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vendredi, 03 juillet 2015

Après un demi-siècle d'indépendance, l'Algérie n'est plus qu'une poubelle à ciel ouvert

 Publié par Guy Jovelin

 

En accompagnement du voyage éclair de François Hollande à Alger, la télévision française nous a proposé deux documentaires sur l’Algérie : « L’Algérie vue du ciel » par Yann Arthus Bertrand, sur France 2. Un documentaire magnifique qui nous a enchanté, mais hélas commenté par Yazid Tizi dans un texte très engagé et rempli de contre-vérités historiques. C’était tout à fait regrettable et inutile car la beauté des paysages se suffisait à elle-même.

Le second, en revanche, offert par France 3 et son magazine Thalassa, sous le titre : « L’Algérie, une mer retrouvée », est fortement sujet à polémique, notamment de la part des Algériens eux-mêmes.

En effet, révélée par Médiapart le 13 juin, des reporters de l’émission se sont livrés à des commentaires peu flatteurs sur ce document filmé en Algérie et distribué dans plusieurs cinémathèques.

Selon le quotidien algérien Liberté du 15 juin 2015, ce documentaire « L’Algérie, une mer retrouvée », nous a présenté une Algérie de carte postale, avec des allures d’eldorado touristique, une sorte de Nouvelle-Calédonie sans Kanaks. Des plages immaculées car nettoyées avant chaque prise de vue et filmées en vertu d’autorisations délivrées par 8 ministres, sans que cela soit mentionné à l’antenne par les producteurs et réalisateurs.

Il a consterné les Algériens qui l’ont visionné. Il présentait des sites paradisiaques, des sports d’été, une harmonie de vie sans faille, etc. Les Algériens avaient la réelle impression de découvrir les côtes d’un pays étranger et non pas les plages jonchées d’ordures de toutes sortes que le commun des citoyens algérien fréquente.

Pourquoi vouloir à tout prix, même au prix de mensonges, donner de l’Algérie actuelle l’image de l’Algérie d’il y a soixante ans, l’image de l’Algérie « vivante », propre, gaie, où il faisait bon être venu au monde, grandir, vivre ?

Ecoutons certains intellectuels algériens qui ne sont pas aveuglés par une propagande destructrice et une indignation de mauvais aloi.

L’Algérie qui fait s’écrier à la journaliste Raïna Raïkoum dans le Quotidien d’Oran : « Des milliers de bouteilles vides d’eau minérale emportées par le vent, roulant sur l’asphalte. Une terrible saleté sur les plages algériennes, des sachets, des détritus. Pas la saleté habituelle mais une saleté plus ample, plus grave, qui dure. Fallait-il libérer ce pays avec du sang pour, au final, le noyer dans la saleté ? »

Et toujours dans « Le quotidien d’Oran », Ahmed Farrah : « Le malheur d’une certaine frange d’Algériens (les vieux) c’est d’avoir des repères que les jeunes n’ont pas. L’indépendance a fait la fierté de notre peuple, mais peut-on, aujourd’hui, parler de fierté en Algérie alors que la régression est partout visible à rendre myope ? Le temps des bibliothèques scolaires et municipales, des librairies et des grandes éditions, des bouquinistes et des kiosques dans les villes et les villages. Le temps de la lecture et de la culture. Le temps où le maitre d’école en blouse grise était le notable et le modèle. Le temps de l’obligation de sortir les poubelles à la tombée du jour et de les rentrer avant le passage de l’arroseuse communale qui nettoyait les rues. Le temps des denrées bien achalandées dans des lieux nets, propres et astiqués. Le temps de la pudeur, du respect, où l’on n’importunait pas les femmes dans les bus. Le temps des vertus et de l’honnêteté. Le temps des solidarités entre voisins qui partageaient ce qu’ils avaient. Il n’est nullement question de sentiments nostalgiques « pieds-noirisés », ni de l’idéalisation d’un passé décomposé (qu’est-ce que ce serait alors ?) mais simplement de rappeler que l’Algérien était alors travailleur, laborieux, appliqué, consciencieux, bien élevé, respectueux, sociable, pacifique et civilisé. Une fois le « colon » chassé où en sommes-nous un demi-siècle plus tard ? On récolte ce que l’on a semé ! »

L’Algérie que Kamel Daoud décrit comme une « poubelle »« Il y a quelque chose de lourd, de douteux et de trop insistant dans l’indignation. On y trouve une volonté de faire dans le zèle pour masquer quelques honteuses évidences. »

Le Lac de Réghaïa, ce joyau de la nature à seulement 30 km d’Alger, décrit comme un paradis puant, dans El Watandu 11 avril : « Un marécage aux odeurs pestilentielles, des marais aux eaux verdâtres où il est nécessaire de se boucher le nez pour l’approcher. »

Ne serait-il pas plus honnête de présenter aux Algériens et aux Français le visage de l’Algérie telle qu’elle est devenue après un demi-siècle d’indépendance et non pas de tenter de l’enjoliver pour le plaisir de quelques uns en déniant la réalité ?

Source : http://magoturf.over-blog.com/

COLONISATION MIGRATOIRE À CRÉTEIL : « IL Y A MOINS DE 10 BLANCS POUR 376 ÉLÈVES » AU COLLÈGE AMÉDÉE LAPLACE

 Publié par Guy Jovelin

Colonisation migratoire à Créteil : « il y a moins de 10 Blancs pour 376 élèves » au collège Amédée Laplace

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mercredi, 01 juillet 2015

Vendue aux sionistes, islamistes, Francs-maçons de la pire espèce, au Gaullisme ainsi qu'aux déviants sexuels.

Dominique Morel
Photo de Dominique Morel.

Vendue aux sionistes, islamistes, Francs-maçons de la pire espèce, au Gaullisme ainsi qu'aux déviants sexuels.

Discours de Carl Lang au rassemblement pour la démission M.Valls et M.Cazeneuve

 Publié par Guy Jovelin

 

 
Discours de Carl Lang (Président du Parti de la France) au rassemblement organisé par...
 
 
 
 
 
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La dette de la France proche des 100% du Produit Intérieur Brut selon l’INSEE – Que fait le gouvernement ?

Publié par Guy Jovelin

Dette Maastricht

Cliquez sur l’image pour l’agrandir (Source INSEE)

Alors que la France promet des aides en Tunisie, en Grèce et ailleurs, et qu’elle ouvre des centres d’accueils pour les immigrés et promet le doublement des mosquées, la dette publique de la France a augmenté de 51,6 milliards d’euros au premier trimestre pour atteindre 2.089,4 milliards fin mars, soit 97,5% du PIB, selon les statistiques publiées aujourd’hui par l’Insee. Le ratio de la dette publique sur le PIB a augmenté de 1,9 point par rapport au dernier trimestre de 2014 qui n’était encore (si on peut dire!) qu’à 95,6%. Il s’agit de la hausse la plus forte depuis le premier trimestre 2012. L’objectif affiché du gouvernement était de 96, 3% pour l’année, ce qui prouve, même s’il le sous-estimait, qu’il avait conscience de poursuivre l’endettement de la France. Il faudrait un redressement plus qu’improbable pour que l’objectif de 96,3% soit rétabli en fin d’année.

Alors que Manuel Valls, Français récent, met à la charge des Français ses menus plaisirs, comme aller soutenir l’équipe espagnole de foot de Barcelone, la seule dette de l’Etat a augmenté de 37,1 milliards d’euros sur le premier trimestre pour s’élever à 1.647,3 milliards, précise l’Insee.

Certes, ce n’est pas un déplacement en Allemagne qui fait la différence. Par contre le renflouement des banques, notamment françaises, qui ont prêté avec la complicité et la garantie des instances de l’Union européenne, des sommes colossales à La Grèce pour la faire entrer dans l’union européenne alors qu’elle n’était pas au niveau requis, correspond presque au surplus de la dette de ce premier trimestre. Et pourtant personne ne songe à solliciter les tribunaux pour leur demander des comptes. Depuis, il est vrai, les contribuables ont encore été sollicités pour maintenir à flot les banques grecques. Et pire encore, personne ne pense (sauf le FN) à faire sortir la France du processus infernal dans lequel l’a plongé son adhésion à l’eurozone.  

dette 2

Cliquez sur l’image pour l’agrandir (Source INSEE)

Dans le détail, la dette, suivant les critères de Maastricht, comprend en plus de la dette de l’Etat à proprement parler, celles de la sécurité sociale (232,6 milliards fin mars, soit +15,8 milliards), des administrations publiques locales (187,4 milliards, en retrait de 0,8 milliard) et des organismes divers d’administration centrale (22,1 milliards, soit -0,5 milliard). La dette nette des administrations publiques s’élevait à 1.868,0 milliards d’euros fin mars, soit 87,1% du PIB contre 86,8% à la fin 2014 (1.610,2 milliards), en progression de 17,6 milliards sur trois mois, ajoute l’Insee.

En ce qui concerne la dette de l’Etat il serait intéressant (mais cela nous ne l’aurons jamais!) de savoir le coût cumulé de l’immigration, avec ses retombées telles que le terrorisme islamiste pour lequel toutes les forces de police et même en partie de l’armée, sont mobilisées en permanence. Le coût induit du soutien à la rébellion islamiste contre Bachar el Assad en Syrie, contre Kadhafi en Libye, avec les livraisons d’armes, le contrôle des traîtres français de l’islam, l’extension de la guerre terroriste à partir de la Libye et de la Syrie en Afrique noire, les rallonges multipliées de Manuel Valls dans les quartiers d’immigration récente pour lutter contre l’islamophobie (sic!), etc. etc. Mais rassurons-nous, les oligarques apatrides y trouvent leur compte!

Cazeneuve Djihad

En ce qui concerne la dette de la Sécurité sociale ou des caisses de retraites, alors que les Français voient leurs remboursements et leurs retraites diminuer sans cesse, ces organismes sont très généreux avec les clandestins, qui pourtant n’ont aucun droit à être sur le territoire national, et très généreux aussi avec les étrangers qui ont droit d’y être, leur donnant souvent des droits supérieurs à ceux des nationaux.

Gaspillage éhonté!

Cette explosion de la dette intervient alors que la trésorerie de l’Etat bénéficie d’une « très forte hausse » (+31,9 milliards), explique l’institut.

En d’autres termes, sans cette « très forte hausse » de la trésorerie de l’Etat, ce ne serait pas 51,6 milliards de déficit supplémentaire que la France aurait eu à déplorer mais:

51,6 milliards + 31,9 milliards = 93,5 millards de gabegie supplémentaires!

Et cela avec la vente de pans entiers de la France à l’étranger! Pour quel résultat concret en matière d’emploi et de croissance industrielle ? Rien que de mauvais chiffres! Mais par contre ceux de la délinquance, du terrorisme et de l’immigration progressent sans problème en dépit des mensonges d’Etat, alors que les deux têtes du pouvoir socialiste distribuent les euros durement gagnés des Français pour s’acheter des électeurs musulmans en une campagne électorale permanente! C’est dire si le pouvoir socialiste avec François Hollande et Manuel Valls, est peu soucieux des finances que les Français leur ont bien imprudemment confiées. N’est-il pas temps d’essayer autre chose?

Le gouvernement prévoyait pour l’année, selon une estimation des finances publiques publiée en avril, que la dette publique atteindrait 96,3% du PIB fin 2015 et culminerait à 97,0% en 2016 avant de revenir à 96,9% en 2017. Le ratio de 2014, annoncé alors à 95,0%, a été depuis corrigé à 95,6% (2.037,8 milliards).

Avec la progression exponentielle de la dette publique tandis que la France se trouve en position économique avantageuse par rapport aux années précédentes, on peut imaginer ce qu’il en sera RÉELLEMENT à la fin de l’année, avec les catastrophes économiques annoncées, si la France ne se dégage pas de l’Union Européenne et de la monnaie commune.

Source : http://www.medias-presse.info/la-dette-de-la-france-proch...