et l’association France Horizon s'occupent d'eux et la préfecture indique qu'ils seront aidés dans leurs démarches administratives par l’OFII. Ils resteront sur place le temps qu'il faudra pour examiner leur situation administrative, certains ayant déjà demandé l'asile et pourraient ainsi bénéficier du statut de réfugiés.

L'Etat tente de démanteler actuellement une grande partie de la "jungle" de Calais. La proposition d'installation dans d'autres villes de France fait partie des moyens employés pour gérer les milliers de personnes entassées dans des situation quasi-inhumaines dans cette jungle.
 

OSDH : l’organe islamique de la désinformation sur la guerre en Syrie

Publié par Guy Jovelin le 5 mars 2016

Rédigé par Philippe Lesage le 05 mars 2016.

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L’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme a su choisir un nom honorable pour cacher sa nature détestable : être l’organe islamique de la désinformation internationale sur la guerre en Syrie. En effet, depuis l’arnaque de «la patrie en danger en 1793» jusqu’au sale confit syrien déclenché en 2011, les guerres modernes ne se font plus seulement avec des armes, mais aussi et surtout avec la manipulation des opinions publiques.

C’est ainsi, qu’en 2006, est créé l’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme dans la mouvance vaseuse d’Amnesty International. Au sein du dispositif international de déstabilisation du régime de Bachar el Assad dans lequel le Royaume-uni et la France se sont déshonorés, le rôle de l’OSDH a suivi le scénario catastrophe construit de toutes pièces pour déloger le chef d’État syrien : après avoir accusé Bachar el Assad de tous les maux, l’OSDH est depuis le déclenchement du conflit, la source des dépêches qui alimentent les médias occidentaux en fausses nouvelles, et qui par la même occasion cachent l’objectif réel du conflit meurtrier : le déplacement planifié des populations gênantes au fil des massacres, dont les minorités chrétiennes se trouvent être les premières victimes.

Tout accuse l’OSDH : cet «observatoire» n’est formé que de deux personnes, et qui plus est, sont basées au Royaume-Uni, bien loin des zones de guerre. Son pseudo-observateur besogneux, Oussama Ali Suleiman change aussi vite de pseudonymes qu’il diffuse de fausses dépêches. Aujourd’hui «Rami Abdel Rahmane», ils sera peut-être demain «Où s’est mis Ben Loden». Ses affirmations sont aussi invérifiables qu’éphémères, mais provoquent pourtant la prolifération d’armes de désinformation massive : cachez ces morts que je ne saurais voir.

On ne compte plus les faux martyres de la répression du régime, inventés de toutes pièces par «l’observatoire». Par exemple, la jeune syrienne Zainab al-Hosni dont Suleiman annonça le martyre et la mort en 2012, réapparut bien vivante quelques jours après son scoop ! Pour donner une explication crédible à la profusion de ses coups médiatiques, Suleiman cite… son téléphone ! Il n’est plus un scoop aujourd’hui d’affirmer que l’OSDH n’est que l’instrument de propagande des fauteurs de guerre qui ont déclenché le conflit le plus meurtrier du XXIème siècle, avec la complicité du Royaume-Uni et de la France.

Les diplomates suffoquent. Les journalistes auxquels il reste un soupçon de lucidité commencent à se sentir coupables d’avoir relayé le mensonge officiel dans les médias occidentaux pendant tant d’années. Mais le mal est fait. Dans «christianophobie hebdo», l’archevêque d’Alep Monseigneur Jeanbart de passage à Paris, confirme pour avoir vécu de l’intérieur les atrocités du conflit syrien, la désinformation permanente des médias occidentaux :

«C’est peu de le dire ! Les médias occidentaux n’ont cessé d’étouffer le quotidien des Syriens qui souffrent. Ils ont repris des informations sans jamais les vérifier ; ils se sont contentés d’une source unique et partiale, l’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme. Cet observatoire est détenu par l’opposition armée ; ce n’est un secret pour personne. Nous sommes sur le terrain et je peux vous affirmer que les informations sont parfois fausses et, en tout cas, triées attentivement.»

Quand le patriarche est interrogé sur Bachar el Assad, il répond : «(…) Il est évident que certaines choses n’allaient pas en Syrie, il est normal aussi que les citoyens réclament moins de corruption, plus de sécurité etc. Mais il y avait aussi de très bonnes choses en Syrie, que vous ne relevez jamais; c’est juste malhonnête. C’est parce que nous ne voulons pas de la loi islamique, que nous refusons une loi anti-blasphème, que nous soutenons aujourd’hui ceux qui luttent contre l’État islamique. Ce n’est pas un choix politique, c’est une question de survie.»

Et de conclure : « Jésus n’était pas politiquement correct ; il était politiquement juste ! (…) Les évêques de France auraient dû nous écouter. J’avoue ne pas comprendre pourquoi ils se taisent ainsi. Sans doute parce qu’ils sont, comme vous tous, élevés dans le politiquement correct. Mais Jésus n’était pas politiquement correct, il était politiquement juste ! Un évêque ne doit pas avoir peur de parler et d’essuyer des critiques; c’est parfois le prix à payer pour défendre la Vérité.»

 

Source : http://24heuresactu.com/

Dictature: des élèves interrogés à la gendarmerie à propos du cours de leur professeur sur « la Russie » et « Vladimir Poutine »

Publié par Guy Jovelin le 5 mars 2016

La guillotine - Crédits : Etude Delorme - Collin du Bocage.

En Bretagne des élèves de troisième de l’Ecole Sainte-Anne à Auray ont été convoqués à la gendarmerie et  interrogés sur la teneur du cours de leur professeur d’histoire et de langue bretonne sur “l’introduction à la géopolitique contemporaine” concernant la Russie, conformément aux programmes scolaires.

Le professeur aurait-il été politiquement incorrect ? C’est en tout cas le lourd soupçon qui pèse sur lui. Et ce n’est pas fini: après les élèves, le professeur de retour de congés est à son tour convoqué. Il ne s’agit plus de la Shoah, de racisme ou antisémitisme, de l’esclavage noir, d’Hitler et des nazis, ni du gender, de l’homosexualité ou de l’avortement lorsqu’on ne prend pas une position claire en sa faveur,  sujets (j’en oublie sans doute!) dont certains sont bien encadrés par les lois liberticides, mais dont certains autres ne relèvent que de la police de la pensée ordinaire. Personne n’avait encore songé que Vladimir Poutine était désormais à ranger parmi les sujets qui tombent sous le coup de la police de la pensée… 

Non, mais quel abject cafard, parent d’élève (?) ranci de haine, a-t-il osé « rapporter » à la police sans se faire éjecter ? Quelle administration dictatoriale a-t-elle osé mettre cette « affaire » entre les mains d’une police de plus en plus politique ? Au nom de quelle loi ? S’agit-il d’un règlement de compte personnel ? Contre l’école catholique ? Pour le moment mystère!

Les exemples dictatoriaux en cet état d’urgence qui se prolonge, relèvent de plus en plus d’une politique terroriste, comme au bon vieux temps de la Terreur révolutionnaire. Les voyous et les clandestins ont tous les droits, tandis que les honnêtes citoyens sont pourchassés. La seule question qui reste : à quand le retour de la guillotine ? 

Le professeur,  Pascal G., abasourdi d’apprendre que ses élèves avaient été interrogés à la gendarmerie sur la teneur de son cours d’Histoire, explique: 

“J’ai d’abord fait un état des lieux de la Russie après la fin du communisme. J’ai expliqué les grandes lignes de la politique du président russe, Vladimir Poutine. Une politique qui a consisté à constituer une classe moyenne en Russie tout en s’appuyant sur le sentiment patriotique, après les années de crise de la présidence de Boris Eltsine” détaille le professeur dans un email.

“Je suis revenu sur les alliances entre la France et la Russie au XXème siècle, en 1914 mais aussi entre 1940 et 1945” poursuit-il.

“J’ai traité l’engagement russe en Syrie et en Irak contre Daech aux côtés des forces armées françaises” précise t-il.

“J’aborde l’histoire sur la base des faits, j’essaie d’expliquer la complexité des rapports géopolitiques afin de développer l’esprit critique des élèves. Je ne me prononce pas sur le bien-fondé ou non des actions menées par une diplomatie” conclut-il. (Source)

Le professeur fortifié par le soutien de ses élèves, ira donc justifier de son cours à des gendarmes, chargés du service d’ordre, qui n’ont aucune aptitude pour en juger…

Respecté par ses pairs, la hiérarchie du professeur n’a pas été davantage alertée de l’enquête. Signe de ce qu’aucune procédure disciplinaire interne n’a été entreprise.  (Source)

Il est de plus en plus évident que l’état d’urgence a des visées politiques contre les dissidents, plutôt que contre le terrorisme islamiste qui arrange bien, en fin de compte, le régime. On peut également s’interroger sur ce cours de géopolitique contemporaine, qui ne devrait pas exister sauf à vouloir faire un lavage de cerveaux systématique. La place de professeur d’Histoire devrait être réservée aux membres du parti socialiste, cela ôterait toute ambiguïté!

Photo: Guillotine révolutionnaire des Armées de la République (Armée dont fait partie la gendarmerie) qui a été vendu à l’hôtel Drouot à Paris en 2011 pour 223 056 €. Son heureux (?) nouveau propriétaire devait lui faire quitter le territoire national, sans doute pour illustrer les bienfaits de la Révolution française, de la République et de la Déclaration des Droits de l’Homme…  


Source : http://www.medias-presse.info/

FRANÇOIS HOLLANDE ET «LE MINISTÈRE DES FAMILLES» : LES JOIES DE LA NOVLANGUE SOCIALISTE

Publié par Guy Jovelin le 5 mars 2016

Dans les pages du magazine «ELLE», le président de la République a annoncé la création d'un ministère des familles, ce nouvel intitulé devant permettre de «reconnaître toutes les familles». Pour Julie Graziani, François Hollande malmène les conventions grammaticales et le bon sens élémentaire.


François Hollande et «le ministère des familles» : les joies de la Novlangue socialiste

Julie Graziani est porte-parole d'Ensemble pour le Bien Commun et membre de l'Avant-Garde.

La Novlangue vient encore de frapper: nous avons eu le ministère de l'Egalité réelle ; nous aurons prochainement le «ministère des Familles» en remplacement du ministère de la Famille. C'est ce qui ressort d'une déclaration de François Hollande faite au magazine Elle, au motif qu'il faut «les reconnaître toutes, les recomposées, les monoparentales, de même sexe. Ce qui est réactionnaire, c'est de considérer un seul et unique modèle familial».

Déjà coutumier du redoublement du sujet («La France, elle est forte»), notre Président malmène à la fois les conventions grammaticales et le bon sens élémentaire. L'emploi d'une majuscule dans les intitulés de nos ministères s'explique parce qu'il y fait référence à une notion générique, qui impose donc nécessairement le singulier ; conserver cette majuscule au pluriel n'a rigoureusement aucun sens, sauf à considérer que chaque configuration familiale devient une institution à part entière.

Avec le ministère de l'Agriculture, de l'Industrie, de la Défense ou de l'Emploi, le choix du singulier manifeste que la puissance publique, conformément à son devoir de neutralité, s'intéresse à ce qui est commun, et non à ce qui est particulier. Jusqu'à présent nul ne s'était avisé qu'il y avait là un manque de reconnaissance de la diversité des entreprises qui font l'Agriculture ou l'Industrie française. Faudra-t-il un (...) Lire la suite sur Figaro.fr