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mercredi, 28 juin 2017

50% de redressements en plus délivrés par l’URSSAF en 2016 dans la région Midi-Pyrénées

Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2017

La Libre.be

L’URSSAF a publié les chiffres du nombre de redressements au titre de travail dissimulé durant l’année 2016. Avec 16,3 millions d’euros de sanctions, l’organisme enregistre une progression de plus de 50% par rapport à 2015 en Midi-Pyrénées. Dans le viseur, les entreprises de transport de marchandises et les travailleurs étrangers frauduleux. 

L’URSSAF Midi-Pyrénées a dévoilé les chiffres de l’année 2016 en matière de travail dissimulé dans la région. Plus de 16,3 millions d’euros de redressements ont été distribués, soit une hausse de plus de 50% en 2015. En dépassant son objectif de plus de 6 millions d’euros, l’organisme se classe en cinquième position des 22 Urssaf régionales, avec un chiffre impressionnant de 86,7% des actions engagées par les inspecteurs qui ont mené à un redressement.

13 salariés de l’organisme privé ont mené 194 actions ciblées (contre 160 en 2015) avec en ligne de mire le secteur du transport de marchandises. En effet dans ce domaine, 80% des contrôles ont été conduits en concertation avec la Gendarmerie et la Direction Régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement. Ils ont permis de révéler 7 millions d’euros d’évasion sociale,  à travers de la fausse sous-traitance et de la fraude aux détachements de chauffeurs salariés étrangers.

Urssaf

Mais l’année était aussi sportive et les contrôleurs de l’URSSAF n’ont pas manqué l’occasion de mener de nombreux contrôles autour de l’Euro 2016 de football et le Tour de France qui faisait étape à Montauban. De plus, le marché de Noël de Toulouse, de Montauban et les différents festivals estivaux ont donné du travail pour toute l’année aux inspecteurs.

L’URSSAF ne baissera pas le rythme en 2017

L’année 2017 semble se diversifier, puisque ce sont les restaurateurs qui sont les nouvelles proies des contrôleurs. Dans un secteur embauchant beaucoup d’étudiants et surtout d’immigrés clandestins « au noir », les employés de l’URSSAF auront fort à faire sur les 109 supervisions prévues en Midi-Pyrénées tout au long de l’année.

 

Source : infos-toulouse

dimanche, 12 février 2017

Le Président Carl Lang en Midi-Pyrénées ce samedi 11 février

Publié par Guy Jovelin le 12 février 2017

Une trentaine de personnes se sont réunies samedi 11 février à Balma (31) autour de Carl Lang Président du PdF et Guy Jovelin délégué régional Midi-Pyrénées.

Après la prise de parole de Guy Jovelin afin de remercier Le président Carl Lang pour sa venue dans le Sud-ouest ainsi qu’aux personnes présentes venue de tout Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon (Occitanie) et même d’Aquitaine, de confirmer l’implantation du parti de la France dans la région, de faire passer le message de nos valeurs de civilisation françaises et européennes, et de mettre l’accent sur la nécessité de s’impliquer dans les futures élections législatives, ce fut le Président Carl Lang qui pendant une heure s’évertua à passer au crible la politique générale française, tant sur le point économique, sociale, identitaire, internationale, il présenta le Pdf comme la seule force de droite nationale sociale et populaire dans notre pays, il donna son avis sur les prochaines élections et insista sur le devoir que nous avons au PdF de nous mobiliser pour les législatives de juin pour faire passer le message auprès de la population :  seul notre parti est à même de conduire la meilleure politique dont la France et les Français ont besoin.

L’assistance fut conquise par le pragmatisme, la lucidité et la clairvoyance des propos de notre Président, et les questions pertinentes qui lui furent posées en fin de discours ont reçues des réponses très explicites.

La matinée s’est terminée par un apéritif militant chaleureux  et un déjeuner où la convivialité fut de mise.

Encore merci à notre Président, aux militants et aux amis du Parti de la France qui se sont déplacés.

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lundi, 06 juin 2016

Collage sur Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 6 juin 2016

L'ami Michel-Ange Oberto, en visite à Toulouse. La région Aquitaine et Midi-Pyrénées de concert. Très bon pour la progression du PdF.

 
 
Photo de Michel-Ange Oberto.
Photo de Michel-Ange Oberto.
Michel-Ange Oberto a ajouté 2 photos — avec Franck Pech et Guy Jovelin.
30 min ·
 

Visite aux amis toulousain du PDF, et petit auto-
collage...

samedi, 13 février 2016

Jean-Michel Baylet, un nouveau ministre encensé par ses propres journaux

Publié par Guy Jovelin le 13 février 2016

12 février 2016 par Pierrot

A noter que c’est son ex-femme, et actuelle maîtresse de Laurent Fabius, qui reprend la tête du groupe La Dépêche ! C’est beau la démocratie…

Excellent rappel de Luc Vinogradoff pour Le Monde : Il n’y a presque que dans la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées que la nouvelle (NDCI : du remaniement) a soulevé les cœurs. Dans son détail des entrants, La Dépêche du Midi cible « quatre ministres du changement » : Jean-Marc Ayrault, Emmanuelle Cosse,Audrey Azoulay et un certain Jean-Michel Baylet, un « homme d’expérience »,qui « a déjà occupé des fonctions ministérielles sous François Mitterrand » (il y a 23 ans) et qui « symbolise le renforcement de l’engagement du Parti radical de gauche dans l’équipe ministérielle ».

Dans un éditorial, qu’on peut qualifier d’optimiste, le quotidien se félicite de cette« nouvelle équipe » qui apportera « une meilleure cohérence à l’action gouvernementale » et permettra de « façonner une équipe de combat, la plus élargie possible, alliant la jeunesse à l’expérience ».

 

« Nous pourrions dire que François Hollande réussit la meilleure synthèse à gauche possible – en intégrant, non seulement son ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, mais encore deux chefs de partis, l’écologiste Emmanuelle Cosse et le radical Jean-Michel Baylet, autant dire deux symboles forts du rassemblement à gauche. (…) Désormais, voilà donc regroupée la gauche du « possible », qui veut avancer les yeux ouverts et tourner résolument le dos aux incantations des beaux parleurs« .

Midi-Libre est assez d’accord avec cette analyse, l’éditorial de Jean-Michel Servant saluant « un casting sur mesure qui semble mettre le chef de l’Etat à l’abri des chicaneries médiatiques et d’une démission intempestive. Du moins a priori ».

Parmi les nouveaux entrants, il détaille le long parcours d’un certain Jean-Michel Baylet, « celui qu’on surnomme le ‘président-empereur’ dans son fief du Tarn-et-Garonne est l’héritier de la tradition radicale du Sud-Ouest, dans le sillage de ses parents ».

Il signale également que M. Baylet est « patron de presse », sans préciser qu’il s’agit en réalité de leur patron de presse.

« Quasi monopole, de Toulouse à Montpellier »

Car Jean-Michel Baylet, ministre de l’aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités territoriales, est en effet actionnaire majoritaire, avec sa famille, des Journaux du Midi depuis juin 2015, et du groupe La Dépêche du Midi depuis 1977 via la holding Occitane de Communication. Il possède également La Nouvelle-République, Le Petit Bleu, L’Indépendant (sic) et Centre-Presse. Soit tout de même le 4e groupe de presse quotidienne régionale en France.

Une « situation de quasi monopole, de Toulouse à Montpellier », rappelle le chercheur Franck Bousquet, qui s’est intéressé à la dynamique pouvoir/médias à La Dépêche du Midi. Il explique à France 3 Régions :

« C’est une situation pour le moins exotique. Cela fait un peu troisième République. Dans les années 1920-1930, et surtout à la fin du XIXe siècle, presque tous les patrons de la presse régionale étaient des politiques. Mais la situation était bien différente : il y avait partout un pluralisme de titres que l’on ne connaît pas aujourd’hui. (…) Symboliquement, il peut effectivement quitter la présidence. On demande aux ministres de ne plus diriger d’exécutifs locaux, alors pourquoi rester à la tête d’une grande société, qui plus est une entreprise de presse ? »

 

Source : http://www.contre-info.com/

lundi, 25 janvier 2016

Grippe aviaire : éleveurs, distributeurs et clients se préparent au vide sanitaire

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2016 

Après l'annonce de mesures radicales (mise en place d'un vide sanitaire dans les élevages) pour éradiquer l'épidémie de grippe aviaire dans les 8 départements de Midi-Pyrénées, les éleveurs du Gers s'organisent et appellent à l'aide l'état. Distributeurs et clients eux sont solidaires.

 
© France 3 Midi-Pyrénées

© France 3 Midi-Pyrénées

 
Retour sur les 15 jours qui ont tout changé pour la filière du gras dans le Sud-Ouest avec l'épidémie de grippe aviaire.

Le 12 janvier 2016, un foyer d’influenza aviaire H5N1 (grippe aviaire) hautement pathogène a été localisé dans un élevage situé sur la commune de Lafitte-Vigordane en Haute-Garonne. Ce nouveau cas de grippe aviaire détecté en Midi-Pyrénées était le premier en Haute-Garonne. Comme dans les autres élevages de la région touchés par le virus (une quinzaine au total), aussitôt, les palmipèdes ont été abattus, les locaux désinfectés. L'épidémie se propage, du coup le gouvernement décide de prendre des mesures radicales.

Le couperet tombe le 14 janvier au soir. La production de palmipèdes sera gelée pour éradiquer la maladie. Une première en France. Les 8 départements de la région sont concernés même si aucun cas n'a été signalé dans le département.

Depuis lundi 18 janvier, plus aucun caneton n'est accueilli dans les fermes du Sud-Ouest, et les producteurs ont jusqu'à fin mars pour vider les élevages et vendre leurs stocks de canards. Des élevages qui resteront vides ensuite pendant des semaines le temps d'assainir et de désinfecter. C'est la procédure du vide sanitaire.

Dans le Gers : éleveurs, distributeurs et clients se préparent au vide sanitaire. Voyez ce reportage de Pascale Lagorce et Thierry Villéger :
Grippe aviaire : éleveurs, distributeurs et clients se préparent au vide sanitaire

Ces mesures coûteront près de 300 millions aux éleveurs. Ils appellent à l'aide l'état. Le dispositif d'aide sera détaillé dès la semaine prochaine. Des annonces attendues par toute la filière du gras dans le sud-ouest , une filière qui produit à elle seule 80 pour cent du foie gras français.