Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 28 mai 2018

La France, terre élue du jihad ! Les chiffres sont effrayants…

Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2018

Par  le 27/05/2018

[…] Un rapport du Centre d’Analyse du Terrorisme (CAT) vient de confirmer enfin notre première place dans cette compétition. Molenbeek c’est de la gnognotte. Du pipi de chat. Place à Trappes, Bobigny, La Courneuve, Saint-Denis et Roubaix. Le CAT a étudié les profils de 238 condamnés pour terrorisme. Il note que depuis janvier 2013, 980 Français ou résidents ont manifesté des velléités de départ vers l’Irak et la Syrie. Et que des milliers y seraient partis. 1269 individus y seraient encore. […]

Les chiffres du CAT font froid dans le dos. Au 15 mai 2018, le parquet traitait 513 dossiers liés au djihadisme : 1620 individus concernés ! Il s’agit bien d’un phénomène de masse. 17 affaires impliquant 37 personnes jugées à ce jour depuis janvier dernier.

 

Atlantico via fdesouche

mardi, 08 mai 2018

Selon une étude espagnole, la société marocaine légitime le jihad

Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018

Par  le 07/05/2018

Le Think tank espagnol, Real Instituto Elcano, qui dit «analyser le monde d’un point de vue espagnol et européen», a étudié la provenance de terroristes qui sont passés à l’acte entre 2013 et 2017 en Espagne. Elle livre également quelques chiffres sur ce qu’en pensent les Marocains.

Au cours de ces cinq dernières années en Espagne, 233 djihadistes ont été arrêtés et huit autres abattus. L’étude qui se contente d’analyser la nationalité ou les origines de ces terroristes, affirme ainsi que «près de la moitié des djihadistes arrêtés ou tués en Espagne entre 2013 et 2017 sont de nationalité marocaine». Plus précisément, ils sont de 46%.

Ceux de nationalité espagnole sont près de 37,9%, tandis que le reste est constitué de 19 autres nationalités. Cependant, un autre point évoqué dans cette étude est la naturalisation. Dans ce sens, 53% de l’ensemble des djihadiste sont nés au Maroc et 29,5% en Espagne.

Sur cette base, l’étude souligne qu’actuellement, le djihadisme en Espagne «est principalement le fait de personnes de nationalité marocaine ou de parents Marocains, ce qui implique qu’un problème existant au Maroc est projeté sur notre pays (Espagne)».

L’étonnante affirmation qu’avance le document est que la société marocaine légitimerait même le djihad :

«Le Maroc est aussi un pays où existe une culture populaire avec certains contenus religieux, comme ceux qui se réfèrent à l’‘Islam Morabito’, à travers lequel sont vénérés des guerriers sacrés et légendaires dans les mausolées. Cette glorification aurait permis à des tranches de la population, les jeunes en particulier, d’être réceptifs aux interprétations islamistes et aux combattants de la notion de djihad ou de la pratique du martyre.»

Par ailleurs, le Think tank rapporte qu’après les attentats du 11 septembre 2001, «un degré d’approbation sociale pertinent, mesuré en termes de soutien aux actes de terroristes kamikazes, en défense de l’Islam» a été relevé par un sondage de Pew Global Attitudes Survey.

Ce sondage daté de 2004 précise que 40% des Marocains de plus de 18 ans «ont exprimé leur soutien à l’exécution, dans leur propre pays, d’attentats suicides pour la défense de l’Islam».  (…)

 

dimanche, 22 octobre 2017

Haute-Garonne : Ils appellent leur petit garçon... Jihad

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2017

Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

 Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

Le choix du prénom de leur petit garçon ne fait pas l'unanimité. En août, deux parents vivant à Léguevin, dans la banlieue de Toulouse, ont décidé d'appeler leur garçon... Jihad, comme le révèle Actu Toulouse.

Dans le contexte d'attentats terroristes que connaît actuellement la France, la mairie de Toulouse, où la maman a accouché, a décidé de signaler le prénom au procureur de la République. Ce dernier pourrait saisir un juge s'il estime que le prénom est contraire à la loi. Et les parents devront ainsi trouver un nouveau prénom à leur enfant.

Jihad ne signifie pas "guerre sainte"

Le site d'actualités locales précise cependant que Jihad, bien que rare et peu usité en France, n'est pas un prénom nouveau. Et que, contrairement aux idées reçues, il ne signifie pas, en arabe, "guerre sainte".

Il signifie en réalité "abnégation", "effort", ou "lutte". Dans le contexte actuel, on peut néanmoins s'interroger sur le bien-être de l'enfant, qui devrait porter et assumer un tel prénom.

L'ÉTAT CIVIL PEUT-IL REFUSER UN PRÉNOM?

La réponse est non. En revanche, l'administration, si elle estime que le prénom est contraire à la loi, peut saisir le procureur de la République. Il s'agit d'un contrôle a posteriori, et l'officier d'état civil doit enregistrer le ou les prénoms choisis par les parents.

Que dit la loi ? Comme le dispose l'article 57 du Code civil: "Lorsque ces prénoms ou l’un d’eux, seul ou associé aux autres prénoms ou au nom, lui paraissent contraires à l’intérêt de l’enfant ou au droit des tiers à voir protéger leur nom de famille, l’officier de l’état civil en avise sans délai le procureur de la République. Celui-ci peut saisir le juge aux affaires familiales."

Le juge peut ensuite décider de supprimer le ou les prénoms contestés.

 

Source : ledauphine

jeudi, 21 avril 2016

MMA : un combattant « français » dédie sa victoire aux terroristes Merah et Abdeslam et appelle au jihad devant le public

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2016

bbr1« Les plus de mille spectateurs de la Fight Night – un événement de MMA (arts martiaux mixtes) au Casino de Montreux (Suisse) – ont vécu un moment troublant, samedi. A la fin du quatrième des neuf combats prévus, le lutteur français [sic, en réalité tchétchène – NDCI] Magomed Guekhaiev a soudain pris le micro des mains du présentateur et prononcé «Allahu akbar» à plusieurs reprises, avant de se faire huer copieusement.

«Cela signifie «Dieu est le plus grand». Certains footballeurs se marquent du signe de la croix», tempère Jean-François Collet, directeur de Grand Chelem Event SA et organisateur de la soirée. Mais une toute autre version semble émerger.

«Après avoir remercié son entraîneur, le type a dédié sa victoire à ses frères de Toulouse et dans le monde, à Mohamed et à Salah, raconte Julien, qui se trouvait dans le public. Je suis persuadé que c’était clairement une référence aux terroristes Mohamed Merah et Salah Abdeslam.» Une apologie de l’islamisme radical que confirme Halbat, lui aussi présent: «Ensuite, il a parlé en arabe. Une amie marocaine assise avec moi a compris son discours. Elle était scandalisée qu’on le laisse ainsi faire sa propagande. C’est choquant.»

David, également dans l’assistance, abonde dans ce sens. «Ceci était bel et bien un appel au jihad, estime-t-il. […] » »

Source via LesObservateurs

mercredi, 03 février 2016

30 mineurs candidats au jihad repérés en Haute-Garonne depuis 2014

Publié par Guy Jovelin le 3 février 2016

Les juges pour enfants ont ouvert 30 dossiers de radicalisation de mineurs suspectés de vouloir partir en Syrie depuis l'été 2014, ont révélés mardi le préfet et le procureur de la République de Toulouse lors de la présentation du bilan de la délinquance en Haute-Garonne. 

© AFP

© AFP

 
Depuis la mise en place de la plateforme nationale de lutte contre la radicalisation des mineurs à l'été 2014, 30 dossiers ont été ouverts auprès du parquet de Toulouse,selon les informations délivrées mardi matin par le préfet de la Haute-Garonne et le procureur de la République. 

Selon Pascal Mailhos et Pierre-Yves Couilleau, respectivement préfet et procureur de la République, les autorités ont même réussi à "empêcher le départ" en Syrie de certains de ces jeunes apprentis jihadistes

Les dossiers de ces jeunes sont donc instruits par des juges pour mineurs et certains pourraient être appelés à comparaître devant les tribunaux pour avoir tenter de rejoindre la Syrie. 

La semaine dernière on apprenait que les deux lycéens du lycée des Arènes à Toulouse qui s'étaient rendus en Syrie début 2014 avant de revenir en France serontjugés par un tribunal pour enfants pour "participation à une organisation terroriste" et risquent jusqu'à 5 ans de prison. 
Le bilan de l'Etat d'Urgence

Le bilan 2015 de la délinquance en Haute-Garonne était aussi l'occasion pour les autorités de faire le premier bilan de l'Etat d'urgence, prononcé après les attentats de Paris et Saint-Denis du 13 novembre.
Dans le département, 49 perquisitions administratives ont eu lieu, conduisant à 6 assignations à résidence et 12 gardes à vues. Une dizaine d'armes a été saisie (1 taser, des fusils, des armes de poing) mais aussi de l'argent liquide, des faux billets, des stupéfiants, des marchandises contrefaites ou des recels de vols (informatique et véhicules).

 

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/