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jeudi, 31 mai 2018

Mont de Marsan : le détenu djihadiste essaie une nouvelle fois d’assassiner des surveillants, le gouvernement assure ne pas y croire

Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2018 

  
 
BREIZATAO – NEVEZINTIOU (30/05/2018) Les faits se sont déroulés jeudi 24 mai, au centre pénitentiaire de Pémégnan à Mont de Marsan (Landes). Un détenu, entravé par des menottes à l’heure du repas, a tenté d’ébouillanter des surveillants qui se trouvaient dans sa cellule. L’homme a agi avec une casserole d’eau bouillante, préalablement chauffée sur le réchaud dont il dispose dans sa cellule, rapporte Sud-Ouest.

Ce détenu était particulièrement surveillé depuis son arrivée dans cet établissement pénitentiaire il y a quatre mois, où il avait été transféré depuis la prison de Vendin-le-Vieil dans le Pas-de-Calais. Dans ce précédent établissement, le prisonnier, islamiste radical et cerveau des attentats de Djerba en 2002, est soupçonné d’avoir essayé d’assassiner trois surveillants le 11 janvier, en les poignardant.

La CGT Pénitentiaire, qui relate ces faits dans un communiqué, estime qu’un « nouveau drame » a été évité mais en appelle désormais au gouvernement et demande notamment « son extradition immédiate aux États-Unis ».

Contacté par Sud-Ouest, Alain Pompigne, le directeur des services pénitentiaires du Sud-Ouest, a estimé ne pas considérer encore ces faits comme étant « avérés ».

 

(Source : RTL) via breizatao

vendredi, 18 mai 2018

Toulouse : la femme qui avait refusé de retirer son niqab condamnée à 6 mois de prison dont 3 fermes

Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2018

Par  le 17/05/2018

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Le tribunal correctionnel de Toulouse a condamné ce jeudi à 6 mois de prison dont 3 fermes une femme de 37 ans qui avait refusé le dimanche 15 avril de retirer le niqab de son visage à la demande de policiers. Elle était poursuivi pour outrage, rebellion et menaces de mort envers les policiers. A l’audience, le procureur avait demandé 6 mois de prison dont 2 fermes. Le tribunal a assorti sa peine d’une amende de 100 euros et de 500 euros de dommages et intérêts à chacun des deux policiers parties civiles. Il n’y a pas eu de mandat de dépôt à l’audience. La prévenue a décidé de faire appel.

La jeune femme comparaissait ce 17 mai, un mois après les faits, qu’elle avait contestés. Son interpellation, en pleine après-midi un dimanche sur une place du quartier Bellefontaine, avait été mouvementée. Les policiers s’étaient arrêtés alors qu’elle utilisait des agrès de sport en plein air. Selon la version de la police, il lui avait demandé de dévoiler son visage et de présenter ses papiers. La jeune femme avait présenté une photocopie de mauvaise qualité de sa carte d’identité et avait refusé de montrer son visage. Son interpellation avait alors donné lieu à des tirs de gaz lacrymogène pour éloigner des riverains, en présence d’enfants. Plaquée au sol et menottée après s’être rebellée, la jeune femme avait été ensuite conduite au commissariat et placée en garde à vue.

Cette interpellation, filmée par plusieurs riverains, avait précédé de quelques heures le début des violences urbaines qui dureront 4 nuits à Toulouse mi-avril. Mais selon des sources policières, cet événement n’avait que peut de lien de ces émeutes. Selon le parquet de Toulouse, il faisait cependant partie des « éléments déclencheurs » ainsi que la mort d’un détenu la veille à la maison d’arrêt de Toulouse-Seysses et surtout la lutte contre le trafic de drogue au Mirail.

Quelques jours après sa garde à vue, la jeune femme s’était exprimée, contestant la version de la police et accusant les policiers de violence et de propos déplacés. Elle avait indiqué dans cet interview et à France 3 qu’elle ne portait pas le niqab depuis que cette tenue, qui ne laisse apparaître que les yeux, est interdite dans l’espace public en France.

 

samedi, 24 mars 2018

Prison : Un téléphone fixe dans chaque cellule en 2020

Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2018

Par  le 23/03/2018 

Interrogée lors de sa visite au centre pénitentiaire des femmes de Rennes, ce vendredi, la garde des Sceaux Nicole Belloubet, a déclaré qu’un téléphone fixe sera installé dans chaque cellule de prison, hors quartier disciplinaire, dans le délai de trente mois.

Ce sera une nouveauté de taille. Les prévenus comme détenus pourront appeler, depuis leur cellule, via un téléphone fixe. « Un marché a été passé avec une société, pour que dans le délai de trente mois, il y ait un téléphone dans chaque cellule, dans les prisons », a indiqué Nicole Belloubet, ministre de la Justice, en marge de sa visite au centre pénitentiaire des femmes de Rennes, ce vendredi après-midi.

Les personnes en prison pourront contacter une liste de numéros préalablement autorisés par un juge (pour les prévenus) ou par l’administration (pour les personnes définitivement condamnées). « C’est une mesure qui a fait hurler, parfois, reconnaît la ministre. Mais je le répète : je suis favorable à cette installation. »(…)

 

ouest-france.fr via fdesouche

lundi, 19 février 2018

14.964 étrangers emprisonnés… sans les bi-nationaux !

Publié par Guy Jovelin le 19 février 2018

Un Français, Christophe Naudin, condamné à 5 années de prison (dans l’affaire baptisée « Air Cocaïne ») et incarcéré à l’étranger est de retour en France pour y purger sa peine.

Je considère cette décision comme tout à fait légitime, comme je considérerai comme tout à fait légitime également que les 14.964 « étrangers » condamnés et incarcérés dans les prisons françaises, dont les autorités connaissent parfaitement les pays d’origines, puisque le ministère de la justice, dans un objectif louable de transparence, vient de nous en tenir informés :

1954 Algériens

1895 Marocains

1496 Roumains

1002 Tunisiens

551 Albanais

480 Portugais

427 Congolais

319 Espagnols

301 Turques

271 Surinamais

239 Néerlandais

237 Géorgiens

216 Brésiliens

213 Italiens

Etc.

… soient « expulsés » vers leur pays d’origine afin d’y purger leurs peines.

Il n’y a aucune raison logique pour que ces 14.964 étrangers soient logés, nourris, blanchis, soignés et divertis aux frais du contribuable français.

D’autre part ces expulsions libéreraient 15.000 places de prison alors que l’on nous informe régulièrement qu’il manque 10.000 places de prison en France et qu’il est nécessaire d’en construire en toute urgence une quinzaine de mille !

Il est bien regrettable, par ailleurs, que nous ne puissions pas « expulser » les 0,2% d’étrangers (tout de même environ 140) condamnés et incarcérés dans nos prisons, dont les autorités ignorent la nationalité. On se demande bien ce qu’ils faisaient « chez nous » ?

La population carcérale est passée de 33.000, en 1980, à 66.000 en 2009 et à plus de 70.000 aujourd’hui (plus de 100% d’augmentation), pour une population française qui est passée de 55,34 millions en 1980 à 66,9 millions en 2016 (10% d’augmentation).

Cherchez l’erreur ?

Bien entendu pas question ici de se pencher sur le problème des « binationaux ». Ils sont « Français » donc n’en parlons pas, bien qu’ils composent une grande majorité des 55.000 autres prisonniers locataires de nos prisons.

C’est en tout cas le constat établi il y a quelques années (2011) par l’imam, depuis 2006, du Centre des jeunes détenus de la prison de Fleury-Mérogis, Mohamed Boina M’Koubou (75% des détenus sont de jeunes musulmans français).

Ne pas nous tenir informés, n’est-ce pas une manière raciste de les stigmatiser ?

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

lundi, 29 janvier 2018

France: Sur 180 détenus incarcérés pour terrorisme, 90 ont été jugés dangereux. 57 seront libérables dès 2020.

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

prison islam

Durant un an, l’évaluation de la radicalisation en prison dans trois prisons d’Ile-de-France, a conclu à la présence de 90 détenus considérés “dangereux”.

180 détenus sont passés en un an, dans les quartiers d’évaluation de la radicalisation des prisons de Fresnes, Osny et Fleury-Mérogis.

90 d’entre-eux ont été considérés comme dangereux et placés en quarantaine dans différentes prisons de France.

17 de ces détenus ont été incarcérés dans le quartier pour “détenu violent” à la prison de Lille-Annoeullin.

1123 détenus se sont radicalisés en prison

Dans les prochains mois, ces quartiers d’évaluations doivent être doublés pour que 506 détenus incarcérés pour des affaires liées au terrorisme, soient évalués.

Selon l’administration pénitentiaire, 1123 détenus se sont radicalisés en prison et 57 condamnés pour des faits de terrorisme seront libérables à partir de 2020 relate BFMTV.

 

Actu17. via lesobservateurs