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mardi, 15 mars 2016

" QUAND LA PRÉFÉRENCE ETRANGERE SE SUBSTITUE A LA PRÉFÉRENCE NATIONALE OU COMMENT L’IRRESPONSABILITÉ D'UNE OLIGARCHIE NOUS CONDUIS AU DÉSASTRE!"

Rédigé par Franck Pech le 15 mars 2016


coût,forces mobilisées,migrants,préférence étrangère
Chaque français devrait méditer les chiffres que nous allons divulguer, afin de se faire une idée, une opinion très précise du pouvoir oligarchique qui nous gouverne.


Pour information, les sources médiatiques viennent du journal le Figaro, peu soupçonné en tant que quotidien d'être taxé  d'extrémisme de droite, voir réactionnaire!


Jugez plutôt: " pour assurer le site de Calais, l'état débourse chaque jour 150000 euros, soit en moyenne 4500000 par mois et 54000000 à l'année si le phénomène perdure.
Ce montant sert à assurer la mobilisation de 18 unités de forces mobilisées dans la région depuis le mois d'octobre 2015.


De plus la construction l'aménagement et le nouveau camp de Calais avec de multiples préfabriqués est estimé à 25 millions d'euros!
Comble de l'absurde, la sécurisation de l'eurotunnel du fait de l'assaut des migrants vers l'Angleterre, avait été estimée par son PDG, Mr Jacques Gounon à 165 millions d'euros sur 20 ans, auxquels il faudrait ajouter 10 millions d'euros supplémentaires pour la France et l'Angleterre afin de faire face aux dépenses éventuelles...


A cette facture, il faut surtout ajouter le préjudice économique occasionné par la présence de migrants pour les commerçants, les professionnels du tourisme de la région.
Ainsi pour compenser les pertes de la région, le maire de Calais, madame Natacha  Bouchart, a obtenu en novembre dernier une enveloppe  de 155 millions d'euros dont 50 millions provenant de l'état!
Il est clair que la préférence étrangère prévaut sur la  préférence nationale, en particulier pour les français de souche.


Nous savons qu'au nord de la France, comme sur tout l'hexagone, des milliers de nos concitoyens souffrent et sont abandonnés par un pouvoir abject et un système pernicieux.
Retraités, petits paysans ,chômeurs, petits salariés (qui dorment dans leurs véhicules), tous ces oubliés du "système", qui ne demandent pour les uns qu' à  être reconnus du fait de leur travail, pour les autres de trouver ou de retrouver un emploi et pour certains une retraite conséquente, mais pour l'ensemble de ces catégories le fait  de vivre décemment!


Encore faudrait-il une revalorisation de la notion de travail, encore faudrait-il réhabiliter le fait que le français soit maître chez lui et lui reconnaitre  ce droit!


C'est pourquoi, nous exigeons que soit rendu au peuple de France, ces millions d'euros consacrés à cette immigration massive et non productive, qui représente un coût financier et non une "chance" pour la France, comme certains bien-pensants le présagent.

AIMER SA NATION,C EST ALIMENTER UN AMOUR POUR LES SIENS,FAIRE PREUVE  DE RESPECT POUR LES ANCIENS,ET VÉNÉRER NOS AÏEULS, CEUX QUI ONT FAIT LA FRANCE.



Le Parti de la France Midi-Pyrénées

De l’utilisation politique des subventions

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2016

choregies_d_orange

14/03/2016 – POLITIQUE (NOVOpress)
Le ministère de la Culture envisage de suspendre sa subvention aux Chorégies d’Orange. En cause, le « coup de force » de la municipalité de Jacques Bompard (Ligue du Sud) sur le festival. Une décision en forme de vengeance politique.

Le ministère de la Culture a confirmé qu’il souhaite faire respecter « les règles de gouvernance » des Chorégies d’Orange et pourrait suspendre la subvention qui représente 6 à 7 % du budget du festival lyrique. « La ministre Audrey Azoulay constate qu’il y a une situation qu’elle considère comme anormale et, en accord avec Christian Estrosi (le président Les Républicains de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur), elle en tirera les conséquences en tout début de semaine », a déclaré à l’AFP un porte-parole du ministère. Audrey Azoulay et Christian Estrosi « ont échangé samedi sur le sujet et sur la conduite à tenir dans cette affaire »

En cause, le présumé « coup de force » de la municipalité sur la direction du festival. L’affaire remonte à janvier, lorsque le député Thierry Mariani avait annoncé sa démission de la présidence du festival. Selon les statuts de l’association, il revient à Marie-Thérèse Galmard, adjointe à la vie sociale à la mairie, d’assurer l’intérim de la présidence, avant que le conseil d’administration élise un nouveau président. Mais Marie-Thérèse entend rester à la présidence jusqu’à la fin du mandat de Thierry Mariani en 2018, selon le directeur général du festival, Raymond Duffaut, qui a annoncé vendredi sa démission pour dénoncer « ce coup de force ».

« On a une position simple : l’équipe dirigeante des Chorégies a été élue à l’unanimité. Le président démissionne et le texte dit que quand le président est empêché, c’est la vice-présidente qui préside », a pour sa part déclaré dimanche le maire d’Orange, Jacques Bompard. « Il y a un accord [avec le ministère] valable encore deux ans, donc (en menaçant de suspendre les subventions), la ministre affirme qu’elle méprise la loi », a-t-il ajouté. « Par ailleurs, est-ce que la ministre va rembourser toutes les subventions de la ville aux Chorégies depuis 20 ans ? » s’est-il interrogé.

Un bel exemple de chantage politique aux subventions et de l’alignement de Christian Estrosi sur les positions du PS à qui il doit sa victoire aux régionales.

 

Source : http://fr.novopress.info/

Concrètement, qui paye pour les migrants ?

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2016

L’affaire des migrants est exemplaire parce qu’elle touche aussi bien à la politique, à l’économie, qu’à la morale.

Peu de gens ont la possibilité matérielle, sans même parler des connaissances, d’ingurgiter puis digérer l’incroyable masse d’informations que nous déversent les médias et Internet chaque jour. En théorie, cela ne devrait pas poser de problème puisque des personnes sont payées pour faire ce travail. Sauf que l’immense majorité de ces professionnels le font malhonnêtement, par conviction politique ou par soumission au politiquement correct. L’affaire des migrants est exemplaire parce qu’elle touche aussi bien à la politique, à l’économie qu’à la morale.

Cette question divise les Européens en deux camps : ceux qui font dans la générosité compassionnelle et ceux qui adoptent un comportement – disons, pour simplifier – xénophobe. Si l’on se borne à cette simple constatation, les premiers sont l’honneur du pays, les seconds la honte. Maintenant, contextualisons le problème.

Même si on nous rabâche le contraire, les migrants vont coûter très cher à l’État puisque nous en sommes déjà à payer six milliards d’euros à la Turquie rien que pour que ce pays en ralentisse le flux. Or, l’État, qui n’a plus un sou, est déjà engagé dans une politique d’austérité sur le dos des contribuables et des usagers du service public. Je ne parle même pas des millions de concitoyens qui ne trouvent pas d’emploi. D’un autre coté, les milieux d’affaires, qui voient d’un bon œil l’arrivée massive d’une main-d’œuvre corvéable à merci, obtiennent des baisses d’impôts et bloquent toutes tentatives de régulation sur les flux financiers internationaux, libre accès aux paradis fiscaux oblige. Rappelons, au passage, que non seulement les grandes entreprises ne produisent pas, mais elles détruisent des emplois (Le Figaro, 27/11/2012) et qu’en plus, elles paient moins d’impôts que les PME (Le Monde, 14/12/2009). Rappelons aussi cette statistique incroyable révélée par Thomas Piketty : en 1996, les 100 premières fortunes de France représentaient 25 % du budget de l’État ; en 2014, 92 % !

Or, qui trouve-t-on derrière les parangons de vertu pro-migrants ? L’extrême gauche qui, au contraire du contribuable lambda, vit des subventions distribuées à travers le mouvement associatif. Les intellectuels, les journalistes et personnalités du spectacle qui gravitent autour du pouvoir politique. Le patronat, MEDEF et affiliés et la bourgeoisie de droite des grandes villes, prête à toutes les compromissions pour ne pas être amalgamée avec les électeurs du Front national.

Et qui trouve-t-on en face ? Tous ceux qui font les frais de la politique d’austérité du gouvernement, les laissés-pour-compte de la mondialisation, les salariés qui ne peuvent échapper à l’impôt et dont l’emploi est en permanence menacé, les défenseurs des traditions françaises, les adversaires d’une religion (l’islam) derrière laquelle s’abrite le terrorisme international.

En résumé s’opposent ceux qui prétendent représenter le camp de la vertu et qui, curieusement, parviennent à se soustraire à l’impôt ou, au minimum, ne veulent plus mettre la main à la poche, à ceux qui n’ont pas d’autre choix que d’accueillir de force ces migrants, à leurs frais et aussi – il faut bien le dire – à leurs risques et périls, et que par-dessus le marché on humilie en les traitant d’abominables racistes. Dites-moi si ce n’est pas se foutre de la gueule du peuple ?

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

lundi, 14 mars 2016

19 mars : ne soyez pas complices !

Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2016

François Hollande, a décidé, pour la première fois, de commémorer cette année, le 19 mars 1962 et les Accords d’Evian.

Le président de la République, François Hollande, a décidé, pour la première fois, de commémorer cette année le 19 mars 1962 et les accords d’Évian. C’est sa meilleure façon de se réconcilier ainsi avec les gauchistes socialistes et les communistes. Il devrait, dans la même foulée, fêter le 18 juin 1815 (la défaite de Waterloo) et le 22 juin 1940 (la signature de l’armistice devant les nazis).

Le 19 mars 1962 : fin de la guerre d’Algérie, c’est un mensonge éhonté. Les accords d’Évian obligeaient la France à un « cessez-le-feu » en Algérie, mais autorisaient le Front de libération nationale (FLN) et l’Armée de libération nationale (ALN) à enlever, assassiner, massacrer à volonté de jeunes soldats, des civils innocents et des harkis, alors que l’armée française avait l’obligation de rester l’arme au pied, sur ordre de De Gaulle.

Ce même jour, 19 mars 1962, à Eckmül (Oran), 16 personnes, dont trois femmes, sont enfermées dans un hangar et l’ALN y met le feu. Elles sont toutes carbonisées. Ce même jour, la gendarmerie d’Oran signale que des dizaines d’Européens sont séquestrés, jusqu’à ce que mort s’ensuive, pour servir de donneurs de sang pour les combattants de l’ALN. On les retrouve la peau collée aux os et totalement vidés de leur sang.

Après ce 19 mars 1962, et je cite sous le contrôle de M. Eugène-Jean Duval, inspecteur général des armées et les « archives officielles » :

– 91 actions de guerre de l’ALN et du FLN contre la France ;
– le 20 mars 1962, 18 soldats tués et 3 blessés ;
– 90 soldats français disparus ;
– 239 soldats français faits prisonniers par l’ALN, qui ne sont jamais revenus ;
– 1.580 civils européens disparus (dont des dizaines de femmes expédiées vers des bordels militaires de l’ALN).

Entre le 19 mars et le 5 juillet 1962, ce fut une hécatombe : plus de 5.000 enlèvements ; 1.165 civils assassinés ; 1.773 disparus ; plus de 60.000 harkis massacrés ainsi que leurs familles. S’ajoute à cela l’interdiction, par le gouvernement français, à la Croix-Rouge internationale de s’y intéresser. En témoigne le télégramme (très secret) signé Louis Joxe, daté du 2 avril 1962 : « Je serais, pour ma part, hostile à une intervention quelconque de la Croix-Rouge internationale dans tout ce qui concerne les arrestations et détentions d’Européens. »

Après le 19 mars 1962 se met en place le blocus de Bab El Oued. L’armée, l’aviation, les tanks tirent sur les habitants. Le 26 mars 1962, sur ordre de De Gaulle, confirmé par Christian Fouchet, Haut-Commissaire en Algérie, l’armée française tire sur une population désarmée qui manifestait devant la Grande Poste de la rue d’Isly, à Alger : plus de 46 morts et 200 blessés.

La France a reconnu officiellement des « morts pour la France », en Algérie, après le 19 mars 1962. C’est bien la preuve que les accords d’Évian n’ont jamais marqué la fin de la guerre. Nous aimerions savoir comment leurs noms ont été inscrits sur les monuments aux morts.

Sous les ordres des généraux Ailleret et Katz, l’armée française a terminé cette guerre, gagnée totalement sur le terrain, dans le déshonneur le plus total.

M. le président de la République et Messieurs les maires des villes et communes de France dans lesquelles vivaient ces jeunes soldats et leurs familles, quand vous célébrerez cette date, ce prochain 19 mars 2016, et que vous garderez une minute de silence, vous les entendrez, tous ceux qui sont morts après le 19 mars 1962, vous hurler leur mépris et leur colère.

Le 19 mars 1962, le chef de l’État français et son gouvernement ont « signé » un crime contre l’humanité. Un demi-siècle plus tard, ne soyez pas leurs complices ! Pour votre information, ne manquez pas le magazine de France 3 du jeudi 17 mars à 23 h 45 : « Prisonniers français du FLN », suivi du film L’Amère Patrie.

 

Ecrivain

Source : http://www.bvoltaire.fr/

Attentat en Côte d'Ivoire : un assaillant a «tiré et crié Allah akbar», raconte un témoin

Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2016

Selon les premiers témoins de l'attaque djihadiste dans la station balnéaire très populaire de Grand-Bassam en Côte d'Ivoire, le commando armé était déterminé à tuer.
Selon les premiers témoins de l'attaque djihadiste dans la station balnéaire très populaire de Grand-Bassam en Côte d'Ivoire, le commando armé était déterminé à tuer. Capture d'écran BFMTV

Le commando armé qui a tué 16 personnes, dimanche, dans la station balnéaire très populaire de Grand-Bassam, en Côte d'Ivoire, était déterminé à tuer de sang-froid, selon les premiers témoignages recueillis par BFMTV au coeur de l'attentat djihadisite.

Un témoin raconte ainsi à la chaîne d'informations qu'il a vu à 12 h 30 (13 h 30 heure française) un des six assaillants armés s'approcher d'une personne qui était au téléphone sur la plage et tuer celle-ci à bout portant en criant «Allah akbar».

Tout s'est passé très vite, selon ce témoin, un jeune homme visiblement encore sous le choc : «Il est arrivé auprès d'un jeune qui était en communication. Il a tiré une balle dans la tête et a crié -Allah akbar-. A ce moment là, il y avait trois autres hommes derrière qui ont commencé à tirer».

VIDEO. Côte d'Ivoire : «Il lui a tiré une balle dans la tête et a crié Allah akbar», raconte un témoin (BFM TV)


Les assaillants «puissamment armés»

Les assaillants étaient «puissamment armés» alors que l'établissement était bondé en cette période de canicule, a expliqué un autre témoin. «On était sur la plage, on a entendu des coups de feu et on a vu des gens fuir, on a compris que c'était une attaque», a raconté Braman Kinda qui a vu les assaillants parcourir la plage «en tirant des coups de feu».

Le prince français Charles-Philippe d'Orléans, arrivé sur la plage peu avant l'attaque, a raconté au magazine Paris Match avoir cru entendre «un pétard», qui était «sans doute un calibre 22 LR». «Il y avait un monde fou sur cette plage. Tout le monde s'est figé un instant. Puis, il y a eu un second coup de feu, du 9 mm sans doute, et là, tout le monde s'est mis à courir dans tous les sens.»

Abbas El-Roz, un ressortissant libanais qui séjournait à l'Étoile du Sud, a raconté que l'un des assaillants portait un fusil d'assaut Kalachnikov et une ceinture de grenades. Un autre témoin, Kouamena Kakou Bertin, transporteur, a affirmé que trois assaillants s'étaient enfuis à pied par la route. L'attaque a provoqué des scènes de panique, plusieurs centaines de personnes tentant de quitter la zone quadrillée par d'importantes forces militaires.

 
«Le bilan est lourd» avec 14 civils et deux membres des forces spéciales tués, ainsi que 22 blessés, a expliqué le président Alassane Ouattara, qui s'est rendu sur les lieux.  Le ministre de l'Intérieur, Hamed Bakayoko, a précisé qu'il y avait quatre morts occidentaux, dont un Français et un Allemand.

Le président français François Hollande a dénoncé dimanche un «lâche attentat», promettant «soutien logistique et de renseignement pour retrouver les agresseurs». Le chef de la diplomatie française Jean-Marc Ayrault et le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve se rendront mardi à Abidjan pour exprimer la solidarité de la France.