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samedi, 24 juin 2017

Douce France – Macron face aux migrants : entre l’idéologie d’Hidalgo et la réalité à Calais

Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2017

PAR LE

Macron face aux migrants : entre l’idéologie d’Hidalgo et la réalité à Calais

 

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Campement de migrants Porte de la Chapelle

 
Les élections sont finies mais les problèmes qui pendaient restent. Macron et sa majorité se trouvent face à l’afflux incessant de migrants. Coincés entre l’idéologie mondialiste qu’incarne Anne Hidalgo à Paris et la dure réalité qu’illustre Calais. Il va falloir choisir.
 
Emmanuel Macron ne m’inspire ni la moindre estime ni la moindre illusion, mais c’est un politique, et tous les politiques doivent survivre : la submersion de l’Europe par les migrants est un phénomène si grave qu’elle peut lui inspirer quelques décisions conservatoires, d’urgence, pour éviter la faillite et la guerre civile. A moins qu’il ne préfère se soumettre à l’idéologie qui l’a mandaté et qui anime ses soutiens. L’événement nous le dira vite. En attendant, les migrants occupent l’actualité de façon toujours plus inquiétante.
 

Mort à Calais sur une barricade élevée par des migrants

 
Un automobiliste est mort à Calais sur l’autoroute A 16. Brûlé dans sa camionnette. On ignore son identité. Sa plaque minéralogique est polonaise. Le véhicule a percuté un « barrage artisanal » placé en travers de la chaussée et a pris feu. Ce sont des migrants qui ont construit le barrage. De simples troncs d’arbres entremêlés. L’AFP nous apprend que les « migrants désespérés » font souvent cela la nuit, « afin de ralentir des camions en partance pour l’Angleterre et tenter de se cacher à l’intérieur ». Du temps de la Jungle c’était une pratique courante, depuis, ça s’était arrêté, maintenant, ça repart. La camionnette polonaise n’était apparemment pas au courant.
 

La réalité des migrants que l’idéologie dominante refuse de voir

 
Depuis Sangate, ni la France ni la Grande Bretagne n’ont voulu ouvrir les yeux. Il y a eu Calais, la Grande Synthe, la Jungle, des milliers, des dizaines de milliers, des centaines de milliers d’incivilités toujours plus graves, des vols, des agressions. Face à cela la réponse des organisations humanitaires était toujours de récriminer contre les conditions d’accueil faites par la France, et celle des autorités la dispersion-relocalisation des migrants. Les malheureux, il fallait comprendre leurs coutumes, dont l’habitude d’incendier les maisons à leur départ. Résultat l’anarchie grandit et l’afflux des migrants, loin de cesser, croît. Bien que l’on ait réparti des milliers de beaux Noirs censément réfugiés de la guerre en Syrie dans les campagnes françaises, quatre cent migrants (officiellement) sont revenu hanter les abords de Calais. Et cela se traduit par des troubles insignes à l’ordre public (couper un autoroute n’est pas un délit banal ni bénin) et un mort. Un, pour l’instant. La réalité n’est pourtant pas compliquée : ce qu’on nomme la crise des migrants est une invasion, et il n’y a pas d’invasion, même si on la dit pacifique, sans violence ni modification profonde du biotope de l’envahi.
 

Anne Hidalgo face au déni de la réalité

 
Mais dans une société régie par le virtuel, la réalité est moins forte que l’idéologie : malgré le mort de Calais, Anne Hidalgo vient de réclamer pour Paris dont elle est le maire plus de lieux d’accueil pour les migrants. Avec un argument massue, qui en appelle à la fois au bon sens et à la dignité : si rien n’est fait, « plusieurs milliers » de migrants vont camper dans les rues de Paris cet été, et seraient ainsi contraints « de vivre dans des conditions indignes ». Pourquoi ? Parce que le nombre d’arrivées à Paris est « en augmentation nette depuis le début du printemps (…) plus particulièrement depuis deux semaines ». En particulier le nombre de jeunes migrants qui se disent mineurs « a doublé en un an ».
 
Or la situation est déjà terrible selon Mme Hidalgo : un camp de « un millier de migrants » s’est reconstitué dans le nord de Paris depuis les dernières ouvertures de centres d’accueil, il subit des « tensions à l’entrée » et des rixes s’y « multiplient ».
 

Macron va-t-il sauver l’environnement des Parisiens ?

 
L’aveu est terrible. Les migrants constituent un danger, pour eux et pour la population. Pire, l’ouverture de centres d’accueil, dont Anne Hidalgo est un partisan déclaré, n’a en rien résolu le problème, puisque d’une part, dès maintenant, des campement insalubres se sont reconstitués (Anne Hidalgo en relève un mais on pourrait lui en montrer vingt), et que d’autre part l’afflux continue et s’aggrave même. On ne saurait mieux constater l’échec total de la politique suivie par Anne Hidalgo et ses semblables : mais l’idéologie est la plus forte. Du temps de l’URSS, devant la marasme de la société, on réclamait toujours plus de communisme. L’immigrationnisme fait de même. Avec grandiloquence. Anne Hidalgo rappelle son « engagement à s’impliquer résolument dans les initiatives nationales » et préconise « une politique européenne ambitieuse en matière d’asile ». Donc, toujours plus de migrants sans contrôle. Alors que les rues de Paris sont envahies, en dépit des milliards dépensés et des centres d’accueil, par des migrants non identifiés, leurs gourbis, leurs hardes, leurs détritus, leurs déjections, ruinant le tourisme et la santé publique – la gale et les punaises reviennent. Tout frais émoulu président, Macron a, dit-on, le souci de l’image de Paris et de la France. S’il veut œuvrer pour l’environnement…

Pauline Mille

http://reinformation.tv/macron-face-migrants-ideologie-hi...

 

Source : leblogalupus

mardi, 30 mai 2017

Anne Hidalgo autorise finalement le festival en partie interdit aux Blancs

 

Apartheid Anne Hidalgo Festival
29/05/2017 – 15h50 Paris (Breizh-Info.com) – Aussi incroyable que cela puisse paraître, le maire socialiste de Paris Anne Hidalgo a décidé de revenir sur ses condamnations fermes du festival « afroféministe » Nyansapofest, qui se tiendra le 28 juillet prochain à Paris. Ce festival est vivement attaqué car plusieurs espaces du festival seront expressément interdits […]

 Extrait de: Source et auteur

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vendredi, 01 juillet 2016

Interdiction des véhicules anciens : quand Hidalgo traque les sans-dents

Publié par Guy Jovelin le 1er juillet 2016

2CV

La politique anti-voiture initiée à Paris en 2001 n’a toujours pas produit de résultats significatifs dans la lutte contre la pollution puisque, générant des embouteillages sans améliorer parallèlement l’offre de transports souterrains, elle congestionne sans fluidifier.

Mais ces mesures sans cesse durcies sont devenues comme un réflexe identitaire chez les socialistes et les Verts parisiens. S’ils sont de gôôôche et progressistes, c’est parce qu’ils luttent contre l’affreuse bagnole, synonyme d’individualisme. La ville peut bien s’endetter et s’encrasser, au moins leur reste-t-il ce marqueur pour complaire à leur électorat de bobos qui envisagent sans trop de déplaisir de se contenter de Vélib’ pour aller de leur agence de com’ à leur appartement près du Canal Saint Martin. Non, je ne caricature pas, je les ai vus à l’œuvre comme élu parisien pendant des années …

Cet égoïsme paré des plumes du bon sentiment écologiste a été récupéré par des politiciens cyniques avec Delanoë et Hidalgo pour chefs de file. Gros problème : comme tout penchant dogmatique, il a tendance à se durcir et verser dans l’outrance et l’intransigeance à mesure que ses résultats font défaut.

C’est très exactement ce qui est en train de se passer avec la fermeture de la voie expresse rive droite qui sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase des engorgements de Paris. Après tout, laissons Hidalgo faire : il est bon que ceux qui gobent sa propagande finissent par souffrir avec les autres.

Dernière facétie en date : l’interdiction des véhicules immatriculés avant 1997. Peu importe si leurs contrôles techniques révèlent qu’ils ne polluent pas plus que les autres. Peu importe surtout si rien n’est fait, une fois encore, pour offrir des solutions alternatives à leurs propriétaires. C’est la répression qui tient lieu d’action.

Qui en sont les victimes ? Tout le monde s’en est rendu compte, ce sont d’abord ceux qui n’ont pas les moyens de s’acheter des véhicules neufs ou plus récents. « Salauds de sans dents !», crie Hidalgo pour actualiser la formule de Gabin avec les mots de l’ami du peuple actuellement enkysté à l’Elysée.

Il leur faudra se contenter, s’ils ne peuvent plus se déplacer en voiture, de serrer les dents qui leur restent quand même dans des transports malcommodes. Ou de solliciter, s’ils ont quinze ans devant eux et du piston, un des logements sociaux que la mairie fabrique pour y parquer sa clientèle électorale. Sinon, bah … ils n’avaient qu’à être des bobos comme les autres.

Autre population malmenée : les propriétaires de voitures de collection, placés encore plus haut sur l’échelle de la détestation socialiste.

Avec un peu de recul, on se dit qu’une fois encore cette engeance politicienne aura raté le virage technique et social qui se négocie sous nos yeux. Le transport individuel, via la voiture automatisée, est l’avenir ; le transport collectif, peu modulable, coûteux et syndicalisé, appartient au passé.

Croyant être innovants, Hidalgo et ses sbires sont en réalité ringards et en retard d’une guerre. Ils s’en prennent aux véhicules d’antan sans comprendre que la liberté qu’ils symbolisent et qu’il faut à tout prix respecter est le seul guide fiable pour élaborer les solutions du futur.

Serge Federbusch

 

Source : ripostelaique

mardi, 15 mars 2016

Najat Vallaud-Belkacem, Jean-Vincent Placé, Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet au dîner de la LICRA

Publié par Guyb Jovelin le 15 mars 2016

Moins prisé que le dîner du CRIF, le congrès de la LICRA n’en a pas moins attiré quelques politiciens bien connus.

Les 12 et 13 mars se déroulait le 48ème congrès de la LICRA sur le thème « En quoi l’émergence d’un nouvel antisémitisme affiché est-il un enjeu essentiel pour le mouvement antiraciste ? ». La Maison du Barreau, place Dauphine, avait été mise à disposition. Y participaient Patrick Cohen (journaliste à la matinale de France Inter et à l’émission C à vous sur France 5), Raphaël Enthoven, Frédéric Encel, Mohamed Sifaoui, Boualem Sansal,…

Le samedi soir, la LICRA organisait également son « dîner républicain » dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris mis à disposition par Anne Hidalgo. Si Bernard Cazeneuve a été retenu ailleurs, on pouvait reconnaître parmi les convives les ministres Najat Vallaud-Belkacem et Jean-Vincent Placé, ainsi que Nathalie Kosciusko-Morizet.

 

jeudi, 04 juin 2015

Indécence

 Publié par Johanna

Manuel-valls-najat-vallaud-belkacem-anne-hidalgo-à-roland-garros-2015Cette photo, qui montre Anne Hidalgo, Najat Vallaud-Balkacem et Manuel Valls hilares dans les tribunes de Roland-Garros, a de quoi déranger un peu, si l'on songe à l'état général de la France, au taux de chômage qui croît de façon exponentielle, à la précarité qui touche un nombre toujours croissant de Français, à l'insécurité galopante, mais aussi, à tous les petits Français qui ne voient jamais le jour par la "vertu" de l'avortement, à tous les anciens qui disparaissent un peu trop vite parce qu'ils coûtent cher à la société, à toutes les familles éclatées par le divorce, au bouleversement radical de notre société à qui l'on impose des pratiques venues d'ailleurs, à l'abandon organisé de tout ce qui fait la France...

En temps normal, on ne s'offusquerait pas que des ministres prennent un peu de bon temps à Roland-Garros et honorent le sport français de leur présence. Mais justement, nous ne sommes pas en temps normal, et il me semble que cette photo a quelque chose d'indécent...

Marie Bethanie

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html