
L’entreprise de franche maçonnerie (voir photo) qu’est la Cours Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) à Strasbourg, a condamné l’interdiction en Russie de la promotion de relations homosexuelles auprès des mineurs. Le ministère russe de la Justice a aussitôt annoncé qu’il fera appel. Pas un jour sans que la promotion de la cause des LGBTQI ne soit matraquée d’une façon ou d’une autre dans ce monde de fous. Recevant Vladimir Poutine à Versailles la semaine de son élection, Emmanuel Macron s’était inquiété avant toute autre considération, lors de la conférence de presse commune, de prétendues persécutions des homosexuels en Tchétchénie.
On remarquera que le Young leader formé par le Bilderberg qu’est Emmanuel Macron s’est employé à donner des gages à ses commanditaires à peine élu, tant au profit de l’immigration musulmane en demandant des sanctions contre la Pologne et la Hongrie qui veulent rester maîtres de leurs frontières, qu’en se préoccupant en tout premier lieu de la progression de la cause LGBT en Russie, le seul pays d’Europe qui résiste résolument à cette inversion de la la loi naturelle.
Le ministère russe de la Justice a répliqué que la loi russe interdit la promotion à destination des mineurs des relations homosexuelles ne violant pas de la sorte le droit international, son seul objectif étant de protéger la moralité et la santé des enfants. Une loi que la CDEH juge pour sa part discriminatoire et homophobe. C’est à la demande de trois militants russes invertis que la CDEH s’est immiscée dans la loi russe l’accusant de violation de la loi [internationale] entre 2009 et 2012. La Russie est condamnée à leur verser une indemnisation de 43 000 euros pour les dommages subis.
L’un des principaux parrains de cette loi, le député Vitali Milonov, a qualifié la décision de la CEDH d’«acte de propagande». «La CEDH n’est rien d’autre qu’une branche de la machine de propagande qui sert les milieux européens néolibéraux. Elle a déjà cessé de protéger les droits de l’homme et les libertés, maintenant ils l’utilisent comme une matraque pour faire des menaces», a-t-il confié à RT, ajoutant que la Russie pourrait ignorer cette décision.
«Je voudrais rappeler, une fois encore, ce que nous avons dit à maintes reprises: on ne persécute d’aucune façon des individus pour telle ou telle orientation, et c’est valable pour la communauté LGBT», a déclaré Sergueï Lavrov lors d’une conférence de presse à l’issue de la rencontre avec son homologue français Jean-Yves Le Drian le 20 juin.
«La seule chose que nous ne souhaitons pas [voir sur notre territoire] et ce que notre loi interdit est l’imposition de cette orientation aux citoyens russes mineurs. Rien d’autre», a-t-il souligné.
En 2013, la Russie a adopté une loi interdisant toute promotion des relations homosexuelles à destination des personnes de moins de 18 ans. La loi a été adoptée au niveau municipal à Saint-Pétersbourg avant d’être approuvée dans l’ensemble du pays.
Elle impose des amendes pour violation de cette interdiction par les médias, interdit l’organisation de gay prides et la diffusion à l’attention des mineurs d’informations présentant les relations homosexuelles comme attractives. Source RT
L’Ukraine aux mains des forces occidentales depuis le coup d’Etat du Maïdan résiste encore aux gayprides qui lui sont imposées ainsi qu’elles sont imposées dans l’ex-Yougoslavie en dépit des récriminations des habitants et dans les autres pays passés du bloc soviétique à l’OTAN. Ce sont les milices d’extrême droite qui ont le plus prêté la main aux forces occidentales subversives qui manifestent le plus fortement. En juin 2017 le nombre de participants s’élevait à 2.500 personnes, soit bien plus que les 700 personnes qui s’étaient réunies lors de l’édition précédente, en juin 2016.





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Les bonnes dispositions affichées par le nouveau président des Etats Unis à l’égard de la Russie auront fait long feux, torpillées en quelques minutes par une salve de tomahawks lancés contre la base aérienne de l’armée syrienne de Shayrat. Faisant fi de ses promesses électorales, le nouveau locataire de la Maison Blanche quelques semaines après son élection renoue donc avec la désastreuse politique d’agressivité conduite par ses prédécesseurs au Proche Orient. Après avoir transformés en champs de ruines l’Irak et la Lybie, des nations jadis prospères, aujourd’hui en voie de balkanisation, les promoteurs États-uniens de la politique du chaos organisé au Proche Orient, déboussolés un moment par les revers à répétition essuyés en Syrie par les groupes rebelles islamistes , auraient donc recadré David Trump en lui faisant comprendre que le « job » n’était pas fini. Autrement dit que la Syrie devait à son tour abandonner ses rêves de Nation souveraine et indépendante et son peuple renoncer à l’espoir de retrouver son unité dans un pays dont le morcellement reste inscrit sur l’agenda de l’état profond Etats-uniens. Cette brutale intervention prouve si besoin était que le fil conducteur de la politique d’ingérence américaine au Proche orient reste marqué par la volonté des USA de ne pas se laisser damer le pion par de nouveaux acteurs sur un échiquier qui doit rester leur chasse gardée. Quitte à laisser les groupes rebelles prendre leur part du job en fermant les yeux sur le génocide dont les chrétiens d’Orient sont victimes.