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lundi, 21 novembre 2016

Paris : une fausse victime des attentats jugée pour ses mensonges

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre2016

Par le 20/11/2016  

[...] Un peu plus d’un an après les attentats du 13 novembre qui ont frappé Paris, ses mensonges heurtent toujours autant. Alors que le pays était sous le choc de cette attaque sans précédent, une jeune femme de 24 ans, jugée ce lundi en correctionnelle à Versailles (Yvelines), avait tenté de se faire passer pour une victime. En se glissant parmi les centaines de blessés, cette habitante des Yvelines avait ainsi espéré obtenir le versement d’indemnités qu’alloue, dans ce cas, le Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions (FGTI). Prix réclamé à cet organisme: 20.000 euros.

Pour ce faire, la prévenue, qui était enceinte, s’était inventé quelques heures tragiques, servies ensuite à la police judiciaire de Versailles chargée de dresser la liste des personnes touchées par ce drame. Ce 13 novembre, elle avait alors affirmé s’être trouvée sur la terrasse du bar Le Carillon dans le Xe arrondissement parisien, l’une des cibles des terroristes.

Avec le souffle de l’explosion et en produisant de faux certificats médicaux et des photos piochées sur la Toile, elle avait assuré avoir été brûlée au bras. Par ailleurs, elle avait déclaré dans sa plainte avoir peur que son bébé perde du poids. Or la supercherie avait vite été déjouée. Le lieu qu’elle désignait avait été attaqué au fusil d’assaut et non à l’explosif.

Le Figaro

jeudi, 28 juillet 2016

Finis les discours et les crises émotionnelles. Place aux actes.

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2016

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Bernard Plouvier

Depuis 2013, on dénombre plus de deux cents églises et cimetières de France où les symboles chrétiens ont été profanés, en sus de rares synagogues et de quelques temples huguenots (mais certains semblent ne remarquer que ceux-là, à la manière de l’arbre qui cache la forêt).

Il aura fallu l’égorgement d’un prêtre quasi-nonagénaire par deux racailles musulmanes pour que notre distingué Premier ministre semble entrapercevoir – de très loin – l’ombre d’une possibilité de guerre de religions. Le slogan : « Valls démission » n’est, hélas, d’aucune utilité, puisque personne à la direction de l’État n’est capable de faire quoi que ce soit pour protéger la Nation française.

Ce n’est en effet pas de Cazeneuve, le si efficace ministre de l’Intérieur qu’il faut attendre quoi que ce soit, en dehors d’un rictus haineux et de discours… dirigés contre une « extrême-droite » aux intentions fantasmées. Pour l’heure, il se dit nauséeux, après avoir été attaqué, en raison de l’incompétence flagrante de ses nombreuses polices depuis la fin de l’An 2014 (car les attentats n’ont pas débuté en 2015).

Quant à gras Président, il se contente de balader sa suffisante insuffisante un peu partout… et continuera de le faire tant que l’État aura les moyens de subventionner ses voyages intercontinentaux. Il promène sa silhouette bedonnante et son masque de (très mauvais) tragédien) sur les lieux de France que l’immigration-invasion musulmane a transformés en sites de carnage et où officient les pleureuses et autres hystériques, qui n’ont même plus besoin des caméras de la TV puisqu’un simple téléphone portable suffit à immortaliser leur sensiblerie.

Ce n’est pas sur ces pantins de la globalo-mondialisation que la Nation doit compter. Il ne faudrait pas oublier que le 31 mai 1968, alors que de Gaulle était en fuite à Baden-Baden, c’est la Nation – et elle seule – qui a rétabli l’ordre en sortant massivement dans les rues, organisant d’énormes cortèges pour signifier aux canailles gauchistes la fin de la chienlit qui ridiculisait notre pays.

D’énormes manifestations populaires n’auraient qu’un faible intérêt de nos jours, puisque nous en sommes arrivés à un état de guérilla permanente, par l’effet d’une guerre des races et des religions.

Puisque l’État a démontré sa totale inefficacité dans la prévention des nouveaux attentats et sa nullité dans l’encadrement policier de la Fête Nationale, les citoyens doivent s’organiser en milices populaires d’autoprotection. On se moque des ukases des pantins ministériels : ils sont incapables de protéger la Nation. De ce fait, la Nation doit se protéger elle-même.

Divers musulmans - le calife autoproclamé de Mossoul ; les nombreux imams et ulémas gueulant leur haine de l’infidèle dans des dizaines de mosquées de France tous les vendredis soirs - ont montré aux hyènes de banlieues qui était l’ennemi : le Français de souche européenne. Tous les déchets intellectuels et sociaux d’une immigration mal éduquée, sous-douée, refusant l’effort scolaire et professionnel, ont parfaitement compris le message.

Daech peut à bon droit revendiquer les attentats commis en France (ou en Allemagne), alors même que les nervis de l’État Islamique n’ont rien organisé, étant eux-mêmes totalement dépassés par les événements : ils ont montré le chemin de la haine meurtrière. Et partout, dans le Dâr al-Harb (soit, tout pays non dirigé par la loi coranique : c’est la définition du Domaine de la guerre sainte), les psychopathes et sociopathes tuent au nom d’allah, avec la bénédiction du calife.

Même quand ils ont à peine lu quelques sourates du coran, les dingos de banlieue peuvent légitimement se recommander de l’enseignement des imams et du calife de haine, quand ils tuent à l’aveugle. La récupération des électrons libres du djihadisme par Daech est de ce fait logique et légitime.

Le corollaire est simple. Puisqu’il n’existe aucun moyen de prévoir qui, parmi la foule des musulmans présents sur le sol européen, va « se radicaliser » (c’est-à-dire obéir aux neuf sourates qui ordonnent la pratique du Djihâd à tout musulman en bonne santé), c’est l’expulsion intégrale des musulmans d’Europe qu’il faut envisager.

Aux USA, juste après la Civil War (la guerre de sécession), l’on a employé l’Armée pour protéger les colons de la furie d’Indiens qui ne voulaient pas d’agriculteurs sur leurs terres de chasse. Ces résidus d’un paléolithique anachronique furent exterminés en grande partie, et les survivants parqués dans des réserves. Lors de cette ultime période des guerres indiennes, le général Philipp Sheridan avait lancé un slogan : « Un bon Indien est un Indien mort ».

Nous autres Français, héritiers de deux millénaires et demi d’une illustre civilisation, ne voulons pas en arriver à cette extrémité barbare, même si nos merveilleux islamistes-envahisseurs semblent vouloir appliquer un slogan identique : « L’infidèle ne mérite que la mort ».

Pour éviter que l’actuelle boucherie islamique qui ravage la France ne dégénère en guerre civile, rappelant, par son côté sordide, les tueries des années 1792-1794, puis les horreurs de la Libération-Épuration de 1944-47, il est indispensable de débuter au plus tôt le Grand Retour. Et pour l’heure, il importe de protéger les Français de souche européenne de l’immonde barbarie musulmane. L’autoprotection est un devoir quand l’État est en faillite.    

 

Source : synthesenationale

jeudi, 21 juillet 2016

Ils ne peuvent rien contre les loups solitaires, disent-ils, mais qui les a fait rentrer dans la bergerie ?

Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2016

De François Hollande à Manuel Valls en passant par Jean-Marie Le Guen, tous se cachent derrière la formule magique: « Le risque zéro n’existe pas ». Même version chez le ministre allemand commentant l’attentat à la hache contre les passagers d’un train en Allemagne, par un « réfugié » afghan: « nous ne pouvons pas prévoir les réactions d’un loup solitaire, nous ne pouvons pas mettre un policier derrière tout le monde! » se défausse-t-il face aux caméras.

Sur ITélé aujourd’hui, Jean-Marie Le Guen, Secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement, non seulement  se cache et cache ses petits camarades derrière le risque zéro, mais en plus il accuse  « ceux qui prétendent qu’on aurait pu éviter cet attentat » de mentir:

« Le risque zéro n’existe pas, ceux qui disent le contraire, ceux qui prétendent qu’on aurait pu éviter cet attentat mentent, mentent aux Français. Ce dont nous avons besoin c’est de vérité. (…) Nous sommes dans une situation qui est très grave. Il y a une culture du djihadisme qui est en train de se répandre ce qui fait que des personnalités fragiles déséquilibrées, passent à l’acte. » (ITélé)

Mais qui a alimenté cette culture du djihadisme, M. Le Guen ? Qui a semé la guerre au Moyen-Orient donnant le prétexte à l’immigration musulmane de masse en France ? Qui a ouvert les frontières aux clandestins musulmans ? Qui fournit des armes aux terroristes islamistes en Syrie qui reviennent ensuite en France ? N’est-ce pas déjà M. Mitterrand, alors président, qui avait naturalisé en masse les clandestins ? Des naturalisations de masses de musulmans qui ont permis l’élection de François Hollande à la présidence de la République quelques années plus tard ? 

Non M. Le Guen, ce ne sont pas ceux qui vous accusent qui mentent mais c’est vous! C’est vous et le pouvoir que vous servez qui ne cessez de tromper les Français, de leur mentir et de les accuser lâchement alors que c’est vous qui êtes responsables de l’islamisation de la France de laquelle découlent tous les attentats, qu’ils soient de masse ou individuels.

C’est le Président de la République, le Premier ministre, les autres ministres socialistes et vous M. Le Guen qui vous défaussez de vos responsabilités bien protégés par vos gardes prétoriennes, dans le faste de vos palais républicains. (Voir photo ci-dessus: Hollande, Le guen, Valls)

C’est vous qui avez invité les loups dans la bergerie alors que vous saviez pertinemment que les loups dévorent les brebis! 

emiliedefresne@medias-presse.info

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 27 mars 2016

Pourquoi protège-t-on les bases arrières des djihadistes?

Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2016

22 mars 2016 Philippe Barraud

Les attentats de Bruxelles mettent en lumière les défauts de la stratégie sécuritaire mise en place, aussi bien en Belgique qu’en France, une stratégie qui consiste à accroître les forces de l’ordre sans  toucher aux sanctuaires des terroristes.  Si l’on veut éviter de nouvelles tueries, il faudra pourtant s’y attaquer.

C’est en tout cas la thèse de Jean-Pierre Pochon, un célèbre professionnel français du renseignement, aujourd’hui professeur associé à Sciences Po. Pour lui, le problème de base avec les mouvements djihadistes, c’est qu’ils peuvent s’appuyer complètement sur une communauté.

Ce ne sont pas des loups solitaires, ni même de petits noyaux, mais une organisation solidement installée dans une communauté. Celle-ci offre aux salafistes au minimum sa compréhension et sa complicité, sur fond de religion et d’origine ethnique commune. Mais cela peut aller beaucoup plus loin: la communauté fournit alors des planques, des équipements, des armes, des téléphones, des faux-papiers, des explosifs.
Mardi sur France-Inter, la journaliste demanda tout à trac à Jean-Pierre Pochon: “C’est quoi, ces communautés?” Un peu surpris, le spécialiste cita les “cités” de Molenbeek, mais aussi toutes celles qui, en France, et en particulier en Seine-Saint-Denis, vivent et s’organisent en marge de la République, qu’elles rejettent en bloc car la république n’a rien à faire chez eux. Ce qui explique pourquoi les policiers et les pompiers sont reçus à coups de pierres et de balles s’ils ont l’audace de franchir la limite.

Or l’analyse de Pochon est parfaitement juste: tant que les djihadistes pourront s’appuyer sur une communauté qui les soutient et les protège, et sur laquelle l’Etat ferme volontairement les yeux, les attentats continueront. Qu’un homme comme Abdeslaam, réputé l’homme le plus recherché d’Europe pendant deux mois, ait pu aller tranquillement s’acheter ses frites dans son quartier, en dit long sur la séparation de ces deux mondes, et donc sur l’impossibilité, pour les forces de l’ordre et la justice, de faire leur travail. En ce sens, on pourra pousser l’état d’alerte jusqu’à 10 et mettre des dizaines de milliers de policiers dans les lieux sensibles, cela n’empêchera pas de nouveaux attentats.
On comprend la gène des dirigeants politiques, qui préfèrent s’épancher dans de mâles discours plutôt que dans l’action. Pendant des décennies, ils ont fermé les yeux sur une immigration à la fois massive et non intégrable, pour des raisons électorales, ou idéologiques, ou pour se donner des airs de grands humanistes, ou par indifférence, ou par paresse. Aujourd’hui, l’actualité leur tend la facture de leur irresponsabilité, alors même qu’ils perpétuent la même erreurs historique.

Cela fera hurler les bien-pensants, les ONG diverses et variées, et la gauche de la gauche. Qu’importe: il faut désormais crever l’abcès, et mettre ceux qui ont déclaré la guerre à l’Europe devant leurs responsabilités, autrement dit rétablir la République et le droit ordinaire dans les cités, mettre la pression sur les familles qui couvrent les terroristes – tout en bénéficiant d’un généreux système social – voir ce qui se passe dans les mosquées, les écoles coraniques et les clubs sportifs où fleurit la radicalisation des jeunes. On peut prédire que ce sera épouvantable, car on ne met pas à bas un système pérennisé depuis des années sans cris et sans fureur. Mais c’est à ce prix, et à ce prix seulement, que l’Europe retrouvera la paix. Peut-être.

22 mars 2016 Philippe Barraud

vendredi, 25 mars 2016

Le gouvernement polonais affirme ne plus accepter de « migrants » et dénonce la naïveté des pays occidentaux

Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2016

24 mars 2016 par admin4

Suite aux attentats de Bruxelles, la Pologne (dotée d’une présidence et d’un gouvernement de droite – qui n’a rien à voir avec la droite française – depuis octobre) vient de faire savoir que, pour ce qui la concernait, l’accueil des migrants n’était plus à l’ordre du jour. C’est le premier État européen a mettre officiellement un terme à ce processus, largement imposé par l’Allemagne.

“Après ce qui s’est passé hier à Bruxelles, il n’est pas possible en ce moment de dire que nous sommes d’accord pour accepter un groupe quelconque de migrants”, a déclaré le Premier ministre Beata Szydlo à la télévision privée Superstacja.

Le gouvernement polonais précédent avait accepté, sous la pression d’Angela Merkel, d’accueillir environ 7.000 migrants clandestins.

“Nous sommes obligés de veiller avant tout à la sécurité de nos concitoyens” a insisté le chef du gouvernement avant d’appeler l’Europe à refuser d’accueillir davantage de migrants “qui viennent ici seulement pour améliorer leurs conditions de vie”. Parmi ces migrants “il y a également des terroristes”, a-t-elle constaté.

Dans le même entretien, elle ajoute ces propos à rebours de l’air du temps :

« Si les politiciens européens, les élites européennes,  considèrent qu’on résoudra le problème du terrorisme en organisant des marches de protestation, en déposant des fleurs sur les lieux où il y a eu des morts ou en illuminant des monuments aux couleurs des pays attaqués, c’est d’une naïveté terrible. »

Le ministre de l’Intérieur Mariusz Błaszczak a de son côté expliqué à la radio RMF FM : « Nous avons pleinement conscience de ce qui se passe dans l’ouest de l’Europe, où la situation est grave. » Et encore: « La Pologne n’a pas les problèmes des pays de l’ouest de l’Europe. Nous n’avons pas de quartiers où la police ne va pas, nous n’avons pas de quartiers soumis à la charia.«
« La Pologne ne doit pas commettre les erreurs faites par l’Europe occidentale il y a plusieurs décennies. Il faut prendre exemple sur d’autres pays, par exemple sur l’Australie qui a su freiner l’afflux d’immigrants en 2013 », a encore dit le ministre.

 

Source : http://www.contre-info.com/