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mardi, 18 décembre 2018

«Gilets jaunes» : les syndicats de policiers appellent eux aussi à la mobilisation

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2018

 

Lefigaro.fr et AFP agence Mis à jour le 17/12/2018

 

Le syndicat Alliance a demandé «à tous les policiers de France de ne sortir que sur appel» mercredi, sous le mot d'ordre «fermons les commissariats», afin d'obtenir du gouvernement de meilleures conditions de travail et de rémunération.

Les syndicats policiers ont brandi lundi le spectre d'un mouvement social au sein des forces de l'ordre en réclamant notamment «un retour sur investissement» après un mois de mobilisation des «gilets jaunes» et de gestion de la menace terroriste. «Les syndicats seront reçus mardi à Beauvau par le ministre» Christophe Castaner, a indiqué à l'AFP le ministère de l'Intérieur. Le secrétaire d'État à l'Intérieur Laurent Nuñez a assuré lundi soir que «la porte est ouverte» pour les syndicats pour une réunion «sur les thématiques qu'ils ont souhaitées».

» LIRE AUSSI - Ces millions d'heures sup' non payées qui suscitent la colère des policiers

Le syndicat Alliance [...] demande notamment aux députés de ne pas voter le projet de loi de finances 2019 estimant que le budget consacré aux forces de l'ordre est «insuffisant», relève Frédéric [...]

Un mouvement «service minimum - 100% prévention»

L'Unsa-Police a enjoint les policiers à se lancer dans un mouvement «service minimum - 100% prévention» dès ce mardi. La troisième organisation représentative de la police nationale demande à être reçue par le président de la République et met en garde contre «d'autres actions». «Les ronds-points ne sont pas réservés qu'aux seuls gilets jaunes», a souligné le syndicat dans un communiqué.

[...]

source: via lesobservateurs

mercredi, 31 octobre 2018

Paris : les policiers interdits de courses-poursuites dans la ville

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2018

Par  le 30/10/2018

 

Depuis la fin août, des policiers dépendants de la préfecture de police de Paris, font état de consignes leur interdisant de s’engager dans des courses poursuites qui pourraient être dangereuses, même lorsqu’il s’agit de véhicules volés. Cela ferait suite à l’incident survenu en août dernier au cours duquel un policier a abattu un homme au volant de son véhicule. Le fonctionnaire avait été mis en examen.

Stéphane (son prénom a été modifié) est policier dans une brigade de nuit en région parisienne. Il se définit comme un policier aimant son métier « pour attraper des délinquants, des malfaiteurs… ». Il déplore cette situation qu’il a décidé de dénoncer.

Il interpelle ce 30 octobre Christophe Castaner. « Le ministre a-t-il conscience que chaque nuit des personnes prennent la fuite et qu’on ne les poursuit pas ? » Et de demander : « Est-ce que c’est la hiérarchie intermédiaire qui n’a pas envie de prendre de risques où est-ce que ça vient du ministre ? ».

La préfecture de police jointe hier par RTL réfute tout systématisme dans l’abandon des prises en charge. Selon elle, chaque situation est prise au cas par cas. Elle ajoute que la règle a toujours été stricte sur ce point et qu’elle n’avait pas évolué depuis août, contrairement à ce qu’explique Stéphane.

lundi, 15 octobre 2018

En Seine-Saint-Denis, l’Islam régit jusqu’à qui prépare les grillades lors des barbecues de la police judiciaire

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2018

Par  le 15/10/2018

En Seine-Saint-Denis, l’Islam régit jusqu’à qui prépare les grillades lors des barbecues de la police judiciaire

 

Pierre Sautarel@FrDesouche
 
 En Seine-Saint-Denis, l'Islam régit jusqu'à qui prépare les grillades lors des barbecues de la police judiciaire

samedi, 22 septembre 2018

Grande-Bretagne : un uniforme de police qui cache les formes pour mieux recruter les musulmanes

Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2018

Par  le 21/09/2018

Ce service de police est le premier en Grande-Bretagne à dévoiler un uniforme «moins révélateur» pour tenter de recruter davantage de policières musulmanes.
La police du Yorkshire de l’Ouest a déclaré que son ensemble plus ample est «conçu pour ne pas montrer les formes féminines« .

[…]

Ce service de police cherche désespérément à attirer davantage de recrues appartenant aux minorités ethniques et espère que la nouvelle tunique encouragera les femmes qui pourraient avoir été rebutées par l’ancien équipement.
De nombreux services permettent déjà aux policières de porter le hijab, […] mais le Yorkshire de l’Ouest est allé plus loin.

[…] Firzana Ahmed a été la première à porter le nouvel ensemble et elle a assuré qu’il avait suscité des «réactions positives dans la communauté locale».

[…]

(Traduction Fdesouche)

The Sun

 

vendredi, 21 septembre 2018

Allemagne : Les clans arabes font la loi. La police avait décidé de ne pas réagir pour éviter de se faire traiter de xénophobe.

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2018

De grandes familles arabes se sont propagées dans toute l'Allemagne et contrôlent des quartiers entiers. Cela est dû aux erreurs des années 80 et 90.

Ils ont crié « Allahu akbar », en accompagnant le cercueil à travers les rues et ont rendu hommage à un individu assassiné, reconnu coupable de vol qualifié, de voies de fait dangereuses, de mauvais traitements, de coercition et d'infractions en matière de drogue.

On estime à 2000 le nombre de membres de grandes familles arabes qui ont assisté aux funérailles cette semaine. La scène évoquait les obsèques de la mafia, de Chicago dans les années 1930 ou de la bande de Gaza. En réalité, les hommes barbus, tatoués et musclés ont marché à travers Berlin.

Les photos pourraient également provenir de Dortmund, Essen, Brême ou Duisbourg. Environ 12 grandes familles arabes, comptant chacune des centaines, voire des milliers de membres, se sont répandues dans les villes allemandes. Ils contrôlent des quartiers entiers, commettent des vols, pratiquent le trafic d'êtres humains et de drogues, pratiquent le racket. Ils reçoivent généralement une aide sociale, mais possèdent des voitures de luxe, des hôtels, des stations-service, des bars à narguilé et des magasins de paris - et élargissent constamment leur sphère d'influence dans de nouvelles villes et villages.

Bienvenue en automne 2018 dans la République fédérale d'Allemagne. Alors que les effets de la "culture d'accueil" de 2015 commencent à montrer des signes de ralentissement, les conséquences des erreurs des années 1980 et 1990 sont déjà clairement visibles. A l'époque, des dizaines de milliers de réfugiés venaient du Liban.

Bien que personne ne sache exactement qui ils étaient, ce qu’ils feraient ici et s’ils avaient été menacés chez eux. Mais à cette époque déjà, l'Allemagne les a laissés pour la plupart naïvement sans contrôle dans le pays.

"Ils vivent dans des mondes parallèles avec leurs propres règles et lois."

Une génération plus tard, le résultat de cette politique est évident: les familles arabes nombreuses - qui avaient délibérément abusé de la loi sur l'asile pour amener leurs clans en Allemagne - ont pris le pouvoir dans de nombreuses parties de la ville. Elles vivent dans des mondes parallèles avec leurs propres règles, valeurs et lois.

Elles méprisent l'Etat allemand. Elles menacent les policiers. Et elles se moquent des juges allemands qui prononcent les peines habituelles avec sursis. 

Pendant des mois, le journaliste Olaf Sundermeyer a effectué des recherches dans le milieu pour un documentaire. Même Sundermeyer - en principe un expert de l'extrémisme de droite - arrive à la conclusion que les autorités ont détourné les yeux pendant des années et ont minimisé.

Dans le talk-show de Markus Lanz, il a récemment déclaré que les renseignements criminels étaient déjà au courant des problèmes à la fin des années 90. Lors d’une réunion nationale, ils avaient toutefois décidé à l’époque de ne pas lancer une campagne de grande envergure contre les clans arabes, car il aurait fallu procéder à une "attribution ethnique".

Par crainte d'être considérées comme xénophobes, les autorités allemandes ont permis aux clans criminels de perdurer durant des décennies. On peut imaginer à quel point ces familles ont dû en rire.

Aujourd'hui, les clans sont si grands, puissants et en connectés qu'ils pourraient difficilement être combattus avec les moyens et les lois existants, déclare Sundermeyer. En outre, ils recrutent constamment de nouvelles forces parmi les centaines de milliers de migrants qui ont afflué en Allemagne ces dernières années.

 

Tagesanzeiger.ch

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch