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samedi, 19 août 2017

Russie : un homme blesse huit personnes au couteau, Daech revendique

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2017 

J.F avec AFP

L'attaque a eu lieu dans la ville de Surgut, en Sibérie. Wikipédia Commons

InternationalRussieAttaque au couteauSibérie
  
Dans un communiqué, l'agence de propagande de l'Etat Islamique (EI) a indiqué de l'assaillant était «un soldat de l'EI».

Un homme armé d'un couteau a été abattu, ce samedi, dans la ville russe de Surgout, en Sibérie. L'assaillant a poignardé sept personnes en pleine rue, et non huit comme annoncé précédemment. Alors que la police ne privilégiait pas la thèse terroriste, le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué l'attaque dans l'après-midi.

La scène s'est déroulée dans le centre de Surgout, ville de 330 000 habitants, aux alentours de 11h20 heure locale, a précisé le Comité d'enquête russe, organe chargé des principales investigations criminelles, ajoutant que la police l'avait «neutralisé».


Deux des blessés sont dans un état grave, a indiqué le gouvernement de la région de Khanty-Mansi dans un communiqué. L'agresseur a été identifié et la police examine désormais ses éventuels antécédents psychiatriques. La piste terroriste n'est pour le moment pas privilégiée, a affirmé la police régionale. «La version selon laquelle l'attaque serait un attentat terroriste n'est pas notre (version) principale», a déclaré l'antenne de police locale à l'agence de presse russe Interfax.

 

 

Cette attaque intervient au lendemain d'un assaut similaire en Finlande, où un Marocain de 19 ans a poignardé à mort deux personnes et en a blessé huit autres, dans la ville de Turku. La police finlandaise enquête sur un possible acte terroriste. Jeudi et vendredi, l'Espagne a aussi été la cible d'un double attentat meurtrier, à Barcelone et Cambrils en Catalogne, qui a fait au moins 14 morts et 120 blessés.

  leparisien.fr

jeudi, 22 juin 2017

La CEDH condamne la Russie pour son interdiction de la promotion de l’homosexualité…

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2017

L’entreprise de franche maçonnerie (voir photo) qu’est la Cours Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) à Strasbourg, a condamné l’interdiction en Russie de la promotion de relations homosexuelles auprès des mineurs. Le ministère russe de la Justice a aussitôt annoncé qu’il fera appel. Pas un jour sans que la promotion de la cause des LGBTQI ne soit matraquée d’une façon ou d’une autre dans ce monde de fous. Recevant Vladimir Poutine à Versailles la semaine de son élection, Emmanuel Macron s’était inquiété avant toute autre considération, lors de la conférence de presse commune, de prétendues persécutions des homosexuels en Tchétchénie.

On remarquera que le Young leader formé par le Bilderberg qu’est Emmanuel Macron s’est employé à donner des gages à ses commanditaires à peine élu, tant au profit de l’immigration musulmane en demandant des sanctions contre la Pologne et la Hongrie qui veulent rester maîtres de leurs frontières, qu’en se préoccupant en tout premier lieu de la progression de la cause LGBT en Russie, le seul pays d’Europe qui résiste résolument à cette inversion de la la loi naturelle.

Le ministère russe de la Justice a répliqué que la loi russe interdit la promotion à destination des mineurs des relations homosexuelles ne violant pas de la sorte le droit international, son seul objectif étant de protéger la moralité et la santé des enfants. Une loi que la CDEH juge pour sa part discriminatoire et  homophobe. C’est à la demande de trois militants russes invertis que la CDEH s’est immiscée dans la loi russe l’accusant de violation de la loi [internationale] entre 2009 et 2012. La Russie est condamnée à leur verser une indemnisation de 43 000 euros pour les dommages subis.

L’un des principaux parrains de cette loi, le député Vitali Milonov, a qualifié la décision de la CEDH d’«acte de propagande». «La CEDH n’est rien d’autre qu’une branche de la machine de propagande qui sert les milieux européens néolibéraux. Elle a déjà cessé de protéger les droits de l’homme et les libertés, maintenant ils l’utilisent comme une matraque pour faire des menaces», a-t-il confié à RT, ajoutant que la Russie pourrait ignorer cette décision.

«Je voudrais rappeler, une fois encore, ce que nous avons dit à maintes reprises: on ne persécute d’aucune façon des individus pour telle ou telle orientation, et c’est valable pour la communauté LGBT», a déclaré Sergueï Lavrov lors d’une conférence de presse à l’issue de la rencontre avec son homologue français Jean-Yves Le Drian le 20 juin.

«La seule chose que nous ne souhaitons pas [voir sur notre territoire] et ce que notre loi interdit est l’imposition de cette orientation aux citoyens russes mineurs. Rien d’autre», a-t-il souligné.

En 2013, la Russie a adopté une loi interdisant toute promotion des relations homosexuelles à destination des personnes de moins de 18 ans. La loi a été adoptée au niveau municipal à Saint-Pétersbourg avant d’être approuvée dans l’ensemble du pays.

Elle impose des amendes pour violation de cette interdiction par les médias, interdit l’organisation de gay prides et la diffusion à l’attention des mineurs d’informations présentant les relations homosexuelles comme attractives. Source RT

L’Ukraine aux mains des forces occidentales depuis le coup d’Etat du Maïdan résiste encore aux gayprides qui lui sont imposées ainsi qu’elles sont imposées dans l’ex-Yougoslavie en dépit des récriminations des habitants et dans les autres pays passés du bloc soviétique à l’OTAN. Ce sont les milices d’extrême droite qui ont le plus prêté la main aux forces occidentales subversives qui manifestent le plus fortement. En juin 2017 le nombre de participants s’élevait à 2.500 personnes, soit bien plus que les 700 personnes qui s’étaient réunies lors de l’édition précédente, en juin 2016.

 
 

jeudi, 11 mai 2017

Russie et Ukraine: Superbes régiments immortels de pays authentiques, fiers de leurs ancêtres.

Publié par Guy Jovelin le 11 mai 2017

par 10 mai 2017

En regardant les foules sans fin du régiment immortel, que ce soit à Moscou ou à Kiev, on mesure combien notre pauvre France est en pleine déliquescence. En effet imagine-t-on les Français défilant avec les portraits fièrement brandis de leurs grands-pères ou arrières-grands-pères qui ont combattu pour la grande victoire de 1918 ? Immédiatement cela serait considéré comme de la provocation à l’égard des immigrés, Français ou non… C’était pourtant aussi une grande victoire patriotique chèrement payée avec ses millions de sacrifices sur le sol de la Patrie calcinée, défoncée, dont les monuments aux morts témoignent dans chaque villes et villages avec des noms qui ressemblent de moins en moins à ceux des habitants actuels, des noms que certains voudraient bien effacer…

Ces pays de l’extrême est-européen sont encore d’authentiques pays avec une authentique population et d’authentiques racines, que personne ne conteste, même si quelques perturbateurs anti-russes à Kiev, ont lancé des projectiles sur la foule.

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Sans compter le magnifique défilé de la Victoire de la Grande guerre patriotique sur la place Rouge à Moscou :
 

vendredi, 14 avril 2017

LA LOI DU PLUS FORT

Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2017

vendredi 14 avril 2017, par Michel Dantan 

états-unis,la loi du plus fort,russie,syrieLes bonnes dispositions affichées par le nouveau président des Etats Unis à l’égard de la Russie auront fait long feux, torpillées en quelques minutes par une salve de tomahawks lancés contre la base aérienne de l’armée syrienne de Shayrat. Faisant fi de ses promesses électorales, le nouveau locataire de la Maison Blanche quelques semaines après son élection renoue donc avec la désastreuse politique d’agressivité conduite par ses prédécesseurs au Proche Orient. Après avoir transformés en champs de ruines l’Irak et la Lybie, des nations jadis prospères, aujourd’hui en voie de balkanisation, les promoteurs États-uniens de la politique du chaos organisé au Proche Orient, déboussolés un moment par les revers à répétition essuyés en Syrie par les groupes rebelles islamistes , auraient donc recadré David Trump en lui faisant comprendre que le « job » n’était pas fini. Autrement dit que la Syrie devait à son tour abandonner ses rêves de Nation souveraine et indépendante et son peuple renoncer à l’espoir de retrouver son unité dans un pays dont le morcellement reste inscrit sur l’agenda de l’état profond Etats-uniens. Cette brutale intervention prouve si besoin était que le fil conducteur de la politique d’ingérence américaine au Proche orient reste marqué par la volonté des USA de ne pas se laisser damer le pion par de nouveaux acteurs sur un échiquier qui doit rester leur chasse gardée. Quitte à laisser les groupes rebelles prendre leur part du job en fermant les yeux sur le génocide dont les chrétiens d’Orient sont victimes.

 

Source : national-hebdo

jeudi, 06 avril 2017

Damas accusé de l’ attaque chimique en Syrie : nouveau bobard de la bien-pensance ?

Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2017

C’est un cœur unanime de la presse bien-pensante, des politiciens du système, du pape François lui-même, de la communauté internationale, pour dénoncer l’attaque chimique d’hier en Syrie, dans le village de Khan Cheikhoun, tuant 72 personnes, et pour en rendre responsable, sans aucunes preuves, le gouvernement de Damas. Et déculpabiliser ainsi les fameux rebelles syriens, vrais combattants islamistes, vrais djihadistes égorgeurs en habits de modérés, chouchous de la conscience morale universelle qui veut la mort au propre et au figuré de Bachar el-Assad.

Ce dernier refuse cette accusation. Le porte-parole de la défense russe a déclaré, peut-on lire sur RT France

«que l’aviation syrienne avait détruit un entrepôt où l’opposition dite «modérée» gardait des stocks d’armes chimiques dont certaines devaient être envoyées en Irak. (…) Face à ces accusations, la Défense russe s’est dite prête à présenter des preuves irréfutables que l’aviation syrienne avait en réalité visé un entrepôt où les rebelles stockaient des matériaux chimiques.

«D’après les données du contrôle russe de l’espace aérien en Syrie, le 4 avril de 11h30 à 12h30 [heure locale], l’aviation syrienne a frappé un entrepôt d’armes chimiques et d’équipement militaire des terroristes, situé dans l’est du village rebelle de Khan Cheikhoun», a déclaré le porte-parole de la Défense russe, Igor Konachenkov.

«Dans cet entrepôt se trouvaient des ateliers pour la production de bombes chargées d’explosifs toxiques. Depuis ce grand atelier, les terroristes envoyaient des munitions contenant des substances chimiques en Irak. Leur utilisation a été prouvée maintes fois par les organisations internationales, ainsi que par les autorités irakiennes», a-t-il poursuivi. Ces mêmes munitions chimiques avaient été utilisées par des rebelles lors de l’attaque chimique d’Alep en 2016, a fait savoir le porte-parole de la Défense russe, qui avait participé à l’enquête de l’année dernière.  

Le gouvernement syrien de Damas réfute toute utilisation d’armes chimiques :

«Nous récusons totalement toute utilisation de matériau chimique ou toxique à Khan Cheikhoun. L’armée n’en a jamais utilisé et n’en utilisera nulle part», lit-on dans le communiqué de l’armée syrienne. » 

La Russie a fait savoir aujourd’hui qu’elle continuerait à coopérer avec la Syrie et qu’elle juge inacceptable le projet de résolution présenté par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni condamnant l’attaque chimique présumée en Syrie :

«Le texte présenté est catégoriquement inacceptable. Son défaut est d’anticiper les résultats de l’enquête et de désigner des coupables»,

a déclaré Maria Zakharova lors d’une conférence de presse, dénonçant un projet «anti-syrien» et de nature à aggraver encore la situation.

Pour le spécialiste en sécurité Charles Shoebridge, interrogé par RT France, la Syrie n’avait aucun intérêt stratégique et politique à conduire une telle attaque en l’état actuel du contexte et des relations diplomatiques plutôt favorables au régime de Damas.

« Aujourd’hui, il y a ce grand incident présumé, et une fois de plus – ce n’est probablement pas une coïncidence – demain commence une conférence très importante à Bruxelles entre l’ONU et l’UE. »

« Dans le contexte actuel, en dépit de toute évidence qui puisse apparaître, parfois susceptible de faire l’objet de manipulations, il faut se poser la question de la motivation de Bachar el-Assad à faire une chose pareille, à ce moment particulier quand il obtient des victoires à travers le pays. Quelle serait alors sa motivation pour provoquer la condamnation de la communauté internationale à ce moment précis ? »

Et de conclure raisonnablement  :

« Ceux qui ont vraiment profité de cette attaque ce sont les rebelles eux-mêmes, car ils ont obtenu un grand avantage géopolitique au moment où ils luttent de manière stratégique, comme de manière géopolitique. Néanmoins, seule une enquête indépendante établira les faits sur le terrain, qui permettrait de tirer une conclusion définitive. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info