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mercredi, 22 mars 2017

LE DONBASS POUSSE PAR KIEV VERS LA SORTIE DE L’UKRAINE

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2017

mardi 21 mars 2017, par Michel Dantan

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La scène s’est déroulée le 17 mars dans le palais de Livadia à Yalta là où en 1945, les Présidents Roosevelt, Churchill et Staline décidèrent du sort de l’Europe. Cette fois, les personnalités rassemblées autour de la même table mettaient au point la stratégie destinée à définir les mécanismes d’intégration sectorielle des régions rebelles du Donbass dans la Russie. En somme, jeter les bases d’un rapprochement plus efficient entre les républiques autoproclamées du Donbass et la Russie, un processus qui pourrait à terme ouvrir à la voie à une possible intégration politique que le premier ministre de Crimée V.Konstantinov qui aux côtés de représentants des régions, des dirigeants de la DNR et de la LNR ainsi que des députés russes assistait à la réunion consacrée à la création du Comité d’intégration Russie-Donbass, a jugé quant à lui irréversible. Après la reconnaissance des passeports de la DNR et de la LNR par la Russie, les dirigeants du Donbass ont donc choisi de muscler le bras de fer qui les oppose à Kiev. Après trois ans de bombardements meurtriers sur les populations civiles russophones proches de la ligne de front auxquels s’ajoute aujourd’hui un blocus économique destiné à asphyxier la région, les dirigeants du Donbass estiment que la coupe est pleine et que leur salut ne peut venir que de l’Est. A noter que l’assemblée constitutive du Forum d’intégration Russie-Donbass s’est réunie le jour de la célébration du 3e anniversaire du rattachement de la Crimée à la Russie. Une coïncidence qui n’est sans doute pas due au hasard.


Source : national-hebdo via Spoutnik

 

vendredi, 09 décembre 2016

Jugé trop "gay", "Fifa 17" interdit en Russie ?

Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2016

Pour des parlementaires russes, le soutien du jeu à plusieurs associations LGBT pourrait nuire à la santé et au développement des enfants.

Fifa 17 est la cible des critiques de parlementaires russes. Image d'illustration.
Fifa 17 est la cible des critiques de parlementaires russes. Image d'illustration. © ANP / AFP/ KOEN VAN WEEL
Le jeu fait le bonheur des amateurs de foot. On l'attend chaque année comme un cadeau du ciel (numérique). Fifa 17, sorti fin septembre en France, s'est placé rapidement en tête des classements des jeux les plus vendus. C'est le cas également dans plusieurs pays du monde. Mais, en Russie, les choses sont plus compliquées. D'après le Guardian , repris notamment par nos confrères de L'Équipe, une fronde est menée contre le jeu de simulation.

jeudi, 08 décembre 2016

L’UE a refusé le gazoduc russe South Stream qui l’aurait autonomisé énergiquement, elle dépendra donc de la Turquie !!!

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2016

le

erdo_islam_politiqueLe président turc Recep Tayyip Erdogan a signé la loi portant ratification de l’accord intergouvernemental entre la Turquie et la Russie sur la construction du gazoduc Turkish Stream, lit-on sur le site officiel du président.

« Le projet de loi 6765 (sur la construction du gazoduc Turkish Stream, ndlr) a été jugé acceptable », a souligné le président. Dans la foulée, la décision du président turc a été rendue publique par le journal officiel Resmi Gazete. Ainsi, la loi est définitivement entrée en vigueur.

Rappelons qu’Ankara accorde beaucoup d’importance au projet Turkish Stream dans le cadre de la politique énergétique du pays. À en croire les autorités turques, il n’est pas exclu que les travaux de construction démarrent au début de l’année 2017.

Concernant l’approbation de la Russie, le projet a déjà été soumis à la Douma (chambre basse du parlement russe). Selon le député Sergueï Jelezniak, vice-président de la Douma, le parlement pourrait le ratifier sous peu.

Le 10 octobre dernier, Moscou et Ankara ont signé un accord intergouvernemental sur la construction de deux conduites du gazoduc sous la mer Noire. Une conduite de Turkish Stream acheminera le gaz sur le marché turc et l’autre transitera par la Turquie vers les pays européens. La fin des travaux est prévue pour décembre 2019.

Source : https://fr.sputniknews.com/international/2016120610290276...

L’opinion de civilwarineurope

Y’a pas à dire, en Europe nous sommes gouvernés par des stratèges en géopolitique…

 

Source : civilwarineurope

samedi, 15 octobre 2016

Vous ne le lirez pas dans les journaux : pourquoi l’Arabie saoudite et le Qatar ont déclenché la guerre civile en Syrie

Les fidèles lecteurs de Dreuz.info suivent depuis quelques années les différents conflits qui se déroulent sur ces théâtres d’opérations militaires.

Ils doivent comprendre que tout est lié, et savoir quelles sont les raisons et objectifs stratégiques, économiques et géopolitiques qui en sont à l’origine.

Il me paraît nécessaire de les expliquer plus clairement et en toute objectivité.

Cela débute en 1971. Dans le golfe persique, une immense poche de gaz est découverte qui couvre 20% des réserves naturelles du monde.

Répartie par moitié entre l’Iran et le Qatar, les premiers l’ont baptisée « South Pars » et les seconds « North Dome ».

Les premiers forages ont débuté en 1988, et dès 1996 sont passés en phase de production et leur capacité a augmenté au fil des années.

Frappé par un blocus économique, l’Iran n’a pas bénéficié immédiatement de cette manne, ce qui, on vient de le lire, ne fut pas le cas pour le Qatar.

D’un autre côté il y a l’Europe, énorme consommatrice de ce même gaz qu’elle ne produit pas et qu’elle doit acheter sur le marché international.

Or, les trois grandes sources de ce gaz nécessaire à l’alimentation de l’Europe sont l’Algérie, la Russie et les productions de la Mer du Nord, exploitées par la Norvège et la Grande-Bretagne.

La Russie a noué de fortes relations économiques avec l’Algérie, sur la commercialisation de ce gaz avec l’Europe, ainsi les pays européens sont toujours sous la possible menace d’une coupure d’approvisionnement de ce gaz russe, et donc également du gaz algérien, qui la plongerait dans une très grave crise énergétique.

Cette situation préoccupante et la conjonction de tous ces facteurs font que l’Europe, qui se trouve devant la nécessité de diversifier ses sources d’approvisionnements énergétiques, se tourne obligatoirement vers l’Iran et le Qatar.

Cela explique, mais vous l’aviez compris, le rapprochement notamment entre la France et le Qatar, mais également le relâchement récent du blocus iranien.

Dès 2007, le Qatar, a pour objectif de vendre son gaz à la France, mais surtout, celui plus lointain et plus important de construire un gazoduc direct qui relierait le Qatar à l’Europe, traversant l’Arabie saoudite, la Turquie puis les Balkans. Il a investi largement notre pays en s’offrant des palaces, des entreprises, des clubs de foot, etc., dans l’unique but de se rendre populaire.

Le problème majeur se situait près de chez eux, car entre l’Arabie saoudite et la Turquie, il lui était obligatoire de traverser l’Irak et la Syrie.

L’Irak étant en guerre, comme on le sait, les Qataris et les Saoudiens n’ont eu comme seule ressource que de proposer à Bachar El Assad de construire ce gazoduc en Syrie.

Allié des Russes, El Assad a refusé ce partenariat qui allait forcément priver la Russie de son énorme atout stratégique et énergétique contre l’Europe.

Le Qatar et l’Arabie saoudite décidèrent donc, par rétorsion, de consacrer quelques milliards à la création de milices terroristes en Syrie, dans l’objectif d’aboutir à la destitution de Bachar El Assad, et dans l’éventualité que son successeur, très probablement un islamiste, accepterait comme seule obligation de sa prise de pouvoir, la construction de ce gazoduc.

Ainsi ces deux pays arabes ont financé très largement Al Nosra, branche d’Al Qaïda en Syrie, et la guerre civile a éclaté.

Elle se poursuit depuis des années et se poursuivra encore longtemps.

Ce que n’avait pas prévu ni le Qatar ni l’Arabie saoudite, c’est que ce qui ne devait être qu’une guérilla qui, au début, a été très défavorable au régime de Bachar El Assad, allait faire naître une énormité : l’État Islamique, le califat.

Ce que n’ont pas compris immédiatement — dès septembre 2013 — les États-Unis, l’Angleterre et la France, c’est qu’il s’agissait là d’une menace mondiale et dans un premier temps, ils décidèrent d’intervenir militairement par une flotte de guerre, afin de soutenir les rebelles syriens et obtenir la chute du régime de Bachar El Assad.

C’était sans compter sur la Russie.

Elle s’est opposée à cette intervention, et plusieurs navires de guerre se sont interposés entre la côte syrienne et la flotte de la coalition, qui allait passer à l’attaque.

Deux premiers missiles Tomahawk ont été lancés, pour « essai », mais ils sont tombés à la mer, brouillés par les contre-mesures électroniques des Russes.

Alors que les médias nous disaient que l’attaque allait avoir lieu incessamment, que François Hollande l’annonçait publiquement, et bien la coalition rentrait à la maison les oreilles basses, et l’attaque fut déprogrammée.

On n’en parla plus… au moins durant quelques mois. Le temps que la vengeance… mûrisse.

© Manuel Gomez pour Dreuz.info.

http://www.dreuz.info/2016/10/05/ce-quon-ne-vous-dit-pas-...

http://www.dreuz.info/2016/10/06/vous-ne-le-lirez-pas-dan...

jeudi, 13 octobre 2016

C'est sûr, Poutine se prépare à la guerre nucléaire avec l'Europe, s'affole la presse britannique

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2016

© Capture d'écran Daily Star
 

Des tabloïds britanniques citant une source russe affirment que si les proches des responsables russes vivant en Europe sont priés de rentrer fissa en Russie, c'est pour que Moscou puisse y porter une frappe nucléaire.

 

Un mystérieux rapport, dont l'authenticité n'a pas été vérifiée, publié par le tabloïd britannique Daily Star, serait l'objet de tous les fantasmes depuis quelques jours : s'appuyant sur des présumées sources russes anonymes et citées par le site znak.com, basé en Russie, le rapport révèle que le président russe serait sur le point de déclencher une attaque nucléaire contre l'Occident !

Et pour cause : Znak.com, basé dans l'Oural, affirme citer cinq officiels unanimes quant aux recommandations qui leur auraient été faites concernant leurs familles expatriées. Ainsi, les étudiants russes inscrits dans des universités étrangères seraient contraints d'exiger leur transfert dans des universités russes pour poursuivre leurs études. Les personnes âgées qui envisageaient de couler leurs vieux jours en Occident seraient également priées de revenir dans des maisons de retraite en Russie. 

Selon le Daily Star, ces révélations trahissent des manœuvres en cours qui n'ont qu'un but : que Moscou puisse librement procéder à son attaque nucléaire. Le Kremlin n'y serait pas allé de main morte pour s'assurer que ses recommandations ont été prises à la lettre : les officiels auraient intérêt à être convainquant avec leurs proches, sous peine d'être pénalisés dans leur carrière.

Il en faut décidément peu pour que les tabloïds britanniques se mettent à imaginer le grand méchant Vlad armé d'ogives et prêt à frapper leur Royaume ! Alors que le Kremlin a nié ces allégations par le biais de son porte-parole, Dmitry Peskov, qui affirme n'avoir jamais entendu une telle rumeur, le titre de l'article citant le rapport ne manque pas de piment : «La Russie rappelle en urgence les familles de ses officiels à l'aube de la 3e guerre mondiale». 

What's he planning? Vladimir Putin 'recalls relatives of officials living abroad' http://bit.ly/2dKtGSO 

Cette théorie a visiblement du succès Outre-Manche puisqu'un autre tabloïd britannique, le Daily Mail, a également repris la rumeur. 

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Russia orders all officials to fly home any relatives living abroadhttp://dailym.ai/2dvirIA

 

Source : francais.rt