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jeudi, 16 août 2018

Classement des villes les plus agréables à vivre de la planète, les villes les moins agréables se situent essentiellement en Afrique

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2018

Par  le 15/08/2018 

La vie serait douce à Vienne. La capitale autrichienne a détrôné Melbourne (Australie) en tête du classement annuel des villes les plus agréables à vivre de la planète, publié par l’hebdomadaire britannique The Economist.

En troisième position, on trouve Osaka (Japon), puis Calgary (Canada) , Sydney (Australie), Vancouver (Canada), Toronto (Canada), Tokyo (Japon), Copenhague (Danemark) et Adelaïde (Australie).

CNews

(…) Des infrastructures défaillantes, un mauvais accès à des services de base comme la santé, l’éducation ou la culture, ainsi que l’insécurité, sont les facteurs qui font la différence entre les villes les mieux classées et celles qui sont mal positionnées dans cette étude. Fort logiquement, les mégalopoles des pays en développement, et notamment en Afrique, sont celles qui obtiennent les pires notes.

Francetvinfo via fdesouche

jeudi, 02 août 2018

Une nouvelle maladie inconnue menace le continent africain

Publié par Guy Jovelin le 02 août 2018

Par  le 01/08/2018

 

En l’espace d’un mois, une quinzaine de personnes sont mortes d’une maladie inconnue en République démocratique du Congo.

La RDC va à nouveau faire face à une maladie meurtrière. Après la neuvième épidémie de fièvre hémorragique Ebola, un fléau naissant, encore méconnu des services sanitaires, menace le continent africain.

Depuis début juillet, une quinzaine de personnes ont perdu la vie dans la localité de Mangina, au nord-ouest de Béni. Le docteur Alain Musondolya, spécialiste au centre de santé de référence à Mangina, dresse douloureusement la situation à l’AFP. « Nous avons enregistré 14 décès depuis le début du mois de juillet parmi une vingtaine de cas suspects que nous avons reçus depuis avril. Parmi les victimes, il y a des femmes enceintes et des enfants. Les victimes manifestaient des hémorragies nasales, des vomissements maculés de sang et des fièvres. Certains corps présentaient même des saignements à travers les oreilles. Les victimes pouvaient survivre entre 6 et 7 jours avant de mourir. Nous avons essayé plusieurs fois de sauver les malades mais en vain. C’est une maladie dont nous ignorons encore l’origine. »

Des échantillons ont pu être envoyés en observation dans la capitale du pays. Néanmoins, l’épidémie semble se répandre avec une vitesse indécente : actuellement six cas supplémentaires (un homme et cinq femmes) ont été pris en charge dans le centre de santé de Mangina, dans le Nord-Ouest du pays. D’autres malades ont quitté leurs structures médicales initiales, pensant que l’établissement de la ville n’était pas compétent. Or, ces dernières seraient mortes dans des conditions similaires. Le docteur Musondolya a ainsi déclaré « Nous n’avons pas d’intrants pour les soigner et le personnel est exposé à la contamination », facilitant la propagation.

 

samedi, 21 juillet 2018

Images d’archives – Le Père blanc missionnaire en Afrique

Images d’époque du parcours d’un Père blanc en mission en Afrique. Observez le respect qui entoure son arrivée au village.

jeudi, 12 juillet 2018

Il y a les jeunes qui courent derrière un ballon, et ceux qui tombent pour pas un rond

Il serait dommage de dénigrer le patriotisme du foot, si dérisoire et instrumentalisé qu’il puisse sembler. D’abord, parce que si l’Angleterre avait gagné en demi-finale, qui se serait donc privé, au 15 du mois de juillet à défaut du 31 du mois suivant, de chanter M… pour le roi d’Angleterre ? Puis de venger Crécy, Azincourt, Trafalgar, Waterloo… et bien sûr la p’tite Jeanne, même si nous sommes des gens civilisés et n’aurions sans doute pas mis l’entraîneur anglais – sympathique au demeurant – sur un bûcher. Qu’à cela ne tienne, les Croates ont fait le boulot.

Ensuite, parce que si elle vivote encore, si, comme cela semble être le cas, elle est encore une lueur frémissante dans le cœur de beaucoup, la fierté française, partout traquée, a le droit de se réfugier là où elle peut, comme une femme battue, dont le compagnon, l’arme au poing, explore les pièces une à une, échoue, recroquevillée et pâlotte, dans les latrines. Le seul endroit où elle peut tirer le verrou.

Il n’empêche. 8 ans se sont écoulés, l’équipe de France, menée par Didier Deschamps n’est en rien comparable à celle de Domenech, mais les faits demeurent : qui a remarqué hier soir, alors que tous les Français applaudissaient des jeunes de 20 ans rendus millionnaires par un ballon, qu’un pilote d’hélicoptère peu ou prou du même âge était mort en Côte d’Ivoire, en service aérien commandé ? Il s’appelait Alexandre Arnaud. Un patronyme qui ne connaîtra jamais la notoriété de ceux que l’on scandait, mardi soir, dans le stade. Sa mort a été totalement occultée par le Mondial de foot. Ainsi va la vie : pendant la guerre de 14, tout le monde connaissait les noms des vedettes, de Sarah Bernhardt ou d’Yvonne Printemps, personne ceux des anonymes poilus qui tombaient par grappes entières.

Mais lorsqu’un quotidien burkinabé – Aujourd’hui au Faso -, cité par Courrier International, écrit triomphalement : « Les partisans de l’extrême-droite ne doivent pas oublier que ce sont les immigrés qu’ils traitent de tous les noms d’oiseaux qui sont en train de faire de la France ce qu’elle est actuellement, et sera encore plus demain dans ce mondial », la moindre des justices commanderait de répondre à certains autres extrémistes, à l’autre bout de l’échiquier, qu’eux-mêmes, surtout, ne doivent pas oublier que ce sont les Français – non par un ballon mais par leur armée en opérations extérieures – qui sont en train de faire de l’Afrique ce qu’elle est actuellement, ou ce qu’elle devrait être, c’est-à-dire un continent en paix, parfois au prix de leur vie. Sans bruit et pour pas un rond.
Que le lieutenant Alexandre Arnaud repose en paix.  

Ecrivain, journaliste

 

Source : lafautearousseau

jeudi, 24 mai 2018

Commission européenne : « Nous veillerons à la sauvegarde des droits des Africains en Italie »

Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2018

Les Italiens, qui ont voté le 4 mars dernier pour les mouvements euro-sceptiques et identitaires, le M5S et la Ligue de Matteo Salvini alliée au parti de Berlusconi et au parti identitaire Fratelli d’Italia, pouvaient s’attendre de la part de l’Union Européenne à un basique et somme tout normal :

« Nous serons attentifs à la sauvegarde des droits des Italiens en Italie ».

Et bien non ! Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, flanqué du président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a osé répondre hier à une question portant sur le programme du futur gouvernement italien concernant la gestion de l’immigration :

« Nous ne jugeons pas les gouvernements sur ce qu’ils annoncent mais sur ce qu’ils font. Mais nous resterons attentifs pour sauvegarder entièrement les droits des Africains qui se trouvent en Italie. »

Cette sortie lui a valu une réplique mordante, (qui fait allusion au goût prononcé pour l’alcool de Juncker), de la part de Giorgia Meloni, présidente de Fratelli d’Italia :

« Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker dit que la Commission européenne veillera à ce que le prochain gouvernement italien respecte les droits des Africains en Italie. Juncker, bois un peu moins ! »

a ironisé Meloni avant d’ajouter :

« L’Italie doit respecter ses propres lois. Quels sont les droits que nous devrions respecter ? Ceux des personnes qui entrent en Italie sans respecter nos lois ? En Italie on n’entre pas illégalement. Si tu entres illégalement tu dois être rapatrié. Cela est le seul respect que nous prétendrons du prochain gouvernement et si la Commission européenne veut veiller au respect des droits bien. Nous, nous voulons veiller au respect du mandat populaire que les Italiens ont donné le 4 mars dernier, qui ont demandé l’expulsion des clandestins. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info