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mardi, 25 novembre 2014

« Daech n’est plus seulement aux portes de l’Europe, il en a franchi le seuil »

 

Publié par Guy Jovelin

La force de frappe de l’Etat islamique inquiète l’état-major des armées. Outre les moyens militaires et financiers dont disposent l’EI, le retour de ses combattants en Europe représente une menace pour la France et l’Europe.

Le général Jean-Pierre Bosser est persuadé « de la nécessité d’intégrer encore plus dans notre réflexion le retour de l’armée de terre sur son milieu naturel, celui du sol national, pour pourvoir y faire face, avec les forces de sécurité, à tous types de menaces dont celles que ces vingt dernières années avaient confinées à l’extérieur ».

« La rapidité avec laquelle ce mouvement parvient à accroître ses effectifs et à diversifier son matériel est très préoccupante », a estimé le chef d’état-major de l’armée de terre, le général Jean-Pierre Bosser.

« Le groupe exerce une forte attraction sur les djihadistes du monde entier, qui rallient l’Irak et la Syrie par milliers« , a noté le député UMP des Bouches-du-Rhône Guy Tessier dans son rapport sur le projet de loi de finances pour 2015. « Les djihadistes de Daech représentent une véritable armée terroriste composée d’hommes expérimentés, bien équipés et disposant de ressources financières importantes« , a pour sa part confirmé le chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers. [...]

Selon le général Jean-Pierre Bosser, « plus de 1.000 combattants européens enrôlés dans ses rangs sont revenus dans l’espace Schengen« . Une menace pour la France et les pays européens. Car « l’adversaire n’est plus seulement aux portes de l’Europe, il en a franchi le seuil« , a souligné le chef d’état-major de l’armée de terre.

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dimanche, 03 août 2014

L’Europe marche sur la tête … une fois de plus

Par Patrick Parment

Photo« La politique de l’Union européenne ne se fonde plus aujourd’hui sur des faits vérifiés, mais elle est dictée par Washington (…) Ces sanctions antirusses témoignent de l’incapacité de l’Union européenne à jouer un rôle autonome dans les affaires mondiales ». Voici ce que pense en substance le ministère russe des Affaires étrangères.

Et l’on ne peut que lui donner raison. L’Europe est à la botte de Washington qui est aux ordres de l’AIPC (American Israel Public Affairs Commettee) le plus puissant des lobbies juifs américains. Barack Obama a beau s’en défendre, l’Amérique a rallumé la guerre froide contre la Russie de Vladimir Poutine pour la bonne raison que celui-ci n’a nullement l’intention de se conformer aux règles du jeu du capitalisme anglo-saxon.

Sauf que dans ce bras de fer, l’Europe a nettement plus à perdre que les Américains. Et ce, en raison des liens économiques et géographiques qui nous lient à notre puissant voisin. Et ce ne sont pas les mesures de rétorsion envisagées par les Américains - et leurs vassaux européens - qui effraieront les Russes. En revanche, les Européens risquent fort d’y laisser des plumes : augmentation du prix du gaz, révision des contrats passés avec les entreprises russes, sans oublier tout le secteur agroalimentaire où ils figurent parmi nos clients privilégiés.

Car, il faut être conscient que les Russes n’ont pas d’état d’âme et qu’ils ne vivent pas comme nous depuis des décennies dans une société de surconsommation. Ils vivent dans une société frugale malgré les quelques milliardaires qui font la Une de nos journaux pipoles.

Si d’aventure on réalisait un sondage pour savoir ce que pensent les Européens, il y a fort à parier qu’ils seraient massivement contre les sanctions et plus encore pour la mise au pas de ce capitalisme financier qui est en train de nous ruiner.

D’ailleurs, de quelle Europe parle-t-on quand l’Allemagne nous pousse à abandonner nos contrats d’armement – la fourniture de navires type Mistral par exemple -  quand de son côté, la mère Merkel négocie directement avec Moscou ses besoins en matière première et fournit à Israël des sous-marins furtifs de dernière génération. Sans parler du patronat allemand qui, réaliste, est hostile à toute sanction à l’égard de Moscou.

On le constate chaque jour, l’Europe est un concept de fonctionnaires bruxellois. Mais, elle existe sur un point : l’allégeance de ses capitales à Washington et à Tel-Aviv.

Pour nous Français, le drame est que nous n’avons rien à attendre de bon de la part de ce gouvernement socialiste dont le président est incapable de la moindre décision et un gouvernement constitué d’incapables qui naviguent à vue et dont le Premier ministre est obsédé par les fascistes et les antisémites qui peuplent ce pays. Et, à droite, le paysage est de la même eau. Bonsoir Madame, bonsoir Mademoiselle, bonsoir Monsieur. 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

mardi, 01 juillet 2014

Coup de balai !

 Le billet de Patrick Parment

 coup-de-balai.jpgPour une fois, on est d’accord avec le Medef, il est urgent de réformer notre modèle économique dans la mesure où celui-ci est une entrave à l’activité de ce pays. Là où nous ne sommes plus d’accord avec le patronat, c’est que l’allègement des charges réclamé risque de ne bénéficier qu’aux actionnaires et non à l’entreprise et ses ouvriers.

Dans ce pays, l’emploi, car c’est bien de cela qu’il s’agit, est ralenti aux deux bouts de la chaîne : du côté de l’Etat par une somme de lois, de règlements et d’un code du travail qui sont devenus ubuesques ; de l’autre par un modèle économique libéral qui privilégie l’actionnaire et non plus l’entreprise. Ajoutons à cela une réglementation européenne souvent absurde et l’on comprendra mieux pourquoi l’Europe est à la traîne. D’autant que, l’Allemagne mise à part – mais pour combien de temps encore ? – tous les pays européens connaissent des difficultés.

Or, l’Europe est encore une terre sur laquelle naissent chaque jour les projets industriels les plus innovants. L’Europe reste et demeure le continent où la matière grise est la première des richesses, ce qui vaut quand même plus qu’un baril de pétrole !

Dans une Europe qui n’a aucune unité politique et encore moins de défense mais une allégeance sans condition au système libéral, il revient aux Etats de limiter le pouvoir de Bruxelles et de ses fonctionnaires. Nous n’ouvrirons pas ici le procès, mille fois fait, de l’Europe. Car, c’est bien en France que de profondes réformes doivent être entreprises : réforme des impôts, réforme, ou plutôt allègement, du code du travail, réduction des normes et réglementation en tout genre. Au même titre qu’un droit de regard sur l’activité et les moeurs bancaires. Mais réforme aussi de l’Etat en lui faisant subir une cure d’amaigrissement.

Et, pour finir, puisque nous sommes dans l’urgence, une réforme de notre système éducatif avec pour première mesure le rétablissement de la sélection à tous les étages et en partant du principe que seuls 20-25% d’une classe d’âge est en mesure de faire des études longues. Ce qui nous amènerait à privilégier l’enseignement professionnel sans pénaliser la filière longue conduisant à un enseignement de qualité à tous les niveaux : facultés et grandes écoles.

On a tendance à oublier que notre civilisation s’est bâtie sur le manque, la pauvreté et le travail acharné de nos ancêtres afin de donner à la nature une forme qu’elle n’avait pas.

Enfin, autre cap à franchir, celui de la transition énergétique. Quesaco ? C’est tout simplement le remplacement, quand c’est possible, d’énergies non renouvelables par des énergies renouvelables. Un vaste chantier qui devrait, là encore, placer les Européens à la pointe de l’innovation.

On aura compris, à l’énoncé de ce catalogue restreint de réformes que ce n’est pas dans le contexte politique actuel qu’une telle révolution pourrait avoir lieu. Ce qui nous rassure, c’est que ce système est à bout de souffle avec des socialistes dont l’indigence à gouverner marque bien les limites d’une conception idéologique de la société et une droite qui a fini par révéler sa nature mafieuse. Bref, un personnel politique qui, à terme, sera balayé, espérons-le, par le ras-le-bol des peuple que l’on enfume depuis trop longtemps.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

jeudi, 22 mai 2014

Leonarda la Kosovare : « On rentre en France. On va où on veut. C’est l’Europe ! » (par Joris Karl)

Publié par Guy Jovelin

C’était le pire scénario pour le PS à cinq jours du scrutin européen. Leonarda Dibrani, la super-héroïne de l’immigration incontrôlable, a bien décidé d’utiliser ses super-pouvoirs pour revenir dans notre douce France !

Sa nationalité kosovare ne le lui permet pas ? Eh bien, elle sera croate ! On n’est pas à une patrie près dans l’Europe passoire des années 2010. Et puis, comme dit Nathalie Arthaud : « On n’a qu’une patrie, l’humanité. » Cool. Bon d’accord, la sympathique collégienne changera de nom (Tahiri), mais aujourd’hui, on peut bien changer de sexe ou gagner l’Eurovision en tant que femme à barbe, alors vous pensez…

Seulement voilà, pour la rose, même complètement fanée, Leonarda qui ferait son retour sur un plateau, ce serait le coup de massue de trop. De quoi faire monter le Front jusqu’au plafond. Alors Monseigneur Fabius, en charge de l’Étrange étranger, pousse une gueulante à l’ancienne sur France Info ce mercredi : « Cette dame et sa famille n’auront pas leur place en France, point à la ligne. On ne peut pas faire des fraudes à la nationalité, ce n’est pas possible donc à partir du moment où il y a une tentative de fraude – je ne sais pas si c’est exact ou pas exact –, la réponse sera non. C’est un faux événement, c’est un non-événement. » Un discours xénophobe, franchement nauséabond, qui nous rappelle incontestablement les heures les plus sombres de notre histoire. Monseigneur, ouvrez-vous les veines à la diversité, nom d’un visa ! En plus, Fabius raconte des bobards, ainsi que l’explique Valeurs actuelles, qui a fait buzzer l’affaire : « En vertu d’accords signés le 1er juillet 2013, les ressortissants croates sont dispensés d’obligation de visa de court séjour, aussi appelé « visa Schengen » pour voyager librement au sein de l’espace. »

Et puis, ventre-saint-gris, Leonarda n’est pas jeune fille à baisser la tête parce qu’un vulgaire ministre de la République lui donne des ordres, non mais ! Toujours sur France Info, elle annonce la couleur : « On rentre en France un jour ou l’autre. On est nés en Italie, mais on a des passeports croates. On peut aller où on veut après, c’est l’Europe, et puis voilà ! » Joyeusetés de l’Europe de 2014, où on peut changer d’identité comme de chemise…

Au pied du mur médiatique, le gouvernement va jouer les gros bras et tenter de tenir jusqu’à dimanche ; chaque jour, des immigrés clandestins rentrent tranquillement sur notre territoire ouvert à tout vent, la nationalité n’est plus qu’un torchon répugnant dans lequel s’essuient les truands de tout poil. Mais on fera un exemple avec la gamine. Pour rassurer le populo. Après le 25 mai, Leonarda qui, d’ici là, sera peut-être belge ou écossaise, sera bienvenue chez nous ! Comme dit le père de la néo-Croate franc-comtoise d’origine serbo-cosmique : « Hollande ment tout le temps, moi aussi ! »

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vendredi, 07 février 2014

Pour un renouveau national au service du peuple français d'abord

 

Le monde vient d’assister en direct au naufrage du mondialisme financier et à la faillite du système économique basé sur le dogme du marché ouvert mondial et du libre-échange.

Si les gourous du libre-échange sont les véritables responsables de l’état de choc financier et de la crise économique et sociale majeure qui frappe l’Europe et le monde, la classe politique et les institutions européennes sont coresponsables du désastre par leur aveuglement et leur dogmatisme.

Face à cette insupportable situation dont sont victimes des millions de Français, la nécessaire reconquête économique et sociale que nous proposons s’appuie sur les deux principes de la préférence nationale et européenne et de la protection nationale et européenne.

Le temps de la rupture avec le vieux système politique et économique est venu, et les élections européennes de juin 2009 seront l’occasion de proposer au peuple Français et aux peuples d’Europe une politique de Renouveau National pour une Nouvelle Europe des Nations.

  • une Nouvelle Europe véritablement démocratique des nations souveraines et des peuples libres qui ne soit pas soumise dans tous les domaines aux diktats de la politique centralisatrice et bureaucratique de Bruxelles.
  • une Nouvelle Europe financièrement, économiquement et socialement protégée du mondialisme ravageur, de la dictature du libre échange et du marché ouvert à la concurrence mondiale.
  • une Nouvelle Europe industrielle et artisanale de reconquête de son marché intérieur. Nous devons produire français avec des Français et protéger nos emplois et nos entreprises de la concurrence sauvage et des délocalisations
  • une Nouvelle Europe de la ruralité, de la défense de ses paysans, de la défense de son patrimoine naturel et de ses traditions. Nous devons défendre la FRANCE des terroirs et des clochers
  • une Nouvelle Europe de la démographie et de la relance de ses politiques familiales.
  • une Nouvelle Europe qui défende son identité, ses valeurs de civilisation, ses cultures nationales et provinciales, ses racines humanistes et chrétiennes.
  • une Nouvelle Europe européenne qui arrête le processus économiquement et socialement suicidaire d’immigration extra-européenne et qui s’oppose à l’entrée de la Turquie dans l’Union.
  • une Nouvelle Europe diplomatique indépendante et pacifique qui développera des relations de partenariat privilégié dans tous les domaines avec la Russie.

Aidez-moi à mener cette bataille politique de redressement national et de défense des droits du peuple français.

Il n’y a pas de fatalité au déclin de la France. Gardons espoir en un avenir Français.

Continuons ensemble !