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Après les prédations sexuelles improvisées en bandes organisées de Cologne, viennent les prédations organisées en économie improvisée de Davos (Suisse). A Davos, les «gens importants» se réunissent pour débattre des perspectives «du marché». Tiens, c’est Manuel Valls qui s’y colle. Comme à son habitude, le mini a prédit de grandes catastrophes. C’est, il est vrai, sa spécialité.
Pour le premier mini, l’Union européenne fait face à un danger de «dislocation dans les mois qui viennent». Ce serait plutôt une bonne nouvelle, à condition qu’il ne soit pas embauché pour régler les crises : crise des réfugiés que nous devons en partie à Schengen, crise du terrorisme que nous devons en partie à Schengen, crise des populismes que nous devons en partie à Schengen, crise du Brexit que nous devons en partie à Maastricht. L’Union Européenne a généré toutes ces crises, il est donc normal qu’elle soit en crise. Les producteurs de crises en discutent à Davos.
A Davos, tous attendent l’entrée en scène du Premier ministre conservateur britannique, David Cameron, qui pourrait annoncer le divorce des Britanniques avec l’Union, un paradoxe qui n’est qu’apparent. Manuel Valls a déjà donné son point de vue, peu importe. Les grands Bretons d’outre-Manche demandent des réformes de l’Union Européenne, les petits Bretons de France étranglés par la PAC robinet aussi. Seule la classe politique française sous influence mondialiste est sourde aux appels de détresse du peuple. De cela, on ne discute pas à Davos.
Dans les revendications de David Cameron, la gestion, voire la digestion, des populations exogènes concentre l’essentiel des sujets épineux. C’est assez cohérent avec l’insécurité quotidienne des Européens, situation devenue insupportable, sans compter les soutiens exorbitants aux économies fragiles comme celle de la Grèce. Le clown de la gauche grecque, Alexis Tsipras a rencontré mercredi le clown de la gauche française, Pierre Moscovici, devenu commissaire européen aux Affaires économiques par l’opération du sein des pourris, tout va mal.
Exclusif : Interview de David, père de famille Calaisien qui a défendu sa famille face aux migrants et l'extrême gauche avec l'aide de son fils Gaël. Page facebook de soutien
Faute de preuve, le ministère de l'Intérieur a abrogé l'assignation à résidence de quatre Tchétchènes accusés de soutien financier à la cause jihadiste en Syrie et en Irak.
C'est donc avant que leur cas soit examiné par le tribunal administratif de Toulouse que les quatre tchétchènes ont retrouvé toute leur liberté de mouvement.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, le ministère a signé un arrêté d'abrogation de leur assignation à résidence prononcée il y a deux mois. Ils avaient été interpellés le 20 novembre à Montauban après les attentats de Paris du 13 novembre. A leur domicile, la police avait découvert des fusils de chasse et des carabines. L'Etat les accusait d'avoir apporté un soutien financier aux jihadistes mais n'avait pu en apporter aucune preuve. Ce sont les services de renseignement russes qui auraient porté ces accusations. Les quatre tchétchènes bénéficient depuis 10 ans de l'asile politique en France.
En vidéo : l'un de ces tchétchènes a accepté de répondre aux questions de Pascale Lagorce et Jean-Pierre Duntze
Comme un poisson dans l’eau, François Hollande prenait le thé à la grande mosquée de Paris en ce début de semaine. En privé cela n’aurait soulevé aucune question. Mais en public, les uns et les autres s’interrogent sur l’intérêt de grenouiller sur les carpettes quand l’économie croule et que l’insécurité quotidienne des Européens ne peut plus être cachée par les médias officiels.
La visite fut aussi surprenante que de voir Johnny chanter pour les pavés, les parisiens ne s’étant pas déplacés pour commémorer. Dans le Figaro, Laurent Bouvet s’interroge sur l’opportunité d’exhiber le président de notre République sirotant un shiaï-ma-alib dans les fumées d’encens de la grande mosquée de Paris.
Pour le politologue, «c’est évidemment le rôle du ministre de l’intérieur qui a en charge les cultes» mais pas celui du Président ni celui des autres ministres du gouvernement, «(…) et je ne mentionne pas ici les arrières-pensées électoralistes toujours possibles». Nous non plus, 2017 est encore si loin. Il n’aurait tout de même pas d’aussi basses arrières-pensées noyées au fond de sa tasse.
Pour d’autres comme Henri Guaino, le thé tard chez Dalil Boubakeur accrédite l’idée «qu’il y aurait une stigmatisation, et qu’il faudrait la combattre», alors que la réalité n’est pas forcément celle là. En effet, l’attitude du président vis à vis des musulmans est contradictoire : pourquoi les musulmans devraient-ils spécifiquement montrer qu’ils n’ont rien à voir avec le terrorisme ? On se le demande Fernande.
Les élections présidentielles approchant, certains élus socialistes semblent se souvenir que la grande majorité de l’électorat de France est chrétien après l’avoir couvert de leur plus grand mépris. Des chrétiens en grande majorité catholiques dont la plupart, face au déferlement immigré musulman, aux attentats islamiques, aux nouvelles de viols collectifs, et autres exactions, se souviennent du baptême chrétien de leur patrie, en dépit d’un lavage de cerveau tous azimuts pour les convaincre du contraire. Jusqu’à ces dernières semaines où la promotion de l’avortement par Marisol Touraine semble directement venger les propos par trop chrétiens de Marion Maréchal-Le Pen durant sa campagne électorale, à propos de la suppression des aides au planning familial .
Le grand prêtre des laïcistes, Vincent Peillon, qui a sévi comme ministre de l’Éducation nationale de 2012 jusqu’en avril 2014, prône d’ « inventer une religion républicaine » pour remplacer la religion catholique; quant à parler de l’identité de la France, cela relève du quasi blasphème islamique pour l’ex-ministre de François Hollande.
En 2012 les libres penseurs socialistes juste parvenus au pouvoir, pensaient que les Français coupés de leur Histoire depuis des lustres par l’enseignement révisé de l’école laïque, et coupés de leur Tradition religieuse depuis Vatican II et les papes conciliaires, avaient perdu tous réflexes identitaires. Les uns et les autres, jusqu’à Manuel Valls s’en sont donc donnés à coeur joie pour flatter la religion musulmane , qu’ils ont fini par croire majoritaire chez les électeurs, pour dénigrer la religion catholique qui devait disparaître! Et comment mieux la faire disparaître qu’en remplaçant les chrétiens par des musulmans ? De l’encouragement de l’avortement à l’encouragement de l’immigration musulmane, le tour peut très bien se jouer!
Cette Laïcité pro-musulmane est d’ailleurs fort cohérente de la part des socialistes depuis François Mitterrand qui a naturaliser en masse les musulmans clandestins. Et ainsi c’est l’électorat musulman qui a fait la différence face à Nicolas Sarkozy et a permis à François Hollande de remporter l’élection présidentielle en 2012.
« Un très net sur-vote à gauche parmi les Français de confession musulmane « , qui « se trouve confirmée de manière spectaculaire au second tour avec un score de 86 % pour François Hollande, soit plus de 34 points de plus que sa moyenne nationale. » (IFOP)
Néanmoins la Libre pensée laïciste au paradis d’Allah commence à descendre de ses nuées depuis qu’un sondage de l’électorat arabo-musulman, confirmé par les différentes consultations électorales depuis 2012, montre que les musulmans déçus, n’entendent peut-être plus assurer à une si forte proportion le succès socialiste aux prochaines présidentielles de 2017. Flatter les musulmans au détriment des catholiques, Bernard Cazeneuve, le Ministre des cultes, semble avoir découvert ses insuffisances. Mais comment flatter à la fois les uns et les autres quand on confond Laïcité avec allahïcité ? Nos ministres et autres éminences socialistes seraient-elles donc appelées à un exercice inhabituel dans les loges de la République? et en opposition avec leurs déclarations précédentes?
Désormais, Bernard Cazeneuve reconnaît dans une interview à La Croix, des « racines chrétiennes historiques » à la France, qui ne seraient donc plus ni « frelatrées« , ni « nauséeuses« . Tiens, tiens! Certes cette reconnaissance réticente des racines « historiques » de la France fait bien la nuance avec l’identité de la France, puisqu’il reproche aux chrétiens de ne pas reconnaître « la contribution » que les non chrétiens « ont apporté eux aussi à l’histoire de notre pays »… Si, si, pourtant, les chrétiens ont bien conscience des contributions plus que millénaires de l’Islam à l’Histoire de notre pays depuis Charles Martel jusqu’aux attentats de Paris….
Le 14 janvier dernier, le Secrétaire d’Etat au Parlement, Jean-Marie Le Guen avait répondu dans le cadre des questions au gouvernement, à Jean-Paul Fournier, sénateur LR du Gard et maire de Nîmes sur les actes de vandalisme contre des lieux de culte. Il lui précisait que « 524 églises ont subi une atteinte, un nombre en augmentation de 22 % par rapport à la même période de l’année précédente ». Ce pourcentage alors que le Ministre des Cultes, Bernard Cazeneuve, n’avait évoqué que 20% d’augmentation… Il faudrait qu’ils s’entendent sur des chiffres, pourtant déjà tellement sujet à caution…
Cette timide tentative de séduction tournée vers les catholiques va-t-elle se poursuivre ? La haine de ces gens-là pour l’identité catholique de la France risque fort d’être plus forte, surtout lorsque la tentative de séduction est dévolue à un Bernard Cazeneuve archi-grillé d’avance, ainsi que sa tribune de 2012 citée ci-dessus le démontre. Quoiqu’il en soit les catholiques ne devraient pas perdre de vue qu’il ne s’agira toujours que d’un double langage qui arrive beaucoup trop tard et dont tout prouve qu’il est trompeur.
Voici l’excellente intervention, à ce sujet, du sénateur-maire de Nîmes Jean-Paul Fournier: