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lundi, 18 janvier 2016

Déjeuner débat Midi-Pyrénées avec Carl Lang

Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2016


carl lang,guy jovelin,midi-pyrénéesA l'invitation de Guy Jovelin, Délégué régional du Parti de la France en Midi-Pyrénées, Carl Lang était présent à Balma, près de Toulouse, pour animer un déjeuner-débat avec les militants locaux.

Le Président du Parti de la France a fait un point sur l'actualité politique et a exposé de manière claire et limpide les grandes orientations du Parti de la France qui est désormais le seul mouvement politique crédible défendant les fondamentaux de la droite nationale française et européenne.

De nouvelles adhésions ont été enregistrées et du matériel a été distribué aux militants présents, ravis de cette réunion politique et conviviale.

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samedi, 05 décembre 2015

Régionales : consignes du Parti de la France

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2015

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Communiqué du Parti de la France :

Dans le cadre du 1er tour des élections régionales du dimanche 6 décembre, le Parti de la France appelle ses sympathisants à voter pour les listes auxquelles participent ses cadres et ses militants : celle menée par Jacques Bompard en PACA et celle menée par Jean-Claude Martinez en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.

Dans les autres régions, le Parti de la France ne donne aucune consigne de vote et laisse ses militants et sympathisants libres de leur choix afin qu'ils puissent s'exprimer au cas par cas en leur âme et conscience.

mardi, 18 août 2015

AFFIRMATION!

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Publié par Guy Jovelin le 18 août 2015

Bien sûr que les futurs conseillers régionaux FN de Midi-Pyrénées seront à la hauteur... de leur médiocrité!

samedi, 20 juin 2015

Ces élus de Midi-Pyrénées qui ont affaire à la justice

Publié par Guy Jovelin

En moins d'un an, quatre élus importants de la région Midi-Pyrénées ont eu (et ont encore), à des degrés divers, affaire à la justice. 

  • Par Fabrice Valery
  • Publié le 19/06/2015 | 10:32, mis à jour le 19/06/2015 | 13:41
© AFP et MaxPPP

© AFP et MaxPPP

Avec la mise en examen de Brigitte Barèges, maire (Les Républicains) de Montauban, le compteur des grands élus (parlementaires, maires de grandes villes, etc) de Midi-Pyrénées qui ont affaire à la justice depuis quelques mois est passé à quatre.

Mis en examen dans le cadre d'une information judiciaire ou mis en cause dans une enquête préliminaire, ils se défendent tous des faits qui leur sont reprochés. Voici un petit rappel en tenant compte évidemment de la présomption d'innocence.

1) A Montauban, Brigitte Barèges (LR) et l'affaire des "emplois fictifs"

Brigitte Barèges © Rémy Gabalda / AFP

© Rémy Gabalda / AFP Brigitte Barèges

La maire (LR) de Montauban est la dernière en date. Mise en examen mercredi soir pour détournements de fonds publics et placée sous contrôle judiciaire, elle conteste les faits, liés à une affaire de supposés emplois fictifs à la mairie de Montauban, et parle de"complot médiatico-politique" orchestré par ses adversaires en Tarn-et-Garonne Valérie Rabault (PS) et Jean-Michel Baylet (PRG). Plus rare, elle accuse le parquet de Toulouse "d'orchestrer scandaleusement" ce "complot". 

2) Gérard Trémège (LR) et les marchés publics de la ville de Tarbes

Gérard Trémège © MaxPPP

© MaxPPP Gérard Trémège

Le maire (Les Républicains) de Tarbes, Gérard Trémège, a été mis en examen début avril à Pau "pour prise illégale d'intérêt", "favoritisme" et "trafic d'influence passif", dans le cadre d'une enquête sur l'octroi de marchés publics et la revente par la municipalité de terrains et bâtiments. Il est lui aussi placé sous contrôle judiciaire.
Gérard Trémège conteste les faits qui lui sont reprochés. Sa compagne, Isabelle Bonis a également été mise en examen avec plusieurs autres personnes dans cette affaire.
Malgré cette mise en examen, Gérard Trémège a tout de même été désigné comme tête de liste des Républicains dans les Hautes-Pyrénées pour les régionales de décembre prochain.

3) Kader Arif (PS) et l'affaire dite "AWF"

Kader Arif © AFP

© AFP Kader Arif

Kader Arif, député PS de Haute-Garonne, n'est pas mis en examen. Il est mis en cause dans l'affaire "AWF" du nom d'une entreprise d'événementiel détenue par ses proches dont son frère. La justice enquête sur les liens de cette entreprise avec le Conseil Régional de Midi-Pyrénées. Les enquêteurs cherchent à savoir s'il y a eu favoritisme lors de la passation de marchés ce que dément totalement le président PS de la région Martin Malvy. Kader Arif a toujours déclaré être étranger à cette affaire.
La justice s'intéresse aussi au contrat passé par All Access (une autre société de ses proches) avec le ministère de la défense alors que Kader Arif était secrétaire d'Etat aux anciens combattants auprès du ministre de la Défense. C'est la révélation de ce contratqui l'avait poussé à démissionner du gouvernement à l'automne dernier.
Pour le moment, personne n'a été mis en cause dans cette affaire qui n'en est qu'au stade de l'enquête préliminaire, ouverte par le parquet de Toulouse, mais transférée depuis au Parquet National Financier.

4) Aymeri de Montesquiou (UDI) et le "Kazakhgate"​

Aymeri de Montesquiou © MaxPPP

© MaxPPP Aymeri de Montesquiou

L'ex-sénateur (UDI) du Gers (son élection vient d'être invalidée par le Conseil Constitutionnel pour des questions de frais de campagne) est mis en cause dans l'affaire dite du Kazakhgate
Le 18 mars dernier, le bureau du Sénat avait levé l'immunité parlementaire du sénateur inquiété par l'enquête sur des soupçons de commissions perçues en marge de contrats conclus avec le Kazakhstan.
Il était auparavant le représentant de Nicolas Sarkozy en Asie centrale. Son bureau et son domicile avaient été perquisitionnés dans cette affaire liée à des contrats conclus sous la présidence de Nicolas Sarkozy pour un montant total de deux milliards d'euros, notamment pour l'achat de 45 hélicoptères fabriqués par Eurocopter (devenu Airbus Helicopters) et 295 locomotives.
Deux magistrats enquêtent depuis mars 2013 pour des faits présumés de "blanchiment en bande organisée", et de "corruption active d'agents publics étrangers".Aymeri de Montesquiou n'est pas mis en examen dans cette affaire

mercredi, 27 mai 2015

Rapport sur la SNCF : plusieurs lignes de Midi-Pyrénées concernées

Publié par Guy Jovelin

Un rapport remis ce mardi au gouvernement sur l'avenir de trains de nuit et d'Intercité met sur la sellette certaines parties de lignes passant en Midi-Pyrénées. Certaines mais pas toutes. Premiers arbitrages du ministère des Transports attendus fin juin, décisions finales mi-2016.

© Eric Marlot / France 3 Midi-Pyrénées

© Eric Marlot / France 3 Midi-Pyrénées

Le rapport préconise de supprimer les Intercités, ou trains d'équilibre du territoire (TET) sur cinq tronçons de lignes, sur lesquelles il existe des dessertes TGV ou TER : pour Midi-Pyrénées sont concernés Toulouse-Cerbère, et Bordeaux-Toulouse. Dans le reste de la France Marseille-Nice et Saint-Quentin-Cambrai.

Ainsi :
- La liaison Bordeaux-Nice (via Toulouse) deviendrait un Toulouse-Marseille avec la disparition des tronçons Bordeaux-Toulouse et Marseille-Nice
- Le Quimper-Toulouse deviendrait un Nantes-Bordeaux avec là aussi la suppression des parties entre Quimper et Nantes et entre Bordeaux et Toulouse
- Le remplacement de la Toulouse-Hendaye par des autocars : cette liaison est également assurées par des TER. Ainsi, ces derniers conserveraient
les liaisons de cabotage, reliant les petites gares, tandis que les déplacements plus directs entre les deux grandes agglomérations se feraient sur route, grâce à la présence dans ces deux cas d'une "infrastructure autoroutière de très bonne qualité".

Le rapport recommande également de ne conserver que quatre lignes de trains Intercités de nuit - au départ de Paris et à destination de Rodez, Toulouse, Briançon et Latour-de-Carol - soulignant que ces liaisons sont coûteuses et peuvent être substituées par des offres alternatives et parfois plus rapides (train ou avion le jour, ou autocar la nuit).

A l'inverse, elle préconise "un renforcement de l'offre ferroviaire (...) associé à une meilleure utilisation du matériel roulant", sur "les lignes dont le résultat
économique est aujourd'hui en-deçà de leur potentiel réel"
, entre autres Paris-Clermont-Ferrand, Paris-Amiens, Nantes-Lyon, Paris-Limoges, Paris-Caen ou encore Bordeaux-Marseille.


Le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies a indiqué que le gouvernement prendrait de premières décisions avant la fin du mois de juin avant des décisions "complètes et cohérentes" mi-2016.