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vendredi, 23 novembre 2018

Hidalgo : l’endettée socialiste Macron-compatible ?

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2018

Rédigé par notre équipe le 22 novembre 2018.

Le 19 novembre dernier, les journalistes apprenaient avec stupeur que la dette de la ville de Paris atteignait 7 milliards d’euros. Une performance de haut vol signée Anne Hidalgo qui n’a surpris aucun Parisien au regard de sa politique municipale ubuesque. Un trou hallucinant creusé en l’espace de quelques années qui aurait dû mettre KO la diva parisienne. Or, Hidalgo a du culot et l’espoir d’un accord malsain avec la République En Marche.

Le mandat d’Anne Hidalgo à la tête de la ville de Paris est catastrophique. Il est déjà écrit qu’elle restera dans l’Histoire comme la première femme maire de la capitale, mais aussi comme la moins douée. Son bilan s’inscrit comme autant de verrues dans les rues de la capitale, mais il y a aussi la partie qui devait rester cachée et qui a pris un coup de projecteur en ce 19 novembre.

Des milliards de dette comme bilan comptable et politique

Le Figaro s’est fait le petit plaisir de mettre la main sur une note confidentielle et de la publier. Le contenu est explosif puisque la situation financière de la ville est décrite comme intenable par celle qui était alors conseillère de la maire chargée du Budget, des affaires financières et des marchés publics. On peut y lire : « En effet, même en contenant notre taux d’endettement à 85% et notre dette à sept milliards d’euros, nous aurons au-delà de 2020 deux contraintes à assumer ».

Une dette colossale qui laisse présager de lendemains extrêmement douloureux. « En fonctionnement, dans les conditions actuelles favorables du marché, le niveau d’emprunt prévu d’ici la fin de la mandature va en effet avoir pour effet d’augmenter, à partir de 2021, à 150 millions d’euros par an en moyenne la charge des intérêts (contre 100 à 120 millions en 2017-18). En investissement, surtout, le remboursement des annuités d’emprunt passera à près de 300 millions d’euros dès 2021 contre 200 millions par an depuis 2014 et atteindra même 300 à 400 millions d’euros en 2030/2040 ».

Bien entendu, la note a été enterrée comme il se doit et l’on peut assumer sans avoir peur de se tromper que la situation s’est encore dégradée depuis sa rédaction en décembre 2017. L’actuel premier adjoint, Emmanuel Grégoire a balayé le problème d’un revers de main en affirmant que « l’important ce n’est pas le montant de la dette mais notre capacité à rembourser ». Au fond il s’en fout puisqu’il ne sera plus aux commandes pour payer la note. Le successeur d’Hidalgo va se retrouver confronter au mur de la dette et les Parisiens comme tous les Français savent qu’elle est l’unique solution adoptée par les politiques dans ce cas : l’augmentation des impôts !

Les impôts locaux vont exploser et même surexploser avec les Jeux Olympiques de 2024. Mais la France est un pays plein de paradoxes. Alors qu’on traîne devant les tribunaux les ménages surendettés, on négocie une alliance avec les politiciens qui ont mis à terre leur jouet et les habitants qui y vivent. Alors qu’Hidalgo était certaine de se prendre le soufflet du siècle aux prochaines élections, son étoile reprend un peu d’éclat grâce… aux déboires de la République En Marche. Le parti à pléthore de prétendants, mais à la vitesse où les Français sont insultés, les Griveaux et autres Mahjoubi seront bientôt plus nombreux que les électeurs prêt à voter pour eux.

Les socialistes sauce Hidalgo et ancien socialistes sauce Griveaux sont dans le dur et l’on pourrait assister à une alliance des zéros pour empêcher la droite de revenir au pouvoir. Une alliance dans laquelle les écologistes – dont le passif à Paris est déjà grand – pourraient avoir un poids déterminant. La course est lancée et pourrait déboucher sur un triomphe de ceux qui ont déjà échoué. Avec ou sans eux à l’Hôtel de Ville, les Parisiens sont sûrs de payer très cher le bilan d’Hidalgo.

 

Source : 24heuresactu

 

lundi, 25 juin 2018

Anne Hidalgo : « La France n’est pas au rendez-vous de son histoire sur la question des réfugiés »

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2018

Par  le 24/06/2018 

La maire de Paris Anne Hidalgo fustige un « durcissement difficile à comprendre » de la politique migratoire dans une interview au JDD.

La maire de Paris Anne Hidalgo hausse le ton contre Emmanuel Macron. Elle estime que la France aurait du accueillir l’Aquarius. « Le président de la République se dit très proeuropéen mais, sur la question des réfugiés, la France n’est pas au rendez-vous de son histoire. Quant à l’Union européenne, si elle ne fait rien, elle implosera.« , note-t-elle. […]

Sur le sujet des migrants, Anne Hidalgo pense que « les Français sont tout à fait capables de comprendre qu’il vaut mieux organiser l’accueil des réfugiés que de laisser prospérer le chaos. Bien sûr, cela demande plus de courage que de flatter le populisme. Mais si l’on cède à cette pente, les gens finiront par préférer l’original à la copie. Ma conviction, c’est que nous n’avons pas le droit de nous résigner à ce que des gens vivent dans la rue. Nous ne pouvons pas faire comme s’ils n’existaient pas, comme si cela était normal. Notre responsabilité collective est de leur tendre la main. »

Le JDD via fdesouche

samedi, 30 décembre 2017

La mairie de Paris et Anne Hidalgo rendent hommage au héros sanguinaire de la dictature cubaine Che Guevara

Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2017

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Christian Hofer: A noter que le régime castriste pratiquait la chasse aux homosexuels dans la société cubaine, "détail" que la gauche cache soigneusement.

Oui Hidalgo, c'est vraiment "très romantique".

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Scandale. À travers une exposition organisée à l'Hôtel de Ville, l’édile socialiste célèbre « une figure de la révolution devenue une icône militante et romantique ».

Anne Hidalgo ose tout, c’est même à ça qu’on la reconnait. Après avoir déboursé la somme astronomique de 86 millions d’euros pour le futur musée Pinault, qui accueillera une partie des collections d'art contemporain du milliardaire, 30e homme le plus riche du monde avec une fortune estimée à 26,3 milliards de dollars, la maire de Paris célèbre Che Guevara, le révolutionnaire communiste de la dictature cubaine, dit le « petit boucher de la Cabaña ».

« Avec l'exposition Le CHE à Paris, la capitale rend hommage à une figure de la révolution devenue une icône militante et romantique. A découvrir gratuitement à l'Hôtel de Ville de #Paris », a ainsi louangé l’édile socialiste, jeudi sur Twitter, dans un message agrémenté d’un symbolique « poing serré ». L’exposition se tient du 20 décembre au 17 février 2018.

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Sur son site, la mairie de la capitale glorifie aussi « l’une des figures les plus marquantes de l’Histoire de la révolution », « le lecteur insatiable, le sportif, le voyageur, le guérillero, le marxiste aspirant à voir émerger l’« homme nouveau », le médecin-phytothérapeute mais aussi le poète, le photographe et l’amateur d’art » et même « une légende de la révolution ».

Un fils de bourgeois « assoiffé de sang »

Au-delà de l’habituelle propagande révisionniste, propagée par l’extrême gauche, Ernesto Guevara, né le 14 juin 1928 à Rosario en Argentine et exécuté le 9 octobre 1967 à La Higuera en Bolivie, fut surtout un révolutionnaire sanguinaire et stalinien fanatique. Ce fils de bourgeois « assoiffé de sang », qui n’a jamais eu les diplômes pour pratiquer la médecine, a d’ailleurs assassiné lui-même d'une balle dans la tête des « traîtres » à la révolution.

Nommé commandant de la prison de la Cabaña par Fidel Castro, le « petit boucher » assistait en fumant son cigare aux exécutions des prisonniers politiques, parfois devant femmes et enfants. Comble de la cruauté, il a exigé de faire passer les familles devant le mur ensanglanté. Il serait responsable de 200 condamnations à mort. « Nous avons fusillé, nous fusillons et nous continuerons de fusiller tant qu'il le faudra », clamait-il, en 1964, à l’Onu.

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Un marxiste doctrinaire

C’est lui encore qui a créé le premier goulag tropical, les camps de travaux forcés. Considérés comme des « agents de l'impérialisme » vendus au capitalisme, les homosexuels de l’île ont aussi été internés par le régime, aux côtés des handicapés mentaux et de religieux. Ignare en économie, le marxiste doctrinaire a en outre ruiné son pays en le collectivisant à la tête du ministère de l'Industrie, puis de la Banque nationale de Cuba. « La Corée du Nord est un modèle dont Cuba devrait s’inspirer », a-t-il un jour déclaré.

Écarté par Castro pour avoir critiqué l'URSS trop modérée, il a tenté enfin d’étendre ses idées internationalistes par la guérilla armée au Congo et en Bolivie. Partout, ce fut un échec. Sur les noirs, « ces représentants de la splendide race africaine qui ont gardé leur pureté raciale grâce à leur manque de goût pour le bain », le Che a d’ailleurs écrit cette mémorable sentence raciste« Le Noir, indolent et rêveur, dépense ses sous en frivolités ou en « coups à boire », l’Européen a hérité d’une tradition de travail et d’économies qui le poursuit jusque dans ce coin d’Amérique et le pousse à progresser, même au détriment de ses aspirations individuelles. » Voilà donc pour « l’icône militante et romantique » vantée par Anne Hidalgo.

 

Source via lesobservateurs

jeudi, 26 octobre 2017

Affaire Hidalgo et les emplois fictifs : MPI disait vrai !

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2017

emplois fictif,hidalgo,mairie de parisLe 31 mai, je citais dans un article les affaires d’emplois fictifs de la maire de Paris. Le quotidien de propagande régimiste Libération hurla à la fake news… Mais voilà que le journal économique Capitalreprend sous la plume de Philippe Eliakim les accusations en les étayant par des documents comptables…

Suite à une enquête fouillée, il prouve que la notable sépharade,  après avoir été élue première adjointe de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris en mars 2001, « Anne Hidalgo a continué de se faire payer pendant des mois par son administration d’origine, le ministère du Travail. En plus de ses indemnités d’élue réglées par la mairie – 5.575 puis 6.424 euros mensuels à partir d’octobre 2002, sans compter les défraiements –, elle percevait un salaire mensuel de 3.040 euros du ministère, auquel s’ajoutaient entre 1.000 et 2.000 euros de primes. », comme conseillère technique puis comme chargée de mission. En janvier 2003, près de 2 ans après avoir été nommée première adjointe au maire de Paris, Anne Hidalgo continuait de se faire discrètement payer par le ministère du Travail, comme l’atteste une copie d’un bulletin de salaire livré dans l’article de Capital.

L’emploi fictif est confirmé par des anciens du cabinet de Marylise Lebranchu :

« A son arrivée, en novembre 2000, elle a travaillé pendant quelques semaines sur le conflit des greffiers. C’était ce que l’on appelle un emploi fictif, confirme un autre membre du cabinet. Elle ne participait jamais aux réunions de travail, elle n’avait même pas de bureau. Les seules fois où on la croisait, c’est lorsque le club de Martine Aubry, Réformer, organisait une réunion ou un dîner dans les locaux du ministère, avec Benoît Hamon et François Lamy ».

Après la défaite de Jospin en 2002, Hidalgo est toujours payée à ne rien faire à la direction régionale du travail d’Ile-de-France. Elle n’y met évidemment jamais les pieds, mais n’en continue pas moins de se faire verser son salaire. Toujours un emploi fictif…

Alerté, le syndicat d’extrême gauche SUD tente de faire cesser le scandale : saisie de la Dagemo (la DRH de l’administration du travail), de la Cour des comptes, de la Commission des comptes de campagne et de la mairie de Paris, en vain. Le responsable syndical chargé de l’affaire, Yves Sinigaglia, finit par saisir la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs). Le 7 janvier 2003, le ministère du Travail place rétroactivement (avec 2 ans de retard) Hidalgo en position de détachement à la mairie de Paris et lui demande de rendre les sommes indûment perçues depuis la dissolution du cabinet Lebranchu, soit 21.659,05 euros hors primes, mais ne s’acquitte pas du remboursement des 19 mois d’emploi fictif précédent, soit la coquette somme de 80.000 euros. Bien plus que les sommes impliquées lors de l’affaire des rapports bidons de Xavière Tibéri…

Fanfaronne, Anne Hidalgo déclara avoir porté plainte contre Capital pour diffamation. La suite au prochain épisode de notre grand feuilleton « La fantôme de l’Opéra », pardon, je confonds, « La fantôme du Ministère de la Justice »… Elle s’appelle peut-être Hidalgo, mais en tout cas, ses valeurs n’ont rien de chevaleresque…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

mardi, 25 juillet 2017

Le bassin de la Villette fermé à la baignade après la découverte de bactéries fécales

Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2017

Le bassin de la Villette fermé à la baignade après la découverte de bactéries fécales
Source: AFP
Enfants se baignant dans le bassin de la Villette 

Après seulement quelques jours d'ouverture à la baignade, le bassin de la Villette a été fermé jusqu'à nouvel ordre après un prélèvement révélant une forte concentration de bactéries entérocoques. 

C'était «le rêve» d'Anne Hidalgo, tel qu'elle l'avait elle-même décrit : l'expérience estivale largement médiatisée aura pourtant été de courte durée. Alors que la mairie de Paris venait d'ouvrir à la baignade le bassin de la Villette, dans le XIXe arrondissement, la présence d'une bactérie dans l'eau a contraint les autorités à fermer le site.

Ce que la mairie de Paris décrivait comme «le premier espace de baignade urbaine de la capitale» a été fermé jusqu'à nouvel ordre ce 24 juillet. La raison de cette décision subite : la présence d'une bactérie entérocoque dans l'eau, comme le rapporte France Bleu Paris. L'analyse quotidienne de l'eau a révélé une forte concentration de cette bactérie habituellement présente dans l'intestin, les selles ou les parties génitales des êtres humains. Ces bactéries peuvent également provenir des égouts ou des écoulements d'eaux usées. 

Peu ragoutantes, ces explications ne sont pas mises en avant par la mairie de Paris, qui préfère évoquer les pluies de ce week-end, pourtant peu importantes. Elle annonce en outre qu'une nouvelle série de prélèvements sera effectuée le 25 juillet, afin de déterminer si et quand le bassin pourra de nouveau accueillir les baigneurs. 

L'ouverture à la baignade du bassin de la Villette était un défi pour les autorités parisiennes, notamment en raison de la réputation d'insalubrité des eaux de la capitale. En 1988, c'est dans la Seine que Jacques Chirac avait promis de se baigner s'il était élu président de la République, mettant en avant un plan d'assainissement du fleuve, qui n'a jamais abouti.

 

Source : francais.rt